Le rendez-vous Event Web2business round 3 s’impose comme la scène privée où se négocie l’avenir du digital B2B. L’édition réunit des dirigeant·e·s, des investisseurs et des bâtisseurs de produits, avec une promesse claire : accélérer la convergence Web2–Web3. Au-delà des keynotes, l’impact se joue dans les rencontres, les ateliers concrets et les side events ciblés. Entre gouvernance, financement, conformité et synergies technologiques, l’agenda regroupe des discussions stratégiques. Les groupes établis croisent les startups pionnières, tandis que les intégrateurs orchestrent l’exécution. Les formats intimistes favorisent des échanges francs, très loin des scènes saturées, ce qui permet un gain de temps mesurable et une clarté sur les priorités.
Dans cette configuration, des acteurs majeurs comme Microsoft, Google, Salesforce, Orange Business Services, IBM, Capgemini, Adobe, Oracle ou SAP côtoient des équipes Web3 sur des sujets applicatifs. Les cas d’usage couvrent l’identité, la traçabilité, les paiements, la data marketing, la conformité et l’IA. Les marchés évoluent vite, mais les méthodes pour rencontrer les bons interlocuteurs restent constantes. Ainsi, la sélection des side events devient décisive. Les décisions qui en découlent doivent être étayées par des objectifs clairs, des métriques de conversion et une logistique maîtrisée. Ce guide propose un panorama structuré, des plans d’action et des repères concrets pour transformer une participation en résultats tangibles.
Positionnement | Congrès privé des dirigeant·e·s du digital, focus B2B et convergence Web2–Web3 |
Objectifs clés | Accélérer les deals, structurer des partenariats, déployer des pilotes concrets |
Publics cibles | Comex, VP Tech/Produit, Innovation, Investisseurs, Intégrateurs, Fondateurs |
Technologies | Blockchain, Identité, Paiements, Data/IA, e-commerce, Automatisation |
Acteurs référents | Microsoft, Google, Salesforce, Orange Business Services, IBM, Capgemini, Adobe, Oracle, SAP |
Clés de succès | Side events ciblés, pipeline clair, timing et logistique, suivi rigoureux |
Event Web2business round 3 : enjeux et positionnement dans l’écosystème B2B
Dans le paysage européen, Web2business occupe une niche rare : un congrès privé, orienté résultats et fréquenté par des décideurs. Le round 3 amplifie ce cadre en ajoutant des formats de travail ciblés. Les échanges portent sur des roadmaps, des coûts, et des risques mesurés. L’objectif reste la conversion de discussions en projets concrets.
Le positionnement s’explique par une réalité simple : les cycles d’achat B2B s’allongent, mais les besoins s’accélèrent. Par conséquent, il faut des lieux où l’on tranche. Le format réduit permet une densité d’informations et de contacts. Les intervenants sont choisis pour leur capacité d’exécution, pas seulement pour leur renommée.
Sur le contenu, la convergence Web2–Web3 structure les débats. D’un côté, des entreprises historiques gèrent des systèmes critiques. De l’autre, des briques Web3 apportent des garanties nouvelles. Ainsi, l’identité, la traçabilité, la tokenisation et la gouvernance se rencontrent.
Les grandes maisons, comme Microsoft, Google et IBM, aident à industrialiser. Les intégrateurs, à l’image de Capgemini, construisent des passerelles. Ensuite, les éditeurs comme Salesforce, Adobe, Oracle et SAP créent des ponts avec le CRM, la data et l’ERP. Ce maillage rend l’adoption viable.
À ce niveau, l’agenda n’évite pas les questions sensibles. Les modèles de gouvernance des consortiums sont discutés. Les règles d’onboarding, la redondance des systèmes et les clauses d’audit sont passées au crible. Chaque atelier vise une décision exploitable.
Le round 3 s’inscrit aussi dans une dynamique de side events à forte valeur ajoutée. Ce sont des dîners, des workshops et des rencontres sectorielles. L’effet réseau devient puissant quand les priorités sont alignées. C’est là que se négocient des pilotes.
Un exemple revient souvent : une marque retail teste un contrat intelligent de traçabilité, interfacé avec un ERP SAP. L’outil réduit les litiges logistiques de 20%. Par ailleurs, la DSI adopte une gouvernance de données mieux auditée. Le ROI se constate sur le terrain.
Pour sécuriser ces gains, la préparation est clé. Les équipes choisissent trois enjeux à adresser, fixent des KPI, et organisent un suivi post-événement. Sans cette discipline, l’énergie se dilue. Avec, la conférence devient un accélérateur mesurable.
- Focaliser sur trois cas d’usage stratégiques maximum.
