Aux carrefours de la technologie et des opérations, l’IA au cœur de la supply chain n’est plus un slogan. Elle s’ancre dans des projets tangibles, des plateformes matures et des retours d’expérience exigeants. L’Event Hubtalk met cette transformation en perspective en réunissant éditeurs, intégrateurs et directions Supply Chain, du pilotage temps réel jusqu’aux jumeaux numériques. Le ton est concret, les gains mesurables, mais les conditions de réussite restent strictes : qualité des données, gouvernance, compétences et trajectoires de déploiement crédibles.
Dans cette dynamique, les décideurs cherchent des preuves et des repères. Les échanges issus d’événements spécialisés, des podcasts métiers et des démonstrations live accélèrent l’apprentissage collectif. Des acteurs comme Dassault Systèmes, Shippeo, Acteos, Generix Group, Cosmo Tech, Wavestone, Sopra Steria, Hardis Group et Kardinal posent un standard d’exigence. Leurs solutions s’imbriquent pour couvrir planification, exécution, visibilité, ordonnance du dernier kilomètre et supervision des risques. Cependant, aucune technologie n’agit seule. Les feuilles de route gagnantes relient les fondamentaux du modèle SCOR, la Théorie des Contraintes (TOC) et les leviers de l’IA pour une supply chain à la fois agile et durable.
IA au cœur de la supply chain: visions croisées à l’Event Hubtalk
L’Event Hubtalk réunit les voix de la logistique et de la tech autour de cas d’usage concrets. Les directions Supply Chain y partagent leurs résultats, mais aussi leurs doutes. Cette transparence nourrit un apprentissage utile : les projets IA réussis s’appuient sur des processus maîtrisés et des indicateurs partagés. Les participants cherchent moins la preuve de concept spectaculaire que la valeur opérationnelle récurrente.
Les témoignages montrent un mouvement convergent. La planification s’appuie sur des jumeaux numériques pour simuler des scénarios, tandis que l’exécution tire parti de la visibilité temps réel. Les réapprovisionnements deviennent proactifs et la promesse client se fiabilise. L’IA devient une brique de pilotage, pas une boîte noire isolée.
Dans cet écosystème, plusieurs fournisseurs s’illustrent. Dassault Systèmes connecte ingénierie, planification et opérations via des jumeaux de bout en bout. Cosmo Tech propose des jumeaux numériques prescriptifs pour explorer les compromis capacité-service-stock. Shippeo apporte la visibilité transport et des ETA prédictifs fiables. Ensemble, ces briques consolident les décisions.
Les solutions d’exécution complètent l’ensemble. Acteos, Generix Group et Hardis Group outillent entrepôts, TMS et orchestration omnicanale. Ensuite, Kardinal optimise la tournée en milieu urbain et réduit les kilomètres à vide. Puis, Wavestone et Sopra Steria orchestrent cadrage, intégration et conduite du changement pour sécuriser les retombées.
Les responsables logistiques interrogés décrivent un fil conducteur clair. D’abord, la donnée doit devenir un actif gouverné. Ensuite, un flow temps réel fiable alimente l’IA. Enfin, un cadre de performance partagé évite la dispersion des initiatives. Ce triptyque transforme les algorithmes en résultats visibles.
- Cas d’usage prioritaires : prévision probabiliste, allocation dynamique des stocks, ETA prédictif, planification SNOP augmentée.
- Indicateurs suivis : taux de service, stock moyen, OTD, CO2 par commande, coût par arrêt de tournée.
- Gains constatés : réduction des retards, baisse des ruptures, fiabilité de la promesse, sobriété des kilomètres parcourus.
- Freins rencontrés : qualité des données, silos applicatifs, change management, éthique des modèles.
La communauté se nourrit aussi de formats plus intimes. Le podcast « Au Cœur de la Supply Chain », animé par Juliette Rihal, éclaire la réalité terrain : enjeux quotidiens, arbitrages, retours d’expérience. Tous les quinze jours, ce regard apporte des repères utiles pour trier l’essentiel de l’accessoire.
