Event table ronde entrepreneuriat digital Paris La Défense s’annonce comme une boussole pour les fondateurs, repreneurs et dirigeants qui veulent trancher vite, bien et au bon moment. Sur la scène de Paris La Défense Arena, les 9 et 10 avril, le rendez-vous Go Entrepreneurs mettra l’accent sur le « Pouvoir de choisir » avec un programme ramassé, concret et ouvert aux nouveaux entrants comme aux scale-ups. Entre conférences stratégiques, tables rondes opérationnelles et un large espace networking, le salon promet des réponses pratiques aux questions d’accès au financement, de go-to-market, de reprise d’entreprise et d’hypercroissance.
Le contexte renforce l’attrait. Portée par La French Tech, par des dispositifs publics comme Bpifrance et par l’essor de hubs tels que Station F, l’Île-de-France demeure la place forte européenne des starts-ups numériques. Pour un dirigeant en quête de traction ou pour un porteur de projet en phase d’idéation, l’événement joue le rôle d’accélérateur. Surtout, il rassemble des speakers inspirants, de Frédéric Mazzella à Vitalie Taittinger, en passant par Lucie Basch ou Thibaud Hug de Larauze, afin de relier retours d’expérience et méthodes duplicables. L’objectif est clair: repartir avec un plan d’action applicable dès la semaine suivante, des contacts qualifiés et une vision plus sûre des bons choix à faire à chaque étape.
Event table ronde entrepreneuriat digital Paris La Défense : le programme, les enjeux et les choix clés
Au cœur de Paris La Défense Arena, Go Entrepreneurs revient avec un fil rouge explicite: aider chaque entrepreneur à exercer le pouvoir de choisir. Choisir sa forme juridique, son positionnement, son canal d’acquisition, mais aussi ses partenaires et ses premiers recrutements. Le format est dynamique, avec une Main Stage et huit scènes thématiques qui couvrent l’amorçage, le financement, la reprise, la RSE ou encore l’IA appliquée au business.
Sur la séquence lancement, la conférence « Lancer votre entreprise avec le soutien de France Travail et Bpifrance » propose un parcours très balisé, de l’idée au premier marché. Le lendemain, la table ronde « À chaque projet, sa solution de financement » offre un panorama de la dette, des subventions, du capital-risque et des financements non dilutifs. Entre deux, des ateliers opérationnels détaillent des méthodes concrètes pour valider une proposition de valeur et orchestrer ses premiers leads.
La reprise d’entreprise prend une place singulière. Deux rendez-vous attirent les profils en reconversion: « Entreprise cherche repreneur à tout prix » et « La reprise d’entreprise, une alternative à la création ». On y parle détection d’opportunités, audit, pacte d’associés et intégration des systèmes. Les visiteurs peuvent ensuite consulter des experts sur le stand Bpifrance et Bpifrance Création (A41), afin d’obtenir un avis sur la structure de financement ou sur l’évaluation d’une cible.
Un persona résume bien les enjeux. Nadia, data scientist passée par Station F, développe une solution SaaS pour l’industrie du retail. Elle hésite entre un démarrage bootstrappé, une subvention d’innovation et une levée d’amorçage. Au salon, elle peut assister à la table ronde financement, prendre un créneau de coaching, puis rencontrer un chargé d’affaires Bpifrance et un mentor de Paris&Co. Cette séquence lui apporte trois décisions structurantes: calendrier de financement, mix marketing, et choix du premier hire technique.
Le casting de speakers rend l’apprentissage plus incarné. Frédéric Mazzella (Blablacar), Lucie Basch (Too Good To Go), Vitalie Taittinger (Champagne Taittinger), Thibaud Hug de Larauze (Back Market) ou encore Aurélien de Meaùx (Electra) partageront leurs trajectoires. Chaque intervention cible un enjeu précis: passage à l’échelle, construction de marque, économie circulaire ou monétisation de l’audience.
Le programme inclut aussi des dimensions humaines. « Programmer votre cerveau en mode Money Mindset » s’attaque aux croyances limitantes autour de l’argent. L’atelier vise à déverrouiller les négociations commerciales et à fluidifier la relation à l’investissement. Grâce à cette lucidité, un fondateur améliore ses conditions de dette, revoit sa politique de pricing et sécurise ses marges.
Pour capter la valeur de ces 48 heures, une préparation minutieuse s’impose. Il est utile d’identifier à l’avance trois priorités et cinq personnes à rencontrer. Cela permet ensuite d’organiser son agenda autour des créneaux critiques et d’utiliser l’espace networking pour des one-to-one ciblés.
