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Event retour du Midem 2018 by Cap Digital

ÉvénementEvent retour du Midem 2018 by Cap Digital
Faits marquants5e année de la délégation, 18 start-up (record), partenariat confirmé avec l’IRMA
Lieu et périodeCannes, Palais des Festivals, 5–8 juin 2018
ObjectifsVisibilité internationale, rencontres B2B, tests d’usage, deals commerciaux pilotes
Acteurs de l’écosystèmeSACEM, Deezer, Believe, INA, France Musique, Radio France, Sony Music France, Universal Music France
Pépites clésArenametrix, Wyker, Gigz, BassMe, 3DIAS, Playzer, Ora-X, Revive, Scènso.tv, Simbals
ThèmesData marketing, audio immersif, recommandation, streaming vidéo, blockchain, NFC, design sonore

Au cœur du Palais des Festivals de Cannes, la délégation Cap Digital a marqué le Midem 2018. Le Pavillon French Tech a affiché un record avec 18 start-up réunies pour célébrer cinq années d’une initiative devenue repère. Les visiteurs ont découvert des usages concrets, de la recommandation de concerts à l’audio immersif. L’IRMA a coanimé l’espace, tandis que labels, éditeurs, diffuseurs et plateformes engageaient des échanges nourris. L’écosystème français a trouvé une scène internationale pour défendre ses innovations et confronter ses modèles.

Dans ce retour, les faits sont relus à la lumière des pratiques actuelles. Les solutions de 2018 ont rencontré la transition vers l’économie de l’expérience et des données. Les acteurs clés, de la SACEM à Deezer, de Believe à Radio France, ont observé, testé et parfois prototypé. Les rencontres avec Sony Music France, Universal Music France, l’INA et France Musique ont affûté des cas d’usage réalistes. Ce bilan éclaire ce que ces journées ont déclenché pour les entrepreneurs, les décideurs et les artistes, et trace des repères utiles pour les stratégies de 2025.

Event retour du Midem 2018 by Cap Digital : ce que la délégation a changé

Le Pavillon French Tech piloté par Cap Digital a déplacé les lignes. La présence coordonnée de 18 start-up a offert une force de frappe rarement observée au Midem. Les rendez-vous ont gagné en densité grâce à une narration collective, claire et orientée usages. La cohérence du stand a rassuré des décideurs en quête de solutions intégrables.

Le marché se transformait déjà. Les plateformes structuraient l’écoute, alors que la scène live reprenait la main sur les revenus. Les solutions data arrivaient donc au bon moment. Elles promettaient d’optimiser la billetterie, les tarifications et la relation client. Ce pivot reste central dans les stratégies actuelles.

Un marché global en recomposition

Entre 2016 et 2018, la bascule vers l’abonnement s’est accélérée. Par conséquent, les producteurs ont cherché des outils d’analyse fiables. Des solutions comme Arenametrix ont proposé des tableaux de bord activables, utiles pour les salles et festivals. La logique restait simple : comprendre la demande pour mieux adresser l’offre.

Les diffuseurs publics ont, eux aussi, renforcé leurs processus. Radio France et France Musique ont observé la montée des formats hybrides, entre podcast, live filmé et sessions. Ainsi, les pépites du Pavillon ont proposé de nouveaux écrans et des expériences enrichies. L’objectif : capter l’attention sans rompre la qualité d’écoute.

Regards de la délégation et dynamiques concrètes

Sur le stand, une responsable produit de Wyker, appelons-la Léa, a déroulé des démonstrations en continu. Elle a montré comment un moteur de recommandation de concerts amplifie la découverte locale. De fil en aiguille, programmateurs et salles ont sondé la pertinence de ces suggestions. Les échanges ont été directs et factuels.

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Dans le même temps, des prototypes immersifs ont attiré les curieux. Des visiteurs ont ressenti les basses à travers un dispositif porté sur le torse. L’effet de surprise a déclenché des discussions sérieuses sur l’accessibilité et le confort d’usage. Ces retours ont pesé dans la feuille de route des équipes.

  • Trois bascules clés : pilotage par la donnée, expérience immersive, vidéo premium.
  • Trois obstacles : intégration technique, coût d’équipement, acquisition d’audience.
  • Trois leviers : preuve d’usage, partenariats médias, métriques de conversion.

