Cologne a accueilli en 2018 l’une des scènes les plus influentes du marketing numérique. La Digital Marketing Expo & Conference a réuni décideurs, créatifs et ingénieurs autour d’un mot d’ordre marquant : Take C.A.R.E. (Curiosity – Action – Responsibility – Experience). Derrière ce slogan, un message simple : comprendre les usages, agir vite, rester responsable et livrer des expériences utiles. Les stands de Google, Facebook, Adobe, Salesforce, IBM, HubSpot, SAP, Twitter, Microsoft et LinkedIn ont jalonné un parcours où se sont croisées innovations adtech, privacy et IA.
Les enseignements de DMEXCO 2018 inspirent encore les stratégies en 2025. Le RGPD a redéfini la collecte de données, tandis que la disparition des cookies tiers impose la première-partie comme socle. Dans ce contexte, l’événement reste un repère. Les échanges ont aidé des marques très diverses à reconfigurer leurs parcours clients et à consolider leur stack martech. Une PME comme « Atelier Nova », marque fictive de lifestyle D2C, illustre ce mouvement : objectifs clairs, architecture data pragmatique, et intégrations soignées. En filigrane, une conviction s’impose : la technologie ne vaut que si elle améliore la relation. DMEXCO a posé ce cadre, avec des retours d’expérience tangibles et une mise en réseau d’une rare densité.
- 🚀 Amplitude : plus de 1 000 exposants, 40 pays, 550 intervenants, 41 000 pros sur deux jours.
- 🧭 Cap stratégique : le mantra Take C.A.R.E. structure curiosité, action, responsabilité et expérience.
- 🔐 Privacy by design : le RGPD devient un levier de confiance et de performance.
- 🧠 IA utile : ciblage, création, mesure et automatisation, sans perdre la main sur l’éthique.
- 🔗 Stack intégré : CDP, analytics et activation reliés à CRM et consentement.
- 🤝 Networking : deals accélérés, apprentissages croisés, ROI mesurable.
- 📺 Convergence : retail media, CTV, social commerce et B2B content s’entremêlent.
- 📈 2025 : fin des cookies tiers, essor de la donnée propriétaire et du ciblage contextuel.
DMEXCO 2018 digital marketing expo conference : chiffres, formats et esprit Take C.A.R.E.
DMEXCO est vite devenu un carrefour européen majeur. L’édition 2018 a consolidé ce statut avec un plateau inédit. Les dirigeants C-level y ont trouvé un terrain propice aux décisions rapides et aux rencontres ciblées. Les équipes opérationnelles ont, elles, glané des cas concrets pour optimiser leur pile martech dès le retour au bureau.
Le thème Take C.A.R.E. a modelé les discussions. « Curiosity » a incité à tester et apprendre. « Action » a rappelé l’urgence d’industrialiser les pilotes. « Responsibility » a ancré l’éthique dans les process. « Experience » a replacé l’utilisateur au centre. Cette boussole s’est retrouvée sur les scènes et dans les halls d’expo, des démonstrations de Microsoft à celles d’IBM.
Les marques ont croisé des leaders comme Google et Facebook, mais aussi des spécialistes plus pointus. L’écosystème a montré sa richesse : Adobe pour la création et l’orchestration, Salesforce pour la relation client, SAP pour l’intégration data, HubSpot pour l’inbound, LinkedIn pour le B2B, et Twitter pour la conversation en temps réel.
Sur le terrain, les contenus ont alterné keynotes inspirants et ateliers techniques. Les sessions ont couvert l’IA appliquée, la mesure incrémentale, les nouvelles mécaniques de brand safety et l’innovation retail media. Des démonstrations d’outils de consentement ont montré comment transformer le RGPD en avantage compétitif.
Un moment marquant : un panel sur la confiance numérique. Des responsables de Adobe, Salesforce et SAP ont présenté des architectures simples pour relier CRM, analytics et activation. Les participants ont compris que la vitesse apprivoise la complexité : moins de fragments, plus d’impact.