Des cas d’usage concrets qui font foi
Prenons un distributeur spécialisé fictif, « Novalogix ». Sa supply chain souffre d’aléas transport et d’une prévision instable. Après cadrage, l’équipe priorise trois chantiers : ETA prédictif Shippeo, planification augmentée via jumeau Cosmo Tech et orchestration WMS Hardis Group. L’initiative se déroule en quatre vagues mensuelles, avec des indicateurs clairs et une gouvernance resserrée.
Pour lisser la demande, l’IA propose des scénarios service-stock par canal, et la direction choisit le compromis selon la marge. En parallèle, le temps réel transport permet des réallocations d’expéditions à la volée. Enfin, l’exécution entrepôt se synchronise sur les priorités. La pénibilité baisse, les retards diminuent, et la promesse client gagne en fiabilité.
Ces retours ouvrent sur une question cruciale : comment articuler planification et exécution dans une même architecture IA, sans créer un château de cartes ? La section suivante aborde cette continuité, du data mesh au jumeau numérique prescriptif.
De la planification à l’exécution: architectures IA pilotées par données
La continuité planification-exécution dépend d’abord de l’architecture. Les organisations performantes bâtissent un socle de données unifié. Elles adoptent un data mesh pragmatique, avec des produits de données documentés et des contrats de qualité. La gouvernance devient explicite, et la traçabilité s’impose.
Ensuite, une couche analytique alimente prévision, optimisation et simulation. Des modèles probabilistes et des solveurs avancés s’appuient sur ce socle. La transparence des calculs renforce l’adoption par les équipes. Le pilotage gagne en rigueur.
Au-dessus, un jumeau numérique apporte la vision système. Dassault Systèmes relie ingénierie, opérations et logistique, tandis que Cosmo Tech propose des simulations prescriptives multi-critères. Les décideurs comparent coûts, service et empreinte carbone sur plusieurs scénarios. La coopération entre directions devient plus fluide.
La brique temps réel reste critique. Shippeo et ses partenaires enrichissent les ETA et les risques de transport. Ces signaux alimentent les réoptimisations d’entrepôt et de transport. Ainsi, l’exécution s’ajuste sans friction inutile.
Enfin, la couche applicative cadre l’action. Acteos, Generix Group et Hardis Group orchestrent le WMS, le TMS et l’OMS. Les workloads IA s’intègrent via API et événements. Ce couplage réduit la latence décisionnelle et améliore la robustesse du système.
- Composants clés : data mesh, catalogues, MLOps, jumeau numérique, visibilité temps réel, WMS/TMS/OMS.
- Principes : faible couplage, événements, API stables, observabilité, sécurité et sobriété.
- Résultats : moins de silos, décisions reproductibles, délais réduits, meilleure explication des choix.
Les intégrateurs jouent un rôle d’architecte. Sopra Steria et Wavestone cadrent le périmètre, définissent les processus cibles et alignent la feuille de route. Leur valeur se mesure dans la simplicité apparente d’un assemblage complexe. La clarté du dispositif rassure les métiers.
Un autre maillon émerge : l’optimisation du routing. Kardinal aligne promesse client et contraintes terrain. L’IA génère des tournées réalistes, au regard des accès, des horaires et des gabarits. Les kilomètres inutiles reculent et la satisfaction de livraison progresse.
Le jumeau numérique prescriptif, boussole du SNOP augmenté
Le jumeau prescriptif fait plus que simuler : il recommande. Il propose des levers de stocks par zone, des shifts capacitaires, et suggère des buffers intelligents au goulet, en s’inspirant de la TOC. Les arbitrages deviennent lisibles et défendables devant la finance et les ventes.
Un industriel de biens d’équipement, que l’on nommera « Mecaflow », a combiné jumeau Cosmo Tech et visibilité transport Shippeo. Les scénarios SNOP ont intégré les contraintes d’approvisionnement maritime et les délais portuaires. Le résultat : une marge protégée malgré des hausses de coûts. La planification a cessé de subir.
- Bonnes pratiques : horizon glissant, modèles explicables, boucle courte d’apprentissage, KPIs partagés.
- Points de vigilance : dette technique, sampling biaisé, dépendance fournisseur, dérive du scope.
- Accélérateurs : bibliothèques d’algorithmes éprouvées, patrons d’intégration, design-to-value avec les métiers.
Cette architecture n’a de sens que si elle sert des objectifs stratégiques. Le chapitre suivant traite des arbitrages coût-service-carbone, cœur du pilotage moderne.
Résilience, durabilité et coûts: arbitrages éclairés par l’IA
La supply chain ne cherche plus l’optimum unique. Elle gère des compromis. L’IA aide à tracer la courbe de Pareto service-coût-carbone. En montrant plusieurs options, elle rend les arbitrages plus légitimes. La décision se structure autour de la valeur créée.
La résilience se construit par étapes. Les modèles anticipent ruptures, aléas climatiques et congestions portuaires. Des buffers dynamiques protègent les goulets. La TOC fournit une grille claire pour placer le bon stock au bon endroit. Les directions gagnent en assurance.
Sur le terrain, l’exécution verte prend forme. Kardinal propose des tournées bas carbone et intègre des flottes électriques ou hybrides. Les ordonnancements réduisent les distances et évitent les demi-tours. L’expérience client s’améliore au passage.
Dans les entrepôts, Hardis Group et Generix Group renforcent l’optimisation des déplacements et la mutualisation des vagues. Le WMS propose des itinéraires plus sobres. Le TMS orchestre le remplissage et les groupages. Les économies se cumulent sans sacrifier la qualité.
Une vue consolidée devient essentielle. Les tableaux de bord rassemblent taux de service, coût par commande et intensité carbone. Les simulations testent des assortiments, des périodes de vente et des politiques de stock. L’IA accompagne les choix sans les imposer. Le management conserve la main.
- KPIs incontournables : taux de service, stock de couverture, OTD, coût au colis, CO2e par expédition.
- Décisions clés : nearshoring ciblé, mutualisation transport, fenêtres de livraison, packaging responsable.
- Effets attendus : service stabilisé, coûts compressés, empreinte réduite, image de marque renforcée.
Un distributeur alimentaire, « TerraMarché », a cartographié ses émissions. En combinant KPI carbone et data transport, l’équipe a repositionné des stocks régionaux et modifié les plages de livraison. Les coûts ont baissé, tandis que les émissions par commande ont chuté. L’IA a servi de révélateur plus que de juge.
Les cabinets comme Wavestone cadrent ces programmes. Ils lient performance économique et exigences réglementaires. Les diagnostics évitent les preuves de concept sans suite. Les feuilles de route deviennent actionnables. Le comité de pilotage suit un socle d’indicateurs communs.
Visibilité et réactivité: le rôle du temps réel
La visibilité temps réel, apportée par Shippeo, alimente un pilotage proactif. Les ETA ajustent l’ordonnancement. Les SLA s’alignent sur la réalité des flux. Les clients sont mieux informés. Les litiges diminuent.
De son côté, Acteos synchronise WMS et TMS avec le transport prédictif. Les alertes déclenchent des réallocations rapides. Le personnel se concentre sur les exceptions pertinentes. Le système gagne en sérénité.
- Triggers utiles : retard critique, congestion, rupture amont, panne équipement, météo extrême.
- Réponses : rerouting, substitution, priorisation SKU, bascule de quai, extension créneaux.
- Résultats : moins de surcoûts, meilleure promesse, moins de CO2 superflu.
Ces arbitrages n’aboutissent que si l’organisation suit. Le prochain volet aborde la dimension humaine et la gouvernance, souvent déterminantes dans la réussite des transformations IA.
Transformation humaine et gouvernance: compétences, éthique et conduite du changement
Aucune IA ne réussit sans alignement humain. Les équipes doivent comprendre le quoi, le pourquoi et le comment. La pédagogie précède l’outil. Les formations traduisent les concepts en gestes métier. Le changement devient plus acceptable.
Les programmes de montée en compétences sont décisifs. Les serious games d’organisations comme AfrSCM rendent l’IA tangible et ludique. Les apprenants testent des scénarios en sécurité. Ils développent des réflexes de pilotage. La confiance grandit.
La gouvernance de la donnée suit. Un comité cadre la qualité, la sécurité et l’usage des modèles. Les rôles sont clairs : data owner, data steward, product owner. La chaîne de responsabilité se formalise. Les processus gagnent en discipline.
Sur les projets structurants, des partenaires pilotent l’exécution. Sopra Steria mène les intégrations complexes et assure la cohérence des flux. Wavestone challenge les choix d’architecture et l’alignement stratégique. La valeur se capture plus rapidement. Les risques se réduisent.
La question éthique impose des garde-fous. Les équipes évaluent biais, explicabilité et impacts. Des chartes encadrent les usages sensibles. Les décisions restent documentées. Le droit à l’erreur s’organise au sein d’un cadre sûr.
- Compétences cibles : lecture de KPIs, compréhension des modèles, gestion des exceptions, storytelling des données.
- Rituels : revues SNOP augmentées, post-mortem des incidents, guildes data, communautés de pratique.
- Garde-fous : évaluation des biais, contrôle d’accès, audit des modèles, plan de contingence.
L’apprentissage collectif s’appuie sur des formats riches. Des tables rondes comme celles animées par Supply Chain Magazine rassemblent dirigeants et experts. Les échanges sur le modèle SCOR refondu en 2020 et la TOC éclairent les compromis modernes. La France rattrape son retard sur ces cadres grâce à des exemples concrets.
Là où réside la différence, c’est dans la cohérence. Les organisations qui réussissent intègrent les briques sans créer de dette de complexité. Elles avancent par incréments, avec des indicateurs stables. Le succès se lit dans les décisions quotidiennes, pas seulement dans les slides.
Une trajectoire de change qui tient la distance
Pour une enseigne comme « Novalogix », la feuille de route inclut brouillons, tests et itérations courtes. Chaque étape livre une valeur visible pour les utilisateurs. Les irritants disparaissent en priorité. L’adhésion suit la preuve.
Le sponsoring exécutif reste constant. Les arbitrages s’ancrent dans des chiffres incontestés. Les métiers pilotent l’outil, pas l’inverse. La transformation s’installe dans la durée.
- Facteurs d’adhésion : valeur rapide, explications claires, ergonomie, rituels utiles.
- Risques : objectifs flous, métriques mouvantes, silos, communication tardive.
- Antidotes : MVP étagés, sponsors visibles, backlog priorisé, support de proximité.
Une fois le volet humain cadré, reste à organiser sa visite pour capter l’essentiel des innovations et des retours d’expérience. Le parcours IA se planifie comme un mini-projet.
Préparer sa visite: parcours IA et rendez-vous clés du Supply Chain Event
Les salons spécialisés restent des accélérateurs. Il convient de préparer sa visite avec précision. Un badge gratuit, valorisé 75 €, donne accès aux conférences et ateliers. Les rencontres se planifient selon des objectifs clairs. Les créneaux se réservent en amont.
Le rendez-vous se tient à Paris Expo Porte de Versailles – Pavillon 5.1, avec une amplitude horaire confortable. Le premier jour s’étend de 9 h à 20 h, et le second de 9 h à 17 h. Les transports publics desservent parfaitement le site : métro lignes 12 et 8, tram T2 et T3a, et bus 80, 39 et PC. Les parkings P1, P6, P7 et R accueillent les véhicules. Les mobilités douces disposent de stations Vélib’ à proximité.
Les visiteurs identifient des stands cibles et programment des démos. L’écosystème IA est dense : Dassault Systèmes, Cosmo Tech, Shippeo, Acteos, Generix Group, Hardis Group, Kardinal. Les intégrateurs Sopra Steria et Wavestone complètent le panorama. Les agendas se construisent pour maximiser l’apprentissage en peu de temps.