- Dates et lieu : 9 et 10 avril, Paris La Défense Arena.
- Focus : Financement, reprise, IA, Go-to-market, RSE, recrutement.
- Institutions : Bpifrance, La French Tech, Paris&Co, Cap Créa.
- Objectif : Repartir avec des décisions concrètes et un réseau élargi.
In fine, le salon sert de catalyseur: on y affine ses choix, on teste ses options et on accélère son exécution.
Orientation éditoriale et ressources à forte valeur
La ligne éditoriale ancre le salon dans les enjeux du moment. L’IA générative, la cybersécurité, l’éco-conception logicielle et le commerce circulaire y tiennent une place notable. Les sessions mêlent retours d’expérience et playbooks opérationnels pour favoriser l’appropriation rapide.
Pour tirer profit des contenus, un compte-rendu par bloc thématique est recommandé. On consolide ainsi ses notes, puis on formalise un plan d’actions en trois étapes. Cette discipline évite l’effet « souffle court » post-événement.
- Playbooks : Templates de pitch, matrices de priorisation, check-lists d’audit.
- Ressources : Slides publics, replays, contacts qualifiés, pistes de financement.
- Livrables : Feuille de route 90 jours, pipeline partenaires, calendrier éditeur.
En reliant contenus, rencontres et décisions, la participation gagne en impact stratégique.
Tables rondes et ateliers à La Défense : méthodes pour lancer, valider et financer un projet digital
Les tables rondes dédiées à l’entrepreneuriat digital à La Défense se veulent très opérationnelles. Elles détaillent des frameworks simples à exécuter et alignent les actions avec le modèle d’affaires. Les animateurs favorisent le traitement de cas, ce qui facilite l’appropriation.
Pour bien démarrer, la session France Travail x Bpifrance cartographie les jalons de l’idéation au PMF. On y voit comment utiliser une landing page, un test d’adéquation problème-solution et des interviews clients guidées. La méthode réduit les investissements inutiles et accélère l’apprentissage.
Le financement s’organise en strates. La table ronde pilotée par Bpifrance explore la dette à court terme, les prêts innovation, les avances remboursables et la levée en seed. On y compare les coûts, la dilution et l’impact sur la gouvernance. Chacun ressort avec une vue réaliste de son « runway » et des prérequis pour convaincre un comité.
Choisir sa structure juridique et son réseau d’appui
Les choix juridiques façonnent la suite. Les ateliers détaillent les écarts entre SAS, SARL et micro-entreprise, en insistant sur la fiscalité et la protection du dirigeant. Ensuite, les réseaux d’accompagnement comme Paris&Co, Le Village by CA Paris, Makesense et Dojo complètent l’arsenal avec du mentoring et des connexions.
Les acteurs de l’écosystème parisien fournissent des ressources concrètes. Station F accueille des programmes sectoriels. Schoolab et Numa Paris animent des sprints d’innovation et des bootcamps. À WeWork La Défense, des workshops réguliers permettent de roder un pitch devant des investisseurs de passage.
- Décisions juridiques : statuts, pacte, BSPCE et régime fiscal.
- Réseaux : Paris&Co, Le Village by CA Paris, Makesense, Dojo.
- Hubs : Station F, Schoolab, Numa Paris, WeWork La Défense.
Ce maillage offre un cadre robuste pour passer du concept à l’exécution sans se disperser.
Financer son lancement: options, critères et erreurs évitables
Le financement obéit à des critères précis. On évalue la traction, la marge brute, la récurrence, puis la défendabilité technologique. Les banques regardent la visibilité de trésorerie, quand les investisseurs exigent un marché adressable clair et un plan d’acquisition efficient.
Pour éviter les erreurs, il faut séquencer sa levée. On commence par le non dilutif, puis on mobilise des business angels sectoriels. Ensuite, un seed peut accélérer la courbe d’apprentissage. Les ateliers insistent sur la data-room, l’alignement des term sheets et la gouvernance post-investissement.
- À faire : clarifier l’usage des fonds, anticiper le cash burn, cadencer les KPIs.
- À éviter : surévaluer la valorisation, multiplier les pivots, ignorer la marge contributive.
- À viser : runway 18 mois, product-market fit mesuré, CAC < LTV/3.
Un pitch bien séquencé, une data-room propre et une demande précise augmentent nettement le taux de succès.