- Aligner sponsor métier, DSI et intégrateur avant les rendez-vous.
- Documenter chaque échange avec des actions et un propriétaire.
- Planifier une session de décision sous 10 jours après l’événement.
Au final, la promesse tient en une phrase : moins de bruit, plus d’impact.
Side events à Web2business round 3 : comment sélectionner, planifier et convertir
Les side events concentrent la valeur. Ils réunissent des profils ciblés dans des formats courts et pragmatiques. Pour les exploiter, une méthode claire s’impose. Elle commence par l’alignement des segments et des objectifs.
Méthodologie de sélection par segment (DeFi, NFTs, RWA)
La sélection démarre avec le segment. Un acteur centré sur la finance cherchera DeFi, paiements, conformité KYC. Une marque artistique ciblera NFTs, licences et droits. Un industriel préférera RWA et logistique. Cette brique évite les détours et optimise le temps.
Ensuite, il faut relier segment et but précis. Cherche-t-on des leads ? Des partenaires techniques ? Des investisseurs ? La réponse oriente l’agenda. Un atelier RWA orienté fiches produits n’apporte pas un investisseur, mais peut débloquer une POC rapide.
Les plateformes d’inscription aident. Sur Luma, l’estimation d’audience donne le ton. Un événement de 40 personnes favorise des échanges profonds. Un format de 300 participants élargit la prospection. Les deux ont leur utilité, selon le but.
- DeFi : interfaçage paiements, rampes fiat, conformité.
- NFTs : droits, billetterie, fidélisation, UGC.
- RWA : tokenisation d’actifs, supply chain, assurance.
- Infra : wallets, indexation, oracles, observabilité.
Partenariats, concurrents, et top organisateurs
Une liste de leads sert de boussole. Elle indique qui cibler, et où aller. Quand un partenaire probable sponsorise un dîner, la probabilité de rencontre utile grimpe. À l’inverse, un événement très généraliste dilue l’effort. Il faut donc filtrer.
Observer les concurrents apporte de la clarté. Le but n’est pas de débaucher. Il s’agit de comprendre leur stratégie, leur message et leurs alliances. Ce regard affûte la propre proposition de valeur. Parfois, il évite un faux pas coûteux.
Les organisateurs reconnus tirent la qualité vers le haut. Ils attirent des VCs et des projets solides. Ces formats, souvent soignés, fluidifient les introductions. Le networking devient plus naturel, donc plus efficace.
- Identifier les side events hébergés par VCs et intégrateurs.
- Vérifier les sponsors : y a-t-il Microsoft, Google, ou Salesforce ?
- Repérer les ponts avec Oracle, SAP, Adobe.
- Choisir un mix : un atelier expert et un moment convivial.
Logistique, rythme et flexibilité sur place
La logistique influence le succès. Les trajets trop longs cassent le rythme. Mieux vaut grouper les rencontres par zone et horaire. Un temps tampon permet aussi d’improviser. C’est souvent là que naissent les meilleures opportunités.
La flexibilité reste un atout majeur. Un dîner peut se prolonger si la salle s’anime. À l’inverse, un panel peu pertinent peut être écourté. L’important, c’est l’énergie du moment. Savoir suivre la bonne vague crée des rencontres décisives.
Enfin, la conversion exige un protocole. Un message de suivi part sous 24 heures. Un créneau de démo est proposé d’emblée. Un dossier partagé rassemble pitch, architecture et références. Cette cadence rassure l’interlocuteur et maintient l’élan.
- Avant : ciblage, agenda bloqué, documents prêts.
- Pendant : prises de notes, intros croisées, qualification.
- Après : récap, proposition, jalons, gouvernance.
Cette méthode transforme un calendrier d’événements en pipeline qualifié et actionnable.
Pour prolonger la préparation, une sélection de panels vidéo aide à cadrer les messages clés avant la rencontre.
Convergence Web2–Web3 à Web2business round 3 : cas d’usage et gouvernance
La convergence n’est pas un slogan. Elle décrit des intégrations concrètes entre systèmes historiques et briques Web3. Dans ce cadre, l’IA sert d’accélérateur. Les architectures hybrides se dessinent par couches. Chacune a un rôle clair et mesurable.
Du côté data et CRM, Salesforce, Adobe et Oracle relient les signaux utilisateurs à des identités renforcées. L’objectif est double : personnaliser sans sur-collecter. Par conséquent, les consentements se gèrent mieux, et les coûts baissent. L’efficacité marketing augmente.
Sur le volet IT, Microsoft, Google et IBM proposent des services cloud et des outils d’IA. Ils aident à auditer les smart contracts, surveiller la conformité et scaler une API. Les risques opérationnels sont traités en amont.
