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Event we love SEO 2018

Le rendez-vous « Event We Love SEO 2018 » a cristallisé, en une seule journée, les pratiques essentielles du search marketing. Organisé à Paris le jeudi 4 octobre, l’événement s’est distingué par une audience d’experts et de décideurs, un format volontairement resserré, et un contenu dense orienté résultats. Entre études de cas, tables rondes et sessions techniques, la scène a réuni des spécialistes capables de traduire la théorie en leviers opérationnels. En résonance avec les besoins actuels, quatre disciplines ont été mises en avant : monitoring des moteurs, analyse des liens, crawl et logs et analytics. Les échanges ont posé des repères qui restent pertinents, y compris en 2025, notamment autour des parcours data-driven, de l’automatisation raisonnée et de la collaboration entre SEO, produit et data.

Ce format à taille humaine a encouragé des discussions franches, sans verbiage commercial, qui ont permis de confronter des approches variées. Les 17 intervenants triés sur le volet ont partagé des méthodes reproductibles et des outils éprouvés. En amont comme en aval des sessions, un déjeuner convivial et un afterwork ont facilité les passerelles entre pairs. Cette atmosphère studieuse mais accessible a été appréciée par des profils in-house et agence, en quête de gains rapides et mesurables. Enfin, l’édition 2018 s’inscrit dans la continuité d’un rendez-vous de référence, porté par OnCrawl depuis 2014, dont l’ADN consiste à rapprocher les données, la technique et le business.

Event We Love SEO 2018 : programme, chiffres et promesse de valeur

L’édition 2018 a proposé un concentré d’expertises, pensé pour un public avancé. Le choix du Forum de Grenelle, au cœur de Paris, a facilité la venue des équipes marketing et e-commerce. Surtout, la journée a mis l’accent sur des sujets stratégiques qui déterminent la performance organique dans des environnements concurrentiels. La tonalité a été claire : moins de buzzwords, davantage de méthodes et d’indicateurs actionnables.

Le contenu s’est articulé autour d’un fil conducteur simple : obtenir des résultats mesurables avec des outils et des processus maîtrisés. Les sessions ont couvert la supervision des SERP, l’autorité via les liens, l’optimisation du crawl et la gouvernance des données analytiques. Ce cadrage a permis d’éviter l’éparpillement et de focaliser l’attention sur des leviers concrets, y compris pour des sites complexes.

Une journée calibrée pour décideurs SEO

L’événement a ciblé des profils capables de piloter des chantiers transverses. Les responsables SEO in-house, les consultants seniors et les directions d’agences y ont trouvé des retours d’expérience sans filtre. Par conséquent, le programme a privilégié des cas réels, ainsi que des démonstrations sur des environnements techniques modernes. Cette orientation a favorisé la transférabilité des apprentissages dans des contextes variés.

La promesse a tenu sur trois axes. D’abord, un panorama des tendances utiles, débarrassé des effets de mode. Ensuite, des ateliers et talks focalisés sur la réduction des coûts cachés du SEO (déperdition de crawl, dette technique, backlinks toxiques). Enfin, un cadre propice aux rencontres de qualité, où l’on questionne les choix technologiques et les KPIs sans complaisance.

  • Date et lieu : jeudi 4 octobre, Paris, Forum de Grenelle.
  • Public : experts SEO, agences et équipes in-house.
  • Format : 4 études de cas, 2 tables rondes, 17 intervenants.
  • Thématiques : monitoring, liens, crawl & logs, analytics.
  • Organisation : impulsée par OnCrawl depuis 2014.
  • Tarif : 118,80€ pour la journée complète.
  • Networking : déjeuner et afterwork inclus.

Un public ciblé, une attention soutenue

Le format « petite jauge » a limité l’effet dispersion et renforcé la qualité des échanges. Chaque intervention a laissé de la place aux questions directes sur la mise en œuvre. Loin des keynotes génériques, les conférenciers ont exposé des choix tactiques, leurs arbitrages et leurs limites. Cette transparence a donné une vraie valeur aux retours des participants.