Pour certains, DMEXCO a servi de terrain d’essai. « Atelier Nova » a, par exemple, cartographié son parcours client grâce aux retours d’experts. Résultat : une nouvelle segmentation basée sur l’usage, un calendrier éditorial enrichi et une roadmap personnalisation claire.
Indicateur 📊 | DMEXCO 2018 | Apport stratégique 💡 |
---|---|---|
Exposants 🌐 | 1 000+ | Vue d’ensemble des solutions et comparatifs rapides |
Pays représentés 🗺️ | 40 | Diversité d’approches, benchmarks internationaux |
Intervenants 🎤 | 550+ | Cas concrets, retours d’expérience, visions |
Visiteurs 👥 | ~41 000 | Réseautage, deals et partenariats |
Thème 🎯 | Take C.A.R.E. | Cadre éthique et opérationnel |
Pour approfondir les coulisses et les talks marquants, une recherche vidéo ciblée permet de retrouver panels et keynotes.
Le décor étant posé, la suite explore les tendances qui ont émergé, et ce qu’elles ont changé.
Tendances stratégiques révélées à la Digital Marketing Expo & Conference 2018
Plusieurs tendances ont dominé. La première : l’IA utile. Les démonstrations ont montré des recommandations temps réel, du clustering intelligent et des scores d’appétence. L’enjeu n’était pas le buzz, mais la précision et la transparence. Des équipes de Microsoft et d’IBM ont souligné l’importance d’un gouvernail : une gouvernance data solide.
Autre point clé : l’après-RGPD. Les pionniers ont préféré une lecture opportuniste de la conformité. Consentements clairs, préférences dynamiques, logs d’usage : ces briques ont nourri la confiance. Adobe et Salesforce ont partagé des méthodes pour synchroniser consentement et orchestration marketing sans friction.
La personnalisation a progressé vers des scénarios omnicanaux. Les discours ont insisté sur la cohérence des messages. Un utilisateur ne tolère pas une publicité déconnectée de son historique service. HubSpot a illustré une démarche inbound où contenu, CRM et automation avancent ensemble.
Les marchés publicitaires ont aussi bougé. Les débats sur la brand safety et la visibilité ont poussé au contrôle. Google et Facebook ont détaillé de nouveaux garde-fous. Pendant ce temps, Twitter a mis en avant la puissance de l’instant, et LinkedIn l’efficacité de la portée B2B qualifiée.
La blockchain a occupé les conversations, surtout pour la traçabilité des impressions et la lutte contre la fraude. Les promesses n’ont pas tout résolu, mais des pilotes ont montré un potentiel pour auditer la supply chain publicitaire. En 2025, ce sillon a inspiré des standards d’authentification et des registres partagés dans certaines places de marché.
Enfin, la mesure incrémentale a gagné du terrain. L’attribution multitouch a laissé place à des tests plus simples : holdouts, ciblage géo-expérimental, et modélisation mix media. Cette approche a mieux séparé corrélation et causalité. Les équipes ont, ainsi, rationalisé leurs budgets.
Tendance 🔎 | Illustrations DMEXCO 2018 | Impact 2025 🚀 |
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IA marketing 🤖 | Recos temps réel, NLG, scoring | Automations responsables et explicables |
Privacy by design 🔐 | Consent management et logs | Confiance client et data de qualité |
Omnicanal 🎯 | Unification messages/offres | Parcours sans rupture |
Brand safety 🛡️ | Contrôles, listes d’inclusion | Réputation préservée |
Blockchain 📦 | Traçabilité impressions | Audits plus fiables |
Mesure incrémentale 📈 | Holdouts et geo-tests | Budgets optimisés |
Les conférences vidéo restent une source riche pour revisiter les annonces et les débats sur la conformité et la confiance.
Ces tendances posent un socle. L’étape suivante consiste à les traduire dans une architecture martech cohérente.