Les replays ou contenus dérivés permettent de consolider les apprentissages. Cela aide à mettre à jour le deck et à valider ses hypothèses auprès de mentors de La French Tech.
Finalement, les ateliers transforment les bonnes intentions en plan d’exécution. On repart avec des check-lists, des contacts et un calendrier réaliste.
Écosystème d’entrepreneuriat digital autour de La Défense et de Paris : acteurs, lieux et connexions à activer
L’événement s’inscrit dans un environnement particulièrement dense. L’Île-de-France aligne des incubateurs, des accélérateurs et des communautés capables d’accompagner toutes les phases de croissance. Cette proximité renforce la valeur des rencontres réalisées à l’Arena.
Au sud-est de Paris, Station F regroupe des programmes ciblés pour le SaaS, le gaming, la climate tech ou la fintech. Les alumni y partagent des bibliothèques de ressources, des templates et des intros investisseurs. Les effets de réseau y sont puissants pour déclencher des deals.
Incubateurs et accélérateurs: trajectoires guidées et mise en relation
Paris&Co propose des plateformes d’innovation sectorielles et des passerelles vers des grands comptes. Le Village by CA Paris connecte les startups à l’écosystème bancaire, avec un accent sur la confiance et la preuve de valeur. Schoolab structure des sprints d’apprentissage centrés sur la preuve d’usage.
Du côté de l’impact, Makesense accompagne les modèles responsables. Par ailleurs, Numa Paris conserve une expertise reconnue dans l’animation d’ateliers d’accélération. Enfin, Dojo travaille des playbooks orientés produit et acquisition.
- Accès marché : PoC rapides, pilotes, rencontres grands comptes.
- Mentorat : Experts produit, growth, juridique, RH.
- Financement : Connextions BA, fonds seed, dispositifs Bpifrance.
Ce tissu dense fluidifie les cycles d’itération. Il sécurise aussi le passage au go-to-market en fournissant des preuves et des références.
Coworking, communautés et lieux de vie entrepreneuriaux
Autour de l’Arena, WeWork La Défense accueille des communautés productives, idéales pour organiser des debriefs post-salon. Schoolab et Numa Paris animent des talks réguliers, utiles pour élargir ses perspectives. À l’échelle de la capitale, Dojo et Makesense facilitent les rencontres informelles.
Cette capillarité crée une continuité utile avant, pendant et après le salon. On cale des rendez-vous, on teste des idées et on enclenche des collaborations. Les retombées se mesurent sur trois mois, puis sur un semestre.
- Avant : identifier 10 personnes cibles, prendre 5 rendez-vous off-site.
- Pendant : assister à 3 sessions clés, réaliser 8 one-to-one.
- Après : envoyer 12 follow-ups, booker 3 POC, fixer 1 KPI d’adoption.
Ce système simple évite l’éparpillement. Il transforme un événement dense en résultats tangibles.
Pour Nadia, le cheminement est clair. Rendez-vous à Go Entrepreneurs, debrief à WeWork La Défense, sprint chez Schoolab, puis pilote via Paris&Co. La boucle s’alimente grâce aux outils, aux intros et aux méthodes proposés par le réseau.
Le résultat est une progression maîtrisée. Chaque lieu devient un levier ciblé pour franchir une étape précise.
Reprise d’entreprise et scale-up numérique : une voie rapide pour accélérer à Paris La Défense
La reprise d’entreprise séduit les profils qui souhaitent gagner du temps. À Paris La Défense, les tables rondes sur le sujet posent des repères concrets pour transformer une opportunité en trajectoire de croissance. L’équation combine audit, financement et intégration culturelle.
Le salon met en scène deux temps forts. « Entreprise cherche repreneur à tout prix » ouvre la discussion sur la recherche de cibles, la valorisation et la négociation. « La reprise d’entreprise, une alternative à la création » détaille quant à elle les étapes d’un plan de 100 jours. L’objectif est d’éviter les angles morts fréquents lors des transmissions.
De la cible à la LOI : détection, audit et montage financier
Trois diagnostics structurent la décision. Le bilan opérationnel valide la qualité des marges et la récurrence des revenus. L’audit tech cartographie les dépendances critiques et les coûts cachés. Le volet humain, enfin, évalue la compatibilité culturelle et la gouvernance future.
Le montage financier s’articule selon la taille de l’opération. Une combinaison dette senior, mezzanine et quasi-fonds propres est souvent discutée. Avec Bpifrance et ses dispositifs, un cofinancement peut réduire le coût du capital tout en gardant un effet de levier correct.