Pour illustrer, une responsable SEO d’un retailer mode, appelée ici Julie, a pu confronter ses enjeux aux bonnes pratiques évoquées. Entre problèmes de pagination, logs illisibles et budget de crawl mal alloué, elle est repartie avec une feuille de route précise. Son équipe a priorisé les correctifs à fort impact, avant d’automatiser les tâches récurrentes.

  • Valider les fondamentaux techniques sur des sections clés du site.
  • Allouer le budget de crawl aux pages qui performent.
  • Élaguer les liens inutiles et renforcer l’autorité thématique.
  • Fixer des objectifs d’analytics centrés sur la valeur business.

Au final, l’édition 2018 a affirmé une promesse simple : transformer les contraintes SEO en décisions opérationnelles, soutenues par des données fiables et des outils robustes.

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We Love SEO 2018 : les 4 piliers techniques au cœur des performances organiques

Quatre disciplines ont structuré la journée : monitoring des moteurs, analyse des liens, crawl et logs, puis analytics. Chacune répond à un enjeu précis du cycle de vie SEO. Ensemble, elles composent une chaîne de valeur cohérente, de l’observation à la décision.

Monitoring des moteurs de recherche : observer pour agir

Surveiller les SERP ne se limite pas au ranking. Les variations de features, la volatilité mobile, ou encore la présence des PAA, changent la visibilité réelle. Un suivi agile, segmenté par intention et appareil, devient incontournable. Des solutions comme SEMrush, Cocolyze ou Smartkeyword aident à détecter les micro-signaux qui précèdent souvent les bascules majeures.

Selon les retours partagés, le monitoring le plus utile reste celui qui relie le mouvement des SERP aux tests en cours sur le site. D’où l’intérêt de dashboards qui croisent ranking, crawl et conversions. Ce rapprochement accélère la validation des hypothèses.

  • Segmenter les requêtes par intention, device et localisation.
  • Suivre les SERP features clés (sitelinks, carrousels, vidéos).
  • Corréler les changements de positions avec les chantiers internes.
  • Mettre en alerte les variations anormales.

Analyse des liens : autorité, confiance et priorisation

L’autorité reste un moteur puissant de la performance. Toutefois, l’approche a évolué vers la qualité, le contexte et la pertinence éditoriale. Des outils comme Majestic guident la compréhension du maillage externe, tandis que des agences expertes comme Search Foresight cadrent des stratégies éditoriales et d’acquisition alignées avec les thématiques porteuses.

Les retours ont souligné l’importance du nettoyage raisonné. Plutôt que de multiplier les désaveux à l’aveugle, il est recommandé d’identifier les clusters de liens à faible valeur et de renforcer des hubs thématiques. Cette logique produit des gains durables.

  • Évaluer la topicalité des domaines référents.
  • Prioriser les liens depuis des pages actives et crawlées.
  • Consolider les hubs internes avant d’amplifier l’acquisition.
  • Mesurer l’impact via le trafic et les conversions, pas uniquement via l’autorité.

Crawl et analyse de logs : optimiser le budget d’exploration

Le contrôle du crawl conditionne l’indexation et l’efficience. Les combinaisons OnCrawl, Botify et RM Tech ont été citées pour cartographier la structure, révéler les blocages et analyser les logs serveurs. La logique consiste à éliminer les couches de bruit (filtres, paramètres, pages orphelines), puis à diriger le budget vers les contenus prioritaires.

Les logs éclairent le comportement réel des bots. Ils montrent où Googlebot insiste et où il se désintéresse. En pratique, on réalloue rapidement le budget en agissant sur l’architecture, la pagination et les sitemaps. Ce volet a généré des gains rapides chez plusieurs participants.

  • Cartographier les statuts HTTP et les boucles de redirections.
  • Consolider les pages d’entrée organiques en clusters utiles.
  • Purger les doublons et uniformiser les canonicals.
  • Synchroniser sitemaps, robots et signaux internes.

Analytics : gouvernance des données et décisions

La mesure ne s’arrête pas au trafic. Les conférenciers ont insisté sur la valeur générée : leads qualifiés, recettes, satisfaction utilisateur. Des suites analytiques comme AT Internet permettent de suivre des indicateurs propriétaires, mieux alignés avec les objectifs métiers. L’essentiel consiste à relier l’exposition organique au chiffre d’affaires, en évitant les proxys trompeurs.