Ce déplacement collectif a donc structuré un récit crédible : des solutions prêtes, des usages vérifiés, et des interlocuteurs alignés.

French Tech au Midem 2018 : 18 start-up et cinq ans d’initiative structurante

La cinquième année de la délégation a installé une dynamique de confiance. L’IRMA a consolidé l’accompagnement, tandis que Cap Digital a orchestré les rendez-vous et les prises de parole. Le record des 18 start-up a permis une couverture large des besoins de l’industrie.

Le panorama reflétait la diversité des usages. Des outils de marketing prédictif côtoyaient des casques vidéo, des enceintes en béton, et des plateformes de streaming vidéo musical. Cette variété s’appuyait sur des scénarios d’intégration soignés.

Panorama des solutions présentées au Pavillon French Tech

Plusieurs familles d’innovations se distinguaient. Les solutions data visaient l’optimisation des ventes et la tarification intelligente. Les expériences immersives cherchaient à réinventer la sensation. D’autres projets élargissaient la diffusion, en misant sur la vidéo et la curation.

  • Data et marketing : Arenametrix (Tech4Team), Simbals, TradeSpotting.
  • Découverte et curation : Wyker, Gigz, Soonvibes.
  • Immersion et hardware : 3DIAS, BassMe, Le Pavé Parisien (The Concrete Family), Funky Sound.
  • Vidéo et streaming : Playzer, Scènso.tv, Sweesp.
  • Interfaces et XR : Ora-X (Optinvent), Artist.Live.
  • Objets connectés et édition : Revive (Yes It Is), High Lab Mastering & Groov Lab’s.

Des rencontres ciblées avec Deezer et Believe ont testé la compatibilité des API et des métadonnées. Les exigences de qualité de service ont guidé les discussions techniques. Les équipes ont privilégié des intégrations responsables et réversibles.

Focus sur l’expérience live, la vidéo et l’immersif

Le live fut un terrain d’essai idéal. Des solutions de recommandation et de billetterie ont sourcé des signaux sociaux pour alimenter des scénarios d’activation. Le public a validé le bénéfice perçu : moins de friction, plus de pertinence.

Côté vidéo, Playzer et Scènso.tv ont insisté sur la monétisation et l’éditorialisation. Des essais ont mis en regard la fidélité de l’audience et les coûts de diffusion. Ce couple reste décisif aujourd’hui.

  1. Objectif commun : accroître la valeur d’usage pour l’utilisateur final.
  2. Condition de succès : aligner technique, juridique et monétisation.
  3. Preuve : démos guidées, tests sur site, retours de programmateurs.

Ce socle a facilité ensuite des échanges avec des acteurs institutionnels et des majors, thème qui s’impose dans la suite de ce retour.

Ces images et séquences donnent un aperçu du rythme et des usages défendus sur le stand, utiles pour contextualiser les analyses suivantes.

Innovations marquantes du Pavillon French Tech : cas d’usage et retours d’expérience

Les visiteurs ont cherché des preuves d’impact. Les équipes ont donc présenté des cas d’usage concrets, centrés sur des gains mesurables. Ce choix a fluidifié les discussions, parfois complexes, autour des droits et des intégrations.

Sur la data, un cas orienté billetterie a détaillé une stratégie de segmentation. Les emails et campagnes sociales ont été ajustés en temps réel. Le taux d’ouverture et l’occupation des salles ont progressé, selon les retours partagés sur le stand. Cette approche reste aujourd’hui une base solide.

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Audio immersif et interfaces augmentées

La démonstration d’un dispositif haptique a synthétisé une promesse claire : ressentir la musique différemment. Les visiteurs ont expérimenté des basses physiques, sans surenchère de volume. Des questions d’ergonomie ont émergé immédiatement. Les équipes ont noté la demande pour des formats plus légers et plus modulaires.

En parallèle, le concept 3D Hi‑Fi a mis en scène une écoute spatialisée multi‑canal. Les tests, menés sur fauteuils et canapés, ont montré l’importance du réglage fin. Les professionnels du mixage ont aussi évoqué la compatibilité avec les workflows existants. La valeur perçue dépendait de l’aisance de mise en œuvre.

Vidéo musicale, blockchain et vinyles connectés

Le streaming vidéo a été traité sous l’angle éditorial et premium. Le public a regardé des captations live avec une recommandation fine. Les discussions ont porté sur la rémunération transparente. Un système de traçabilité basé sur un registre distribué a illustré une piste crédible, à condition de soigner l’expérience utilisateur.

Le vinyle a retrouvé une place centrale. Une puce NFC intégrée au disque a simplifié la pré‑écoute et l’accès aux versions numériques. Des disquaires présents à Cannes ont validé la logique de passerelle entre physique et digital. Les questions portaient sur la durabilité de la puce et le respect des métadonnées.

  • Bonnes pratiques : démo scénarisée, indicateurs simples, parcours court.
  • Points d’attention : interopérabilité, maintenance, accessibilité.
  • Accélérateurs : partenariats médias, tests A/B, retours d’artistes.

Ces retours ont armé les start-up pour des échanges plus techniques avec les plateformes et les diffuseurs. La suite de l’événement a donc creusé la voie des partenariats.

Ces extraits vidéo permettent d’illustrer la réception des démos par un public professionnel, précieux pour évaluer la capacité à convaincre en conditions réelles.

Partenariats et écosystème : des rencontres avec SACEM, Deezer, Believe, INA et les grands médias

Les rendez-vous ont apporté de la substance aux projets. La SACEM a mis en avant la clarté des identifiants d’œuvres et l’importance des relevés précis. Ce cadre reste indispensable pour l’innovation. Les discussions ont intégré l’ISWC, l’ISRC et la chaîne des droits.

Avec Deezer et Believe, les start-up ont exploré l’accès aux API, la qualité des métadonnées et les contraintes de performance. Les équipes ont comparé des schémas d’intégration, en pesant le coût d’implémentation et le bénéfice utilisateur. La robustesse a guidé ces arbitrages.

Dialogue avec médias et institutions

Radio France et France Musique ont partagé leur vision sur l’audio éditorial et la diversité des formats. L’INA a évoqué la valorisation d’archives, un terrain riche pour l’IA et la recommandation. Les start-up ont proposé des pistes de contextualisation intelligente. Ce dialogue a posé des bases concrètes pour des pilotes.

Les majors, dont Sony Music France et Universal Music France, ont challengé la proposition de valeur. Les échanges ont porté sur l’expérience fan, la conversion et la réduction de la friction. Les prototypes ont alors trouvé des cas d’usage plus précis, parfois centrés sur des catalogues thématiques.

Formats de collaboration et critères d’évaluation

Les équipes ont avancé par étapes. Elles ont privilégié des pilotes limités dans le temps, assortis de critères clairs. Cette méthode a réduit les risques et accéléré l’apprentissage. Les indicateurs de succès ont été partagés en amont.

  • Pilotes : 8 à 12 semaines, objectifs mesurables, comité de suivi.
  • Interopérabilité : formats standards, SLA, réversibilité.
  • Métriques : rétention, ARPU, satisfaction, coût de service.
  • Conformité : RGPD, gestion des consentements, éthique data.

Ce canevas a aidé à cadrer les premières intégrations. Les initiatives ont ensuite bénéficié de retours d’artistes et de programmateurs, utiles pour affiner l’offre.

À ce stade, un prochain thème s’impose : comment ces enseignements orientent-ils les stratégies en 2025 ? Les lignes de force restent lisibles, et des priorités émergent.

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Leçons pour 2025 : data, audio immersif et modèles d’affaires inspirés du Midem 2018

Les enseignements de 2018 offrent un guide opérationnel. Les entrepreneurs gagnent à articuler preuve d’usage, simplicité d’intégration et respect des droits. Cette trilogie rassure les décideurs et accélère les déploiements. Les plateformes et diffuseurs privilégient ce type de démarches.

La donnée reste l’épine dorsale. Elle irrigue la billetterie, la recommandation et le marketing relationnel. En 2025, l’IA générative et l’IA d’assistance élargissent encore les usages. Toutefois, les équipes gardent la main sur l’édition et la curation. Cet équilibre protège la qualité et la confiance.

Framework d’action pour les start-up musique/tech

Les projets gagnent en impact avec une méthode claire. Il s’agit de structurer des preuves, de définir des métriques et de sécuriser l’infrastructure. Le tout doit cohabiter avec les contraintes juridiques et les attentes des utilisateurs. Ce cadre limite les angles morts.

  • Design d’usage : un parcours simple, une promesse unique, une démo fluide.
  • Technique : API stables, logs exploitables, monitoring.
  • Données : governance, qualité, explicabilité.
  • Droits : conformité SACEM, reporting, traçabilité.
  • Go‑to‑market : presse ciblée, partenariats avec Deezer ou Believe, deals pilotes.

L’audio immersif avance aussi. Les standards évoluent, et les casques se démocratisent. Les expériences haptiques cherchent encore leur product‑market fit. Les tests en salle et les pop‑up stores offrent des retours riches. Les équipes doivent intégrer ces signaux dès la conception.

KPIs et trajectoire post‑événement

Un événement comme le Midem agit comme un accélérateur. Il ne remplace pas l’exécution du quotidien. Après Cannes, les équipes doivent donc poursuivre les tests et affiner leurs offres. La rigueur paie sur la durée.

  1. Pipeline : leads qualifiés, taux de transformation, cycle de vente.
  2. Produit : rétention, NPS, coût de service, stabilité.
  3. Revenus : MRR, panier, marge brute.
  4. Brand : mentions média (France Musique, Radio France), relations labels.

Enfin, la sobriété numérique s’invite dans les arbitrages. Les acteurs, y compris Sony Music France et Universal Music France, regardent l’empreinte des services. Les start-up qui l’intègrent tôt gagnent du temps. Ce critère complète utilement la grille d’évaluation.

On en dit quoi ? Le verdict sur le Midem 2018 by Cap Digital

Ce retour met en évidence un constat net : la délégation Cap Digital au Midem 2018 a servi d’aimant à opportunités. Les rencontres avec la SACEM, Deezer, Believe, l’INA, France Musique et Radio France ont clarifié les critères d’adoption. Les échanges avec Sony Music France et Universal Music France ont, eux, cadré la proposition de valeur.

En filigrane, l’impact réel vient d’une alchimie simple : des preuves d’usage solides, un récit collectif et une exécution rigoureuse après l’événement. Les tendances observées en 2018 gardent leur pertinence en 2025, à condition d’intégrer l’IA responsable, la qualité des données et la sobriété. Cette combinaison signe des projets pérennes, utiles pour les artistes comme pour le public.

Qu’est-ce qui a fait la force du Pavillon French Tech by Cap Digital au Midem 2018 ?

L’alliance d’un récit collectif, de 18 start-up complémentaires et d’un partenariat avec l’IRMA a offert des démos concrètes et des cas d’usage prêts à l’emploi. Cela a fluidifié les discussions avec plateformes, diffuseurs, labels et institutions, de la SACEM à Radio France.

Quels types de solutions ont le plus retenu l’attention à Cannes ?

Les outils data pour la billetterie et la recommandation, les expériences d’audio immersif (3D, haptique) et la vidéo musicale premium. Des projets comme Arenametrix, 3DIAS, BassMe, Playzer ou Scènso.tv ont livré des démonstrations orientées bénéfices.

Comment préparer un pilote avec une plateforme comme Deezer ou un distributeur comme Believe ?

Cadrer 8–12 semaines, définir des métriques (rétention, conversion), anticiper l’interopérabilité des métadonnées et assurer le respect des droits. Une démo scénarisée et un plan de monitoring facilitent l’alignement des équipes.

Quel rôle jouent les médias publics et les institutions (INA, France Musique, Radio France) ?

Ils apportent des terrains d’expérimentation, une exigence éditoriale et des enjeux de patrimoine. Leurs contraintes forcent des solutions robustes et responsables, utiles pour passer à l’échelle.

Quelles priorités stratégiques en 2025 pour les start-up musique/tech ?

Renforcer la qualité des données, intégrer l’IA de façon transparente, concevoir des expériences sobres en ressources, et sécuriser des partenariats pas à pas. Les leçons du Midem 2018 éclairent encore ces trajectoires.

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