- Pré-LOI : thèse d’investissement, shortlist, premières approches.
- LOI : termes clés, exclusivité, calendrier de due diligence.
- Closing : pacte, gouvernance, earn-out et KPI d’intégration.
Ce cadre réduit l’incertitude et fluidifie la relation entre cédant et repreneur. Il prépare aussi l’après.
Intégration post-acquisition : systèmes, marque et équipes
La réussite se joue dans les 100 premiers jours. Les sessions insistent sur l’intégration des systèmes d’information, la rationalisation des outils SaaS et la consolidation de la marque. La communication interne limite le turnover et ancre la nouvelle trajectoire.
Des cas d’école seront partagés par des dirigeants passés par la case scale-up. On y trouve des plans de migration CRM, des stratégies SEO de consolidation et des chantiers d’optimisation de coûts cloud. Ce réalisme évite les dérapages budgétaires.
- Piloter : PMO d’intégration, rituels hebdomadaires, indicateurs d’adoption.
- Protéger : maintien de la satisfaction client, SLA, roadmap de stabilité.
- Projeter : rebranding léger, upsell, cross-sell et expansion géo.
Pour une équipe technique, l’enjeu est de passer d’un patchwork d’outils à une architecture cohérente. Cela se traduit par des gains de productivité rapides.
Un visionnage complémentaire de tables rondes antérieures aide à préparer ses questions. Le stand Bpifrance reste un point de passage utile pour affiner son plan de financement et son calendrier.
Au final, la reprise n’est pas une voie de facilité. C’est une stratégie d’accélération qui s’adresse aux profils structurés, capables d’intégrer vite et bien.
Networking, pitch et visibilité à Paris La Défense : transformer 48 heures en traction durable
Le salon réunit jusqu’à 50 000 participants et diffuse près de 250 conférences. Dans ce flux, la préparation de l’agenda et du pitch devient décisive. Un plan simple multiplie les chances de rencontres utiles et de décisions rapides.
La veille, un deck condensé en dix slides doit être prêt. Il faut prévoir des versions selon l’audience: investisseur, prospect, partenaire. Le jour J, un pitch de 90 secondes, une version 5 minutes et un format Q&A de 10 minutes couvrent la plupart des situations.
Organiser son agenda et cibler ses rencontres
Il est pertinent de réserver les créneaux critiques. Les temps forts financement, reprise et IA font l’objet d’un arbitrage. Ensuite, l’espace networking sert aux one-to-one programmés, puis aux rencontres opportunistes.
Le ciblage se fait par objectifs. Pour un tour d’amorçage, on liste d’abord les investisseurs pertinents, puis les mentors thématiques. Les décideurs de Paris&Co, de La French Tech et de Bpifrance figurent en bonne place.
- Agenda : 3 sessions prioritaires, 6 rendez-vous qualifiés, 1 marge d’imprévu.
- Pitch : versions 90s, 5 min et Q&A 10 min.
- Suivi : email J+1, proposition claire, calendrier de next steps.
Cette discipline transforme une conversation en pipeline concret. Elle évite aussi la dispersion.
Se connecter aux speakers et aux médias présents
Les intervenants inspirent et ouvrent des portes. Écouter Vitalie Taittinger, Lucie Basch ou Thibaud Hug de Larauze offre des angles précis sur la marque, l’impact et la scalabilité. Les questions posées en séance doivent être brèves, ciblées et mémorables.
La présence de médias et de créateurs de contenu renforce la visibilité. Un dossier de presse condensé, un storytelling précis et quelques assets visuels aident à décrocher un papier. Une vidéo courte tournée sur place peut également déclencher des opportunités.
- Intervenants : Frédéric Mazzella, Lucie Basch, Vitalie Taittinger, Thibaud Hug de Larauze.
- Rendez-vous : stand Bpifrance, corner La French Tech, espaces Paris&Co.
- Off-sites : WeWork La Défense, Schoolab, Numa Paris.
Pour Nadia, deux actions créent l’effet levier. Un pitch court avant la table ronde financement, puis un one-to-one avec un VC rencontré au networking. La suite se joue sur un follow-up soigné et une demande précise.
En somme, la traction se construit par l’attention aux détails. Le salon facilite le premier contact, mais la rigueur transforme l’essai.
Expériences immersives, IA et levier d’inspiration à Go Entrepreneurs Paris La Défense
Au-delà des rendez-vous techniques, le salon cultive l’inspiration. Les performances artistiques, les démonstrations et les masterclasses créent des déclics inattendus. Cette stimulation nourrit la créativité et la prise de décision.