Pour « Julie », le changement a été décisif. En reliant les ventes à la profondeur de crawl et au maillage, elle a dépriorisé des pages peu rentables, au profit de fiches produits ciblées. Le plan d’action a été planifié par vagues, avec des checkpoints mensuels.

  • Définir des KPIs orientés valeur et non vanity metrics.
  • Mettre en place une attribution simple mais stable.
  • Automatiser les alertes sur les seuils critiques.
  • Rapprocher analytics, crawl et logs pour trancher vite.

Pris ensemble, ces quatre piliers structurent un cycle vertueux : observer, diagnostiquer, corriger et mesurer. Cette boucle d’amélioration continue a constitué l’un des enseignements phares.

Études de cas et tables rondes marquantes de We Love SEO 2018

Le programme a aligné 4 études de cas et 2 tables rondes. Chacune a apporté un regard complémentaire. Les études de cas ont illustré la mise en œuvre pas à pas, les arbitrages budgétaires et la priorisation. Les tables rondes ont croisé des visions d’in-house et d’agences, avec des retours d’échecs utiles pour calibrer les risques.

Des cas concrets, des résultats tangibles

Un cas e-commerce a détaillé la refonte d’un catalogue de 500 000 références. L’équipe a d’abord cartographié les logs pour réduire les zones « crawlées mais non indexées ». Ensuite, elle a consolidé les hubs de catégories et rationalisé les facettes. Enfin, un plan de liens internes a redistribué l’autorité vers des pages à marge élevée. Les résultats ont révélé une progression nette sur des requêtes transactionnelles.

Un second cas média a montré l’impact de la gouvernance éditoriale. En réduisant l’entropie des tags et en clarifiant les gabarits, le site a stabilisé ses performances sur les Top Stories. De plus, l’alignement analytics-SEO a permis de mieux qualifier les objectifs de session, au-delà du simple nombre de pages vues.

  • Définir une carte des priorités business.
  • Nettoyer méthodiquement la dette technique.
  • Mesurer sur des cycles courts pour garder le cap.
  • Documenter pour reproduire à l’échelle.
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Tables rondes : aligner stratégie, contenu et technique

Les tables rondes ont insisté sur la synchronisation des équipes. Les participants ont évoqué des roadmaps trimestrielles, où le SEO partage ses jalons avec le produit et la data. Cette coordination réduit la friction et accélère la livraison. Elle évite aussi les régressions lors des sprints.

Des débats ont porté sur l’impact des SERP features, la cannibalisation interne et l’IA générative appliquée à la production de contenus. La consigne est restée identique : tester vite, mesurer correctement, documenter les résultats. Les intervenants ont rappelé que l’industrialisation passe par des standards clairs et des relectures expertes.

  • Valider des critères qualité pour le contenu et les modèles de pages.
  • Piloter les tests par hypothèse, pas par intuition.
  • Chaîner les outils pour éviter les silos de données.
  • Évaluer le coût d’opportunité de chaque initiative.

Clôture et replays : prolonger l’apprentissage

La clôture a accueilli Gary Illyes, figure de Google Search, pour un échange dense sur les signaux techniques et les bonnes pratiques. Par la suite, les replays ont circulé et ont nourri les équipes qui n’avaient pas pu se déplacer. Aujourd’hui, il reste possible de revisiter les éditions récentes : on peut par exemple revoir l’édition 2024 sur la chaîne YouTube d’OnCrawl, afin de comparer l’évolution des sujets et des outils.

Ces ressources vidéo permettent de mettre en perspective les acquis de 2018 avec les défis actuels, notamment l’optimisation à l’ère des contenus assistés par IA et des signaux d’expérience.

  • Comparer les métriques clés d’une année sur l’autre.
  • Repérer les invariants techniques qui demeurent rentables.
  • Détecter les nouvelles priorités côté analytics et privacy.
  • Structurer une veille d’équipe à partir des vidéos.

En synthèse, la force des études de cas et des débats tient à leur focalisation sur le résultat, dans un cadre mesuré et reproductible.