Les intégrateurs comme Capgemini ou Orange Business Services coordonnent l’ensemble. Ils traduisent une vision produit en jalons d’implémentation. Ainsi, les pilotes ne s’arrêtent pas au POC. Ils deviennent des programmes à impact.
Dans la supply chain, un industriel combine traçabilité on-chain et ERP SAP. Les retours sont plus fiables. Les alertes qualité se déclenchent plus tôt. À l’arrivée, moins de retours et une satisfaction client en hausse. Les gains se lisent sur le P&L.
Sur la gouvernance, trois tensions se croisent. La sécurité, la conformité et l’interopérabilité. Un modèle de permissions claires s’impose. Les rôles sont définis, les accès sont tracés, et les audits sont programmés. Ce cadre rend la solution durable.
La régulation demeure un fil rouge. Les entreprises anticipent l’adoption à grande échelle. Elles évaluent les exigences de KYC, d’archivage et de souveraineté. Ce travail réduit l’incertitude au moment du déploiement. Les comités d’investissement gagnent en confiance.
Les équipes projet utilisent des check-lists courtes. Elles assurent la cohérence entre business et IT. Chaque étape se relie à un indicateur. Les engagements deviennent visibles et vérifiables. La confiance se construit sur ces preuves.
- Identité : consentements, portabilité, authentification.
- Traçabilité : lots, capteurs, preuve d’intégrité.
- Paiements : rampes fiat, stablecoins, réconciliation.
- Data/IA : scoring, détection d’anomalies, optimisation.
Le fil conducteur reste l’utilité. Chaque nouvelle brique doit résoudre un problème métier réel, et vite.
Des démos publiques facilitent l’appropriation : elles montrent la réduction de frictions et la simplicité d’exploitation.
Autour de Web2business round 3 : calendrier B2B et repères pour optimiser sa présence
Un congrès ne vit pas seul. Il se relie à un agenda B2B dense. Ce maillage augmente la valeur de chaque déplacement. L’idée consiste à bâtir une semaine cohérente. On y place rencontres, dîners et ateliers thématiques.
En France, plusieurs rendez-vous structurent l’automne. Des événements technologiques, supply chain et IA responsable rythment le calendrier. Les décideurs gagnent à les enchaîner intelligemment. Le capital relationnel s’en trouve démultiplié.
Parmi les points de repère, certains formats retiennent l’attention. Ils alignent vision, contenu et networking. Ils complètent bien un congrès privé. L’ensemble crée des opportunités additionnelles.
- Tech’A Break à Évry-Courcouronnes : ouverture d’une séquence d’innovation, axée inspiration et exploration.
- Supply Chain Event (stand G22) à Paris : rencontres logistiques et achats, idéal pour RWA et traçabilité.
- AI ON US à Biarritz : dirigeants réunis autour de l’IA responsable, appuis ministériels et réseau international.
- We Do Green IT à Asnières : RSE numérique, sobriété et intégration IA durable.
À ces jalons s’ajoutent des salons et webinaires sectoriels. Les agendas B2B agrègent les annonces en continu. Un repérage sur des listes Web3 et des guides français affûte la préparation. Les side events de la Paris Blockchain Week, souvent, complètent le tableau.
La stratégie gagnante repose sur l’enchaînement. Une journée logistique peut précéder un atelier identité. Puis un dîner investisseurs se cale en fin de soirée. Cette progression raconte une histoire. Elle facilite l’adhésion des interlocuteurs.
Le budget se planifie en conséquence. Les coûts de transport, de billets et de sponsoring s’optimisent. Un petit sponsoring ciblé peut valoir plus qu’un grand stand. Le calcul doit rester rationnel et chiffré.
La communication joue enfin un rôle clé. Annoncer sa présence attire des rendez-vous entrants. Des posts sobres, précis et utiles fonctionnent mieux. Ils disent qui rencontrer, pourquoi, et quand. L’agenda se remplit plus vite.
- Cartographier les événements proches géographiquement et temporellement.
- Aligner chaque date avec un objectif mesurable.
- Mutualiser les équipes pour maximiser les rendez-vous.
- Réserver tôt les créneaux à forte densité de décideurs.
Cette approche transforme un déplacement en semaine d’opportunités orchestrées, avec un retour clair.
Playbook opérationnel pour performer à Event Web2business round 3
Un playbook concret fait la différence. Il encadre la préparation, le déroulé et le suivi. Chaque étape se relie à des résultats. La simplicité protège la vitesse d’exécution. Voici une trame actionnable.
Avant l’événement : cadrer, outiller, annoncer
Trois cas d’usage maximum, un pitch par audience, et des fiches de référence. C’est la base. Un mini-site rassemble les documents. Un lien unique facilite le partage. Tout le monde gagne du temps.
Les outils fixent la cadence. Un CRM consolide leads et notes. Une board publique peut suivre l’avancement. Un espace partagé héberge les ressources. L’effort devient visible et continu.
- Pitchs dédiés : décideur métier, DSI, investisseur.
- Decks courts : problème, solution, preuve, plan.
- Références : intégrations Salesforce, Oracle, SAP, Adobe.
- Tech : audit rapide, sécurité, conformité.
Pendant : orchestrer les rencontres et qualifier vite
Le calendrier se vit comme une tournée. Chaque créneau a un objectif. Les messages de suivi se préparent à l’avance. On gagne ainsi en réactivité. L’élan ne se perd pas.
La qualification doit rester franche. Le budget existe-t-il ? Le besoin est-il prioritaire ? Qui signe ? Des questions directes évitent les faux positifs. Le respect du temps s’en trouve renforcé.
Les alliances méritent un soin particulier. La compatibilité technique avec Microsoft, Google ou IBM fait souvent la différence. Un intégrateur comme Capgemini ou Orange Business Services peut sécuriser la mise en production. Cette crédibilité rassure les comités.
- Ouvrir l’échange avec un cas d’usage précis.
- Qualifier budget, timing, décideurs, succès attendu.
- Proposer un atelier de cadrage de 45 minutes.
- Clore avec des dates, des noms, et des livrables.
Après : transformer l’élan en livrables et décisions
La fenêtre utile se situe dans les 10 jours. Un récap structuré part sous 24 heures. Un atelier de cadrage suit. Puis un plan d’action court s’ouvre. Cette séquence installe une confiance rapide.
Les livrables doivent rester tangibles. Une architecture cible, des dépendances, et un coût estimatif. Un jalon de validation se fixe. La décision peut alors s’ancrer. Le risque se réduit.
La gouvernance clôture le dispositif. On nomme un sponsor, un pilote et un intégrateur. Les cadences de comité se calquent sur le rythme produit. Les promesses deviennent des engagements partagés.
- Récap : contexte, décision, prochaines étapes.
- Atelier : 45 minutes, trois livrables.
- Plan : jalon, budget, conformité.
- Comité : décision datée, KPI clairs.
Un playbook simple et public crée de la confiance et accélère les signatures.
Des ressources vidéo sur le suivi commercial permettent d’ancrer ces réflexes et d’harmoniser les pratiques d’équipe.
On en dit quoi ?
Event Web2business round 3 confirme une ligne claire : moins de bruit, plus de preuves. Les side events, bien choisis, transforment une présence en décisions. Les intégrations avec Microsoft, Google, Salesforce, Oracle, SAP, Adobe, IBM, Capgemini et Orange Business Services ancrent l’adoption dans le réel. L’événement fonctionne donc comme un accélérateur mesurable pour les équipes prêtes, disciplinées et orientées résultats.
Qu’est-ce qui distingue Web2business round 3 des grandes conférences ouvertes ?
Le format est privé, orienté décideurs, et centré sur l’exécution. Les side events ciblés, les ateliers concrets et la densité de profils qualifiés permettent d’avancer plus vite vers des pilotes et des décisions budgétaires.
Comment sélectionner les side events les plus utiles ?
Partir de son segment (DeFi, NFTs, RWA, infra), lier chaque événement à un objectif précis, vérifier sponsors et participants, puis arbitrer entre formats intimes et grands rassemblements. La logistique et la proximité comptent autant que le contenu.
Quels acteurs technologiques sont les plus pertinents à rencontrer ?
Les équipes en charge d’intégrations avec Microsoft, Google, IBM, Salesforce, Adobe, Oracle, SAP et les intégrateurs comme Capgemini et Orange Business Services. Ces ponts facilitent la production et rassurent la gouvernance.
Comment mesurer le ROI après l’événement ?
Suivre un pipeline qualifié, des jalons datés, et un taux de conversion vers ateliers, POC et contrats. Le ROI s’observe via la vitesse de décision, le coût d’acquisition et la valeur des deals signés.
Faut-il sponsoriser un side event ?
Un sponsoring ciblé peut accélérer les mises en relation si l’audience est parfaitement alignée avec vos objectifs. L’impact reste supérieur quand le format permet des échanges profonds et des démonstrations concrètes.

Journaliste spécialisée dans les nouvelles technologies, passionnée de gadgets et d’innovations. À 39 ans, je décrypte chaque jour l’impact du numérique sur notre quotidien et partage mes découvertes auprès d’un large public averti ou curieux.