Les sujets IA reviennent avec insistance. Des sessions sur l’usage responsable, l’automatisation commerciale et la production de contenus accélèrent l’adoption. Les retours d’expérience démystifient les coûts et les gains réels.
Programmes thématiques, money mindset et culture de l’exécution
La séance « Programmer votre cerveau en mode Money Mindset » cible un frein répandu. En assumant le sujet, les dirigeants se donnent le droit de négocier mieux et plus vite. Cela rejaillit sur la marge et sur la capacité à investir.
Les expériences immersives challengent les habitudes. En s’exposant à des pratiques venues d’autres secteurs, un fondateur peut améliorer sa roadmap, son onboarding produit et son marketing. Le brassage de disciplines alimente des solutions sobres et efficaces.
- IA appliquée : prospection, contenu, support client, data ops.
- Mindset : relation à l’argent, négociation, priorisation.
- Exécution : sprints, métriques, boucles d’apprentissage.
Ce trio renforce la performance sans multiplier les coûts. Il permet aussi d’aligner l’équipe autour d’objectifs sensibles.
Exemples concrets et plan d’action post-événement
Les cas partagés par des dirigeants reconnus donnent de la matière. L’équipe de Back Market incarne l’hypercroissance maîtrisée sur un marché exigeant. Too Good To Go montre qu’impact et modèle scalable peuvent coexister, avec une discipline produit stricte.
Un plan post-événement s’impose. Trois objectifs trimestriels, un budget associé et un circuit de décision clair favorisent la mise en œuvre. Avec l’appui de Bpifrance et des réseaux La French Tech, l’exécution gagne en momentum.
- Priorités : 1 objectif revenu, 1 objectif produit, 1 objectif finance.
- Rituels : revue hebdo, métriques, arbitrages rapides.
- Alliés : mentors Paris&Co, ateliers Numa Paris, sessions Schoolab.
Cette méthode convertit l’inspiration en résultats mesurables. Le terrain décide ensuite du tempo d’exécution.
En définitive, l’immersion, la méthode et les réseaux créent un véritable effet de cliquet. Les décisions franchies ne se défont plus.
On en dit quoi ?
L’événement table ronde entrepreneuriat digital à Paris La Défense coche les cases essentielles: contenus actionnables, réseaux à forte valeur, et diversité des parcours. Les choix structurants y sont traités sans détour, de la reprise à l’IA, avec des méthodes qui résistent à l’épreuve du terrain. En deux jours, un projet gagne de la clarté, un réseau et une feuille de route crédible. L’avis est tranché: pour qui cherche des réponses concrètes, c’est le bon endroit au bon moment.
Comment se préparer efficacement à Go Entrepreneurs Paris La Défense ?
Définissez trois priorités, ciblez cinq contacts clés et préparez un pitch en versions 90 secondes, 5 minutes et Q&A. Réservez les sessions critiques et planifiez des one-to-one dans l’espace networking, puis organisez un debrief à WeWork La Défense pour fixer vos next steps.
Quelles sessions sont recommandées pour le financement ?
Assistez à « À chaque projet, sa solution de financement » animé par Bpifrance, puis prenez un rendez-vous au stand Bpifrance et Bpifrance Création (A41). En parallèle, préparez une data-room claire et un plan d’usage des fonds.
La reprise d’entreprise est-elle plus rapide que la création ?
Elle accélère l’accès au marché si l’audit opérationnel, tech et humain est solide. Les tables rondes dédiées et l’accompagnement Bpifrance aident à structurer le montage, le pacte et le plan de 100 jours.
Quels lieux activer à Paris pour prolonger l’élan du salon ?
Station F pour les programmes thématiques, Paris&Co pour l’accès marché, Le Village by CA Paris pour l’écosystème bancaire, Schoolab et Numa Paris pour les sprints, Makesense et Dojo pour les communautés, et WeWork La Défense pour vos debriefs.
Comment intégrer l’IA de manière responsable dans sa startup ?
Commencez par des cas d’usage à ROI rapide (prospection, contenu, support). Fixez des garde-fous éthiques, mesurez le gain réel et documentez les workflows. Les sessions IA du salon proposent des retours d’expérience et des outils concrets.
Journaliste spécialisée dans les nouvelles technologies, passionnée de gadgets et d’innovations. À 39 ans, je décrypte chaque jour l’impact du numérique sur notre quotidien et partage mes découvertes auprès d’un large public averti ou curieux.