Outils et écosystème exposants autour de We Love SEO 2018

L’écosystème d’outils et de partenaires reste une marque de fabrique de l’événement. En 2018, plusieurs solutions phares ont été mises en lumière, chacune couvrant un maillon du process SEO. Le choix ne se joue pas au « meilleur outil » absolu, mais à la complémentarité et à la qualité d’intégration dans le stack existant.

Crawl, logs et diagnostics : précision et profondeur

Sur la partie technique, OnCrawl a tenu un rôle central pour croiser crawl et logs, déduire des priorités d’exploration et éclairer les goulots d’étranglement. Botify s’est illustré sur des environnements très étendus avec des cycles de détection rapides. Enfin, RM Tech a apporté des audits clairs, utiles pour communiquer avec des parties prenantes non techniques.

La combinaison de ces outils permet d’identifier les zones à fort impact et d’orchestrer des plans d’assainissement. Pour « Julie », il a été pertinent d’aligner OnCrawl pour les corrélations logs/crawl, puis de valider les correctifs via des crawl ciblés, avant de déployer en production.

  • Mesurer en continu la couverture d’indexation.
  • Traquer les anomalies HTTP et les redirections multiples.
  • Évaluer la profondeur utile et le maillage des hubs.
  • Établir un backlog technique priorisé par ROI.

Suivi de visibilité et liens : arbitrer avec finesse

Pour le monitoring, SEMrush, Cocolyze et Smartkeyword ont fourni des perspectives complémentaires : suivi des SERP features, veille concurrentielle pragmatique et gestion de listes stratégiques. Côté liens, Majestic a livré des cartographies d’autorité très parlantes, tandis que des acteurs comme Search Foresight ont rappelé l’importance du contexte éditorial et des sujets piliers.

Plutôt que de multiplier les outils, l’approche recommandée a consisté à concentrer la donnée sur quelques bases robustes. Ensuite, un modèle de scoring léger a permis de prioriser les actions selon la valeur attendue. Cette sobriété analytique a facilité l’adoption par les équipes.

  • Normaliser les nomenclatures pour agréger les données.
  • Assembler un score simple : potentiel x faisabilité.
  • Suivre l’impact réel via transactions ou leads.
  • Documenter chaque action pour l’itération suivante.

Analytics, e-commerce et intégrations

Sur le volet mesure, AT Internet a été cité pour ses indicateurs propriétaires et sa conformité data. Pour l’e-commerce, l’écosystème Wizishop a permis d’exposer des bonnes pratiques de référencement directement exploitables par des marchands. Ce socle outillé a contribué à réduire le time-to-value des initiatives SEO.

En pratique, l’intégration de la donnée web avec les reporting internes se révèle décisive. Les conférenciers ont insisté sur l’importance d’un dictionnaire des métriques partagé entre marketing et produit. Ainsi, les arbitrages cessent de reposer sur des proxys et gagnent en clarté.

  • Rapprocher les sources : crawl, logs, analytics, ventes.
  • Définir des objectifs mesurables par sprint.
  • Mettre en place des revues mensuelles SEO x Produit.
  • Maintenir un registre d’expériences pour capitaliser.
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Ces outils et intégrations servent un objectif unique : aligner la technique et le business. Ils deviennent ainsi des tremplins de productivité, pas des fins en soi.

ROI, networking et leçons durables tirées de We Love SEO 2018

Au-delà des slides, l’événement a livré une équation coûts-bénéfices intéressante. Avec un billet à 118,80€, le retour attendu tient à la fois aux gains rapides identifiés et aux connexions nouées. Les discussions informelles ont souvent débloqué des points durs que des équipes traînaient depuis des mois. Le format intimiste a permis d’obtenir des avis circonstanciés et d’organiser des suivis post-événement.

De la feuille de route aux gains concrets

Les participants ont insisté sur l’intérêt de transformer les notes en plan d’action à J+7. Typiquement, un backlog priorisé intègre d’abord les correctifs techniques à fort impact. Ensuite, une seconde vague vise le maillage interne et les contenus piliers. Enfin, la réallocation du budget de crawl et une campagne de liens ciblée viennent consolider les acquis.