Construire une stack martech inspirée de DMEXCO 2018 : de la CDP à l’activation
Une stack efficace part d’une carte claire des données. Identifiants, consentements, événements et catalogues produits forment le cœur. Une Customer Data Platform agrège et unifie ces signaux. La CDP alimente ensuite la personnalisation, la mesure et la gouvernance. Ce schéma a été décliné sur plusieurs stands, notamment chez Adobe, Salesforce et SAP.
La DMP historique reste utile pour le contextuel et la prospection, mais son rôle a changé. La CDP devient le pivot first-party. Un CMP pilote le consentement. Le CRM conserve la relation et l’historique. L’orchestration s’opère via des outils d’automation et de gestion des journeys. Les analytics, enfin, mesurent l’incrément.
Exemple opérationnel avec « Atelier Nova ». L’équipe a retenu une CDP reliée au site, au CRM et aux points de vente éphémères. Les flux mettent à jour les segments en quelques minutes. Les campagnes e-mail et les audiences publicitaires se synchronisent selon la préférence de l’utilisateur. Les fréquences sont plafonnées pour éviter la saturation.
Les intégrations ont demandé une gouvernance stricte. Un dictionnaire d’événements a standardisé les noms. Les identifiants ont suivi des règles lisibles. Les équipes ont documenté les transformations pour faciliter les audits RGPD. Ce cadre a amélioré la qualité et la portabilité de la donnée.
Les partenaires jouent un rôle. Microsoft et IBM ont mis en avant des connecteurs cloud pour réduire la latence. HubSpot a montré un chemin accessible pour des PME : un CRM connecté, une automation simple, et des rapports clairs. Côté social, LinkedIn, Twitter et Facebook ont facilité l’export d’audiences propriétaires et le partage de conversions.
La sécurité reste un réflexe. Des rôles précis, une double validation pour les campagnes à fort impact, et une surveillance des dérives évitent les mauvaises surprises. La culture compte autant que la technologie. Un comité mensuel aligne produit, data, marketing et juridique.
Bloc de stack 🧩 | Rôle | Exemples de fournisseurs 🏷️ |
---|---|---|
CDP | Unifier, segmenter, distribuer | Adobe, Salesforce, SAP |
CRM | Historique client et ventes | Salesforce, HubSpot, Microsoft |
CMP 🔐 | Consentement et préférences | Intégration avec Google et Facebook |
Automation | Journeys et déclencheurs | HubSpot, Adobe, Salesforce |
Analytics 📊 | Mesure et incrément | Google, Adobe, IBM |
Activation média | Ads et audiences | Facebook, Twitter, LinkedIn |
Une fois la stack en place, la valeur dépend de l’exécution. Les étapes pratiques d’un événement comme DMEXCO accélèrent ce travail.
Préparer sa participation à DMEXCO : objectifs, networking et ROI mesurable
Un salon dense exige une préparation millimétrée. La première étape consiste à fixer trois objectifs maximum : une intégration clé, un test d’outil, et dix rendez-vous qualifiés. Au-delà, l’attention se dilue. Un agenda serré, avec marges pour les imprévus, garantit la progression.
Le networking se prépare aussi. Les prises de contact se font avant l’événement via LinkedIn et les outils des organisateurs. Les créneaux réservés en matinée offrent plus de calme. Les déjeuners sur place évitent les trajets inutiles. Un document de préparation aligne attentes, questions et critères de décision.
Les stands des grandes plateformes (Google, Facebook, Adobe, Salesforce, IBM, HubSpot, SAP, Twitter, Microsoft, LinkedIn) servent de boussole. Ils permettent de vérifier les roadmaps et de clarifier les intégrations. Les stands de niche offrent, eux, des inspirations inattendues. Un équilibre entre piliers et émergents maximise l’apprentissage.
La prise de notes suit un format constant : problème, solution, effort, impact. Les photos des démos capturent les interfaces. Les cartes de visite sont scannées et taguées. Les priorités se trient en fin de journée. L’équipe se réunit ensuite pour décider des suites immédiates.