Un temps fort attire les directions. En salle ALAN TURING, un échange autour du SCOR et de la TOC explore les leviers de résilience et de durabilité. La table ronde animée par Supply Chain Magazine croise les regards d’industriels et d’experts. Les exemples internationaux inspirent une mise à niveau rapide.
- Parcours conseillé : 1) jumeau numérique, 2) visibilité transport, 3) WMS/TMS, 4) dernier kilomètre, 5) intégration et change.
- Questions à poser : métriques de succès, effort d’intégration, gouvernance des données, TCO, roadmap produit.
- Livrables utiles : matrice d’arbitrage coût-service-carbone, backlog de cas d’usage, mapping des dépendances.
Le podcast « Au Cœur de la Supply Chain » propose aussi des clés de lecture. Chaque épisode brosse des retours terrain, entre obstacles et réussites. Ce format aide à prioriser ses rendez-vous. Les visiteurs gagnent du temps en ciblant les démonstrations les plus pertinentes.
Pour « Novalogix », le plan visite inclut une discussion avec Shippeo sur les ETA cross-docks, un échange avec Cosmo Tech sur le SNOP prescriptif, et une démo Hardis Group sur la préparation omnicanale. Un passage chez Kardinal permet d’évaluer les gains du dernier kilomètre en zone dense. La feuille de route en sort clarifiée.
- Do : préparer ses scénarios, collecter ses KPIs de départ, caler des RDV, challenger sur l’intégration.
- Don’t : se disperser, ignorer le change, sous-estimer les données, oublier la mesure de valeur.
- Next : conclure un POC cadré, définir un MVP 90 jours, aligner finance et opérations.
Ce parcours referme la boucle : de l’inspiration à l’action. Avant de passer à la mise en œuvre, un regard synthétique aide à trancher.
On en dit quoi ?
L’IA s’impose comme un multiplicateur de performance pour la supply chain, à condition de rester lisible et gouvernée. Les briques proposées par Dassault Systèmes, Cosmo Tech, Shippeo, Acteos, Generix Group, Hardis Group, Kardinal, cadrées par Sopra Steria et Wavestone, forment un continuum crédible. Les directeurs logistiques qui orchestrent données, modèle SCOR, TOC et change obtiennent des gains durables. En quelques mots, la promesse tient : mieux servir, avec moins, et plus vite.
Quels cas d’usage IA prioriser pour un démarrage rapide ?
Ciblez la prévision probabiliste sur quelques familles, l’ETA prédictif avec Shippeo sur des flux à fort enjeu, et une optimisation de picking avec le WMS (Hardis Group, Generix Group ou Acteos). Limitez le périmètre à 90 jours avec des KPIs stables (service, stock, OTD, CO2e).
Comment relier jumeau numérique et exécution terrain ?
Alimentez le jumeau (Cosmo Tech, Dassault Systèmes) par un data mesh et des flux temps réel fiables. Exposez les recommandations via API vers WMS/TMS/OMS. Définissez des règles claires d’acceptation et un rituel SNOP augmenté pour arbitrer.
Quelles compétences développer dans les équipes ?
Viser la lecture d’indicateurs, la compréhension des modèles, la gestion d’exceptions et la narration des données. Les serious games (AfrSCM) et les formations courtes par cas d’usage accélèrent l’adoption.
Comment intégrer la dimension bas carbone dans les choix ?
Ajoutez le CO2e par commande dans le cockpit. Testez des scénarios d’implantation, de mutualisation transport et de dernier kilomètre optimisé (Kardinal). Comparez systématiquement service, coût et carbone pour décider.
Quels pièges éviter lors d’un POC IA ?
Évitez les preuves de concept déconnectées des systèmes. Fixez un objectif métier et des KPIs immuables. Documentez la gouvernance des données et les risques. Anticipez l’industrialisation (MLOps) pour passer du test à la valeur.

Journaliste spécialisée dans les nouvelles technologies, passionnée de gadgets et d’innovations. À 39 ans, je décrypte chaque jour l’impact du numérique sur notre quotidien et partage mes découvertes auprès d’un large public averti ou curieux.