Pour « Julie », la séquence a suivi ce schéma. Les logs ont révélé une surconsommation sur des pages filtrées peu utiles. Après rationalisation, les robots ont concentré leur attention sur des collections rentables. Les sessions organiques qualifiées ont progressé, et la marge par clic a augmenté.

  • Identifier 5 quick wins techniques et les traiter en priorité.
  • Renforcer 3 hubs thématiques avec du maillage et des contenus.
  • Élaguer 20% des pages à faible valeur pour libérer le crawl.
  • Mettre sous surveillance 10 requêtes stratégiques.

Networking et effets d’entraînement

La valeur du réseau s’est affirmée au déjeuner et à l’afterwork. Ces moments ont accéléré l’accès à des retours d’expérience rares. Des duos agence/in-house ont convenu d’échanges réguliers, apportant du recul sur les roadmaps. Ce capital relationnel pèse dans la durée, surtout pour des chantiers techniques sensibles.

Les sponsors et partenaires n’ont pas cherché à imposer un discours. Ils ont plutôt favorisé la circulation d’idées et la comparaison de méthodes. Cette neutralité perçue a renforcé la crédibilité du rendez-vous.

  • Programmer un debrief inter-équipes dans les 10 jours.
  • Planifier un point trimestriel avec un pair du secteur.
  • Partager un playbook commun de tests SEO.
  • Confronter les résultats à des benchmarks d’outils.

Leçons durables et actualisation continue

Les enseignements de 2018 gardent une portée durable. L’obsession du résultat mesurable, la sobriété analytique et la rigueur technique restent valables. En parallèle, l’accès aux replays récents, notamment l’édition 2024 disponible sur YouTube, permet d’actualiser les pratiques sans perdre le fil. Les équipes bénéficient ainsi d’un référentiel qui évolue sans rupture.

En définitive, l’événement a rappelé que l’excellence SEO naît d’une boucle courte : hypothèse, test, mesure, itération. Ce cycle, bien gouverné, survit aux tendances et aux changements d’algorithmes.

  • Maintenir un journal d’expérimentations SEO.
  • Réviser trimestriellement les KPIs à la lumière du business.
  • Capitaliser les apprentissages dans une base interne.
  • Raccorder chaque victoire à une source de revenu.

Le ROI se matérialise lorsque la méthode devient une habitude d’équipe, et non une action ponctuelle.

On en dit quoi ?

Cette édition a marqué les esprits par sa densité et son pragmatisme. Le format ciblé, le choix de thématiques techniques et la qualité des intervenants ont livré des gains concrets aux participants. En reliant monitoring, liens, crawl & logs et analytics, « We Love SEO 2018 » a offert une méthode exportable, toujours valide aujourd’hui. Verdict : un rendez-vous de spécialiste, pensé pour celles et ceux qui veulent des résultats mesurables, pas des slogans.

Quel était le public visé par We Love SEO 2018 ?

L’événement s’adressait aux experts du search marketing, aux agences de référencement et aux équipes in-house. Le format à taille humaine visait des échanges approfondis et des réponses opérationnelles.

Quelles thématiques techniques ont structuré la journée ?

Quatre piliers ont été mis en avant : le monitoring des moteurs, l’analyse des liens, le crawl et l’analyse de logs, ainsi que l’analytics. L’objectif était de relier observation, diagnostic, action et mesure.

Combien d’intervenants et de sessions majeures ?

Le programme a réuni 17 experts, avec 4 études de cas et 2 tables rondes. Un déjeuner et un afterwork ont complété la journée pour favoriser le networking.

Quel rôle ont joué les outils comme OnCrawl ou Majestic ?

OnCrawl, Botify et RM Tech ont servi à cartographier le crawl et les logs. SEMrush, Cocolyze et Smartkeyword ont couvert le monitoring. Majestic a apporté la vision liens et AT Internet la métrique orientée business.

Peut-on revoir des contenus liés à l’événement ?

Oui. Il est possible de retrouver des replays récents, dont l’édition 2024, sur la chaîne YouTube d’OnCrawl. Ces vidéos permettent de confronter les enseignements historiques aux enjeux actuels.

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