Le ROI se calcule simplement. Des indicateurs de pipeline, des économies de licence et des gains de productivité servent d’unités. « Atelier Nova » a ainsi négocié une remise, sécurisé deux intégrations critiques, et lancé un pilote validé en quatre semaines. Les bénéfices ont dépassé les coûts du déplacement.
Élément 🎯 | Bonnes pratiques ✅ | Indicateurs de succès 📈 |
---|---|---|
Objectifs | 3 cibles maximum, priorisées | 1 intégration live, 10 RDV qualifiés |
Programme | Agenda avec marges | 80% des sessions utiles |
Rencontres 🤝 | Préqualification sur LinkedIn | 2 partenaires shortlistés |
Notes et preuves | Format standardisé et photos | Décisions sous 2 semaines |
ROI | Pipeline + économie + productivité | Multiplicateur > 3× 💥 |
Un salon ne s’arrête pas aux stands. Les off-sites et les dîners thématiques révèlent d’autres pistes. Un format court, des échanges francs, et des cas chiffrés nourrissent des décisions solides.
De DMEXCO 2018 à 2025 : transformations durables, nouveaux canaux et compétences
L’héritage de DMEXCO 2018 se lit dans des pratiques aujourd’hui évidentes. La donnée propriétaire a pris le dessus. Les marques utilisent des identifiants durables et des consentements clairs. L’activation s’appuie sur des contextes, des cohortes et des signaux server-side. Les équipes ont appris à faire plus avec moins.
Les canaux ont évolué. La CTV fournit de la portée avec mesure fine. Le retail media relie audience et vente. Le social commerce accélère la conversion. Ces trois mouvements redessinent les mix budgets. Les plateformes historiques (Google, Facebook, Twitter, LinkedIn) coexistent avec ces nouvelles vagues.
La collaboration entre CMOs et CIOs s’est renforcée. La stack ne suit plus un patchwork d’outils. Elle se simplifie autour d’un tronc commun : CDP, CRM, analytics, orchestration et BI. Microsoft, IBM, SAP, Adobe et Salesforce ont consolidé leur rôle d’ossature. HubSpot a poussé l’accessibilité pour les structures plus petites.
Les compétences ont changé. Les marketeurs manipulent des API, comprennent la modélisation et lisent des schémas d’architecture. Les data engineers parlent UX. Les analystes formulent des recommandations actionnables. La frontière entre produit et marketing s’estompe.
Sur la régulation, la maturité s’est accrue. Les privacy reviews s’intègrent dès le cadrage. Les contrats de traitement précisent les obligations. Les POC incluent des tests d’effacement et de portabilité. La confiance n’est plus une option. C’est un avantage.
Thème 🔭 | 2018 : signal | 2025 : réalité |
---|---|---|
Cookies tiers | Déclin annoncé | Extinction et pivot first-party ✅ |
IA | Pilotes prometteurs | Automations contrôlées et explicables 🤖 |
Retail media | Émergence | Canal majeur, ROI suivi 📦 |
CTV | Tests ciblés | Plans massifs et mesure hybride 📺 |
Mesure | Attribution MTA | Incrément et MMM modernisé 📈 |
Privacy | RGPD nouveau | Processus ancrés et standardisés 🔐 |
Les directions qui intègrent ces acquis gardent un temps d’avance. La prochaine vague mélangera IA générative, commerce connecté et consentement actif. Les repères posés à Cologne aident à garder le cap.
Feuille de route actionnable inspirée par la Digital Marketing Expo & Conference 2018
Une feuille de route claire s’appuie sur quatre axes : data, activation, mesure et gouvernance. Chaque axe porte des actions courtes et un horizon d’industrialisation. Les leaders s’attachent à l’exécution. La lucidité compte plus que la taille du budget.
Côté data, l’unification des identifiants est prioritaire. Un schéma d’événements standard évite la dérive. Un référentiel produit nettoyé accélère la personnalisation. L’API d’export d’audiences doit fonctionner sans intervention manuelle. Ces principes simples permettent d’avancer vite.
Sur l’activation, des scénarios limités suffisent au départ. Panier abandonné, réactivation des dormants, upsell contextuel : ces trois cas financent le reste. Les plateformes comme Google, Facebook, LinkedIn et Twitter servent de premiers terrains. Les suites d’Adobe, Salesforce, Microsoft, IBM et HubSpot orchestrent les journeys.
La mesure met fin aux débats stériles. Un protocole d’incrément avec des holdouts tranche les arbitrages. Un MMM modernisé donne une vue long terme. Ces deux méthodes se complètent bien. La gouvernance scelle l’ensemble : rôles clairs, revues mensuelles, et backlog priorisé.
Un comité interdisciplinaire pilote la performance. Il suit un tableau de bord unique : taux de consentement, couverture des identifiants, latence, part du budget mesurée, et ROI des tests. Un plan de formation accompagne l’équipe. Les gains se cumulent trimestre après trimestre.
Axe 🧭 | Actions 90 jours | Industrialisation |
---|---|---|
Data | Schéma événements, identité unifiée | CDP connectée et qualité monitorée |
Activation 🎯 | 3 scénarios à ROI rapide | Journeys cross-canal orchestrés |
Mesure 📐 | Holdouts et pixels server-side | MMM modernisé et tests séquentiels |
Gouvernance 🔐 | Rôles, DPA, journalisation | Audits et revue trimestrielle |
Compétences 📚 | Formations API/Analytics | Chapitrage carrière et mentoring |
Cette feuille de route reprend l’esprit DMEXCO : curiosité guidée par l’action, responsabilité assumée et expérience délivrée. Le cap reste lisible, même quand les canaux se multiplient.
On en dit quoi ?
DMEXCO 2018 a offert un cadre exigeant et humain à la fois. Les géants comme Google, Adobe, Salesforce, IBM, Microsoft, SAP, HubSpot, Facebook, Twitter et LinkedIn ont montré des visions utiles et complémentaires. Les marques ont gagné des repères concrets pour décider.
En 2025, ces repères tiennent encore. L’IA, la privacy et l’omnicanal n’ont rien perdu de leur pertinence. Le meilleur hommage à DMEXCO consiste à livrer des expériences claires, respectueuses et performantes. C’est là que la technologie rencontre vraiment le marketing.
Qu’est-ce qui a rendu DMEXCO 2018 si marquant ?
L’ampleur de l’événement, le thème Take C.A.R.E., et des cas d’usage concrets sur l’IA, la privacy et l’omnicanal. Les rencontres C-level ont accéléré des décisions structurantes.
Comment relier RGPD et performance marketing ?
En adoptant le privacy by design : consentement clair, logs d’usage, préférences dynamiques et audits. Cette rigueur améliore la qualité de la donnée et la confiance, donc le ROI.
Quelle stack martech minimale pour avancer ?
CDP + CRM + CMP + analytics + orchestration. Relier ces blocs aux canaux majeurs (Google, Facebook, LinkedIn, Twitter) assure une activation rapide et mesurable.
Comment calculer le ROI d’une participation à un salon ?
Additionner pipeline généré, économies de licences et gains de productivité. Viser un multiplicateur supérieur à 3× sur trois mois, avec des suites décidées sous deux semaines.
Quelles priorités pour 2025 ?
Donnée first-party robuste, ciblage contextuel, mesure incrémentale, retail media et CTV. Former les équipes à l’IA explicable et ancrer la gouvernance dans les rituels.

Spécialiste du digital depuis plusieurs années, passionnée par les nouvelles technologies et la communication, j’accompagne les entreprises dans leur transformation numérique. Créative et curieuse, j’aime relever de nouveaux défis et partager mes connaissances pour faire grandir chaque projