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Event maddy keynote 2019

Conçue comme un laboratoire d’idées, la Maddy Keynote 2019 a condensé en une journée l’effervescence de l’innovation française. L’événement, organisé par Maddyness au CENTQUATRE-PARIS, a proposé une projection pragmatique et inspirante intitulée “Une journée en 2084”. Au programme, des keynotes, des débats et des expériences immersives centrés sur trois piliers concrets de la vie quotidienne : le travail, la consommation et le bien-être. Cette édition a réussi le pari d’ouvrir la réflexion au-delà des scénarios dystopiques habituels, en documentant des trajectoires tangibles, soutenues par des cas d’usage et des retours d’expérience précis.

Avec plus de 7000 visiteurs attendus et une zone immersive de 800 m², la manifestation a rassemblé start-up, chercheurs, décideurs publics et grands groupes. Sur scène, des intervenants reconnus ont confronté visions et preuves, tandis que des entreprises comme BNP Paribas, Orange, Google, IBM, EDF, KPMG, SNCF ou BNP Paribas Real Estate étaient citées au fil des discussions comme références ou cas d’étude. En 2025, nombre d’intuitions partagées ce jour-là trouvent un écho concret : automatisation mieux outillée, sobriété numérique en progrès, et hybridation des organisations. L’édition 2019 reste ainsi une scène de référence pour mesurer l’écart entre promesses et réalisations, et pour identifier ce qui a réellement tenu la distance.

Event Maddy Keynote 2019 : contexte, chiffres et promesse d’une journée en 2084

Le 31 janvier 2019, la Maddy Keynote a pris ses quartiers au CENTQUATRE-PARIS. Le format visait une immersion totale grâce à une scénographie futuriste et une ligne éditoriale axée sur l’action. L’ambition était claire : raconter une “journée en 2084” à travers des expériences concrètes plutôt que des futurologies abstraites.

La foule a été au rendez-vous. Plus de 7000 participants ont circulé entre les scènes, les labs, les démonstrations et les ateliers. Ce flux a nourri des interactions riches entre entrepreneurs, chercheurs, élus et responsables innovation de groupes établis.

Au cœur de la proposition, trois thématiques ont structuré l’ensemble : travail, consommation et bien-être. Chacune a servi de fil rouge pour relier tendances technologiques, cadres réglementaires, attentes citoyennes et modèles d’affaires.

La cohérence du dispositif reposait sur une alternance dynamique : keynotes inspirantes, débats contradictoires et retours d’expérience. Cette mécanique a permis de passer des principes aux preuves, puis aux limites, sans perdre le public.

Les partenaires de l’écosystème ont enrichi la densité des échanges. Des cas d’usage ont mobilisé des références telles que BNP Paribas, Orange, Google et IBM, utiles pour illustrer des déploiements à l’échelle.

La présence de décideurs publics et d’acteurs de La French Tech a consolidé le pont entre innovations privées et politiques publiques. Cette articulation est apparue centrale pour traiter des questions d’éthique, d’emploi et de souveraineté.

Pour ancrer la réflexion, une zone immersive de 800 m² a exposé des dispositifs et prototypes. Les visiteurs y ont testé des expériences liées à la santé, à la mobilité ou à la ville durable.

Les organisateurs ont aussi misé sur la pédagogie par l’usage. Des ateliers ont décortiqué des méthodes très opérationnelles, comme le design fiction, les scénarios d’impact et l’évaluation responsable de l’IA.

En filigrane, un récit s’est dessiné : on ne subit pas le futur, on le construit avec des preuves, des garde-fous et des arbitrages. Ce message a structuré tout l’événement.

  • Lieu : CENTQUATRE-PARIS, espace culturel adapté aux formats hybrides.
  • Date : 31 janvier 2019, format concentré sur une journée.
  • Thèmes : travail, consommation, bien-être, avec des cas concrets.
  • Zone immersive : 800 m² d’expériences et de démonstrations.
  • Écosystème : startups, chercheurs, pouvoirs publics, grands groupes.

Cette base factuelle pose le cadre : la Maddy Keynote 2019 a combiné vision, usage et cadre collectif.

Une mise en scène futuriste au CENTQUATRE-PARIS

Le choix du lieu n’était pas neutre. Il a servi une scénographie où le public devenait acteur, et pas simple spectateur. La progression dans l’espace reproduisait la journée en 2084.

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Les interactions ont été pensées comme des boucles courtes. On expérimentait, puis on débattait, avant de revenir vers des ateliers concrets. Cette circulation a tenu l’attention sans fatigue cognitive.

Le dispositif a aussi encouragé des rencontres fortuites. Des designers ont croisé des ingénieurs, des chercheurs en sociologie ont discuté avec des product managers. Cette mixité a fait émerger des idées actionnables.

Trois axes fondateurs pour penser 2084

Les trois axes ont été traités à parts égales. Chaque pilier du quotidien a été abordé avec la même exigence de preuve et de nuance.

Le travail a concentré des questions d’automatisation, de compétences et d’hybridation des organisations. La consommation a connecté sobriété, logistique et data. Le bien-être a intégré santé mentale et confiance numérique.

Grâce à cette structure, l’événement a évité l’écueil des tendances isolées. Les ponts entre thèmes ont mis en lumière les interdépendances réelles.

Keynotes et débats marquants de la Maddy Keynote 2019

Sur scène, la diversité des profils a nourri le fond. Entrepreneurs, chercheurs et décideurs publics ont partagé angles et preuves complémentaires, en écho au terrain.

Des figures de l’entrepreneuriat comme Lucie Basch (Too Good To Go), Bénédicte de Raphélis Soissan (Clustree) ou Alexandre Prot (Qonto) ont illustré des trajectoires de croissance responsables. Leurs interventions ont détaillé des arbitrages concrets.

Côté sphère publique, la parole de Muriel Pénicaud, de Kat Borlongan et de Pierre Person a aidé à situer l’action. Les échanges ont précisé des leviers réglementaires et des enjeux de compétitivité.

La méthode scientifique a été présente. Jérémy Saget, Jean-Claude Heudin et Patrice Flichy ont apporté des repères robustes sur l’IA, la relation homme‑machine et les dynamiques sociales.

Des représentants de grands groupes comme Olivier Derrien (Salesforce France) et Maxime Guirauton (Samsung Europe) ont partagé des cas d’intégration à grande échelle. Ces retours ont mis l’accent sur la gouvernance et la mesure d’impact.

Au fil des sessions, des références à Google, IBM ou KPMG ont apporté des points de comparaison internationaux. Les discussions ont relié IA responsable, cybersécurité et productivité mesurable.

Un fil conducteur s’est imposé : l’anticipation doit rester réfutable. Les visions gagnent en crédibilité lorsqu’elles se confrontent à des métriques, à des coûts et à la réglementation.

Un personnage, Noa, a servi d’ancrage narratif lors de plusieurs ateliers. Cette figure de collaborateur augmenté, ni surqualifié ni exclu, a permis de simuler des scénarios réalistes de travail hybride.

  • Messages clés : transparence des algorithmes, frugalité, design centré humain.
  • Points de friction : biais de données, gouvernance, formations à la demande.
  • Indicateurs : valeur métier, empreinte carbone, confiance utilisateur.

En 2025, plusieurs prédictions se vérifient. Les outils augmentés se sont normalisés dans les équipes, tandis que les projets à fort impact sociétal exigent plus de preuves et d’audits.

Intervenants et messages clés à retenir

La force de l’édition réside dans l’articulation entre convictions et preuves. Les interventions ont fait émerger des doctrines opérationnelles plutôt que des slogans.

Le couplage “IA + expert métier” s’est imposé comme une ligne directrice. En parallèle, l’attention à la sobriété numérique a progressé dans les roadmaps.

Éthique, humain augmenté et responsabilité

Les débats sur “l’homme augmenté” ont adopté une approche sans sensationnalisme. Les intervenants ont insisté sur la responsabilité, l’explicabilité et le droit à la déconnexion.

Un consensus a émergé : l’innovation reste souhaitable si elle respecte les droits fondamentaux et si ses bénéfices sont mesurables pour tous les publics.

Cette synthèse éclaire l’ADN de l’événement : inspirer, mais toujours avec des garde-fous concrets et des métriques claires.

Zone immersive de 800 m² : démonstrations, ateliers et expériences

Le cœur vivant de l’événement était cette zone immersive de 800 m². Les visiteurs y ont testé des prototypes, des simulateurs et des démonstrateurs concrets.

Les thématiques couvraient des usages quotidiens. On passait de la santé connectée à la ville durable, puis à la mobilité fluide, le tout avec des interfaces explicites et mesurées.

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Des entreprises ont été citées pour illustrer des cas d’usage structurants. EDF a servi de repère sur l’énergie, la SNCF sur la mobilité, et BNP Paribas Real Estate sur la ville servicielle.

La scène “ville de 2084” a connecté confort, sobriété et inclusion. Les démonstrations ont insisté sur la transparence des choix techniques et sur les droits des usagers.

Du côté “travail”, des espaces de co‑création ont animé des sprints avec des outils collaboratifs avancés. Les retours ont été concrets et mesurables.

Le récit de Noa a guidé des scénarios de bout en bout. Cette continuité a évité l’effet “gadgets” et a montré des chaînes de valeur cohérentes.

Les participants ont pu expérimenter des parcours “sans couture”. L’objectif était d’évaluer le confort, la confiance et l’appropriation réelle par des publics variés.

Les facilitateurs ont documenté chaque étape. Les retours ont nourri des matrices d’enjeux partagés aux équipes projet.

  • Expériences : santé préventive, habitat responsable, mobilité multimodale.
  • Méthodes : design fiction, story‑mapping, évaluation d’impact.
  • Indicateurs : accessibilité, empreinte carbone, apprentissage utilisateur.

Des références à Orange, Google et IBM ont permis de comparer des approches d’IA embarquée, d’edge computing et de cloud responsable. Les limites et les compromis ont été détaillés.

Parcours type d’un visiteur dans l’espace immersif

Le parcours commençait par une carte d’intentions. Le participant choisissait des modules selon ses priorités, puis il mesurait son expérience via un court questionnaire.

Le second temps consistait à co‑écrire des scénarios avec des facilitateurs. Des alternatives étaient testées, avec un retour immédiat sur les effets.

Enfin, un atelier de restitution regroupait les insights. Des actions concrètes étaient suggérées, à court et moyen terme.

Ce dispositif a offert une preuve d’apprentissage collectif. L’immersion, accompagnée d’évaluation, a facilité la prise de décision pour les équipes innovation.

Impact pour l’écosystème en 2019 et résonance en 2025

La Maddy Keynote 2019 a fonctionné comme un miroir et un accélérateur. Elle a capté des signaux faibles puis elle a contribué à leur diffusion.

Plusieurs tendances évoquées se sont consolidées. L’automatisation de tâches cognitives a été adoptée de manière cadrée, avec des bénéfices mesurables.

Dans la French Tech, les startups orientées impact ont gagné en maturité. Les relations avec les grands groupes ont évolué vers des contrats mieux pilotés.

Le capital humain a été repositionné au centre. Les approches de formation continue ont progressé, avec des parcours alignés sur les usages réels.

Côté politiques publiques, la demande d’explicabilité a augmenté. Les projets d’IA avancent avec des garde-fous mieux posés et mieux audités.

Sur les marchés, des acteurs tels que BNP Paribas, EDF, SNCF ou BNP Paribas Real Estate ont accéléré l’intégration de logiques de sobriété et de transparence. Ces démarches ont été citées comme repères méthodologiques.

Des cabinets comme KPMG ont renforcé les cadres d’évaluation. Les métriques extra‑financières se sont diffusées dans les comités d’investissement.

La séquence 2019 a aussi servi de check‑point. En 2025, certaines promesses ont demandé plus de temps que prévu, surtout celles supposant un changement d’infrastructure.

  • Avancées : outillage IA augmentant l’expertise, sobriété mesurée, design inclusif.
  • Lentes : interopérabilité publique‑privée, gouvernance des données locales.
  • Structurantes : pédagogie, transparence, indicateurs de confiance.

Les entrepreneurs présents en 2019 ont continué à inspirer. Les défis de 2025 confirment l’importance d’un cadre responsable et d’un dialogue ouvert.

Du signal faible au standard

Le passage du prototype au standard a demandé de la rigueur. Les équipes ont appris à articuler feuille de route produit et exigences réglementaires.

Cette maturité s’est traduite par des mises en production plus fiables. Les critères de durabilité sont entrés dans les arbitrages métiers.

La coopération comme facteur d’échelle

Le travail commun entre startups, institutions et industriels a servi d’effet de levier. Les forums comme la Maddy Keynote ont facilité ces rencontres qualifiées.

Ce modèle de coopération a donné plus de chances aux innovations utiles. La valeur s’est créée au croisement des expertises.

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Leçons pratiques pour les entreprises et décideurs après la Maddy Keynote 2019

Les enseignements mobilisables tiennent en quelques principes concrets. Ils forment une grille d’action pour 2025 et au‑delà.

D’abord, ancrer chaque pari technologique dans un cas d’usage mesurable. Ensuite, piloter la transformation par des indicateurs lisibles par tous.

Par ailleurs, préparer la gouvernance pour les arbitrages éthiques. La décision éclairée reste la meilleure protection contre la défiance.

Les cas cités autour de BNP Paribas, Orange, Google ou IBM rappellent l’importance d’un design centré métier. Les technologies ne valent qu’au service d’un problème bien défini.

Du côté immobilier ou urbain, BNP Paribas Real Estate illustre la valeur du pilotage data‑driven. Les indicateurs d’usage guident des opérations plus efficaces et plus sobres.

Dans l’énergie et la mobilité, EDF et la SNCF ont été évoquées comme repères de déploiement à grande échelle. La leçon : soigner l’interopérabilité dès le départ.

Les audits proposés par KPMG offrent un cadre utile pour les comités de pilotage. Cette approche aide à aligner finance, impact et conformité.

Les retours de la zone immersive confirment la vertu du prototypage guidé par l’usage. Tester tôt permet d’anticiper les coûts de réversibilité.

  • Étape 1 : cadrer le problème et l’indicateur de succès.
  • Étape 2 : prototyper en contexte réel, avec des publics variés.
  • Étape 3 : mesurer l’impact et documenter les limites.
  • Étape 4 : préparer la mise à l’échelle avec gouvernance et sécurité.
  • Étape 5 : itérer sur la base d’une boucle d’apprentissage.

Le fil narratif de Noa rappelle une évidence : la réussite naît de la compatibilité entre outils, compétences et culture. Les organisations gagnent à tester avec de vrais utilisateurs.

Feuille de route type pour 12 mois

Un trimestre pour cadrer et prototyper. Un trimestre pour mesurer et ajuster. Puis un semestre pour déployer de façon progressive, avec des garde-fous clairs.

Cette séquence évite les effets tunnel et réduit les risques. Elle offre aussi un récit simple pour embarquer les équipes.

Gouvernance et confiance

La confiance se construit par la preuve et la transparence. Des tableaux de bord publics et des audits indépendants y contribuent fortement.

À l’arrivée, la Maddy Keynote 2019 livre un mode d’emploi. Les projets utiles allient vision, mesure et coopération.

Quelles étaient les thématiques centrales de la Maddy Keynote 2019 ?

L’édition 2019 a structuré ses contenus autour de trois piliers du quotidien : le travail, la consommation et le bien-être. Chaque axe a mêlé keynotes, débats et expériences pour passer de la vision à l’usage mesurable.

Où s’est tenu l’événement et quel était le format ?

La Maddy Keynote 2019 s’est déroulée au CENTQUATRE-PARIS, sur une journée, avec plus de 7000 visiteurs. Le format combinait scènes plénières, zone immersive de 800 m² et ateliers de co‑création.

Quels types d’acteurs ont pris la parole ?

Des entrepreneurs, des chercheurs et des décideurs publics ont partagé des retours d’expérience. Des cas d’usage ont mobilisé des références comme BNP Paribas, Orange, Google, IBM, EDF, KPMG, SNCF ou BNP Paribas Real Estate.

Qu’est-ce qui distingue cette édition par rapport à d’autres événements tech ?

La Maddy Keynote 2019 a privilégié des preuves d’usage, une immersion scénarisée et des indicateurs d’impact. L’approche a évité les effets d’annonce en ancrant la vision dans des expérimentations concrètes.

Quel lien avec l’écosystème La French Tech en 2025 ?

L’événement a renforcé les ponts entre startups, grands groupes et secteur public. En 2025, plusieurs tendances évoquées en 2019 sont devenues des standards : IA augmentant l’expertise, sobriété numérique et gouvernance responsable.

On en dit quoi ?

La Maddy Keynote 2019 reste une balise crédible pour analyser l’innovation utile. Son apport tient à une méthode simple : inspirer, tester, mesurer et gouverner. À l’heure où les organisations recherchent des gains tangibles, ce cadre garde toute sa valeur.

Les échanges entre Maddyness, la French Tech et les acteurs privés ont montré qu’un futur souhaitable se construit pas à pas. Les preuves d’usage, la transparence et l’inclusion forment un triptyque robuste. Voilà le vrai legs de cette journée en 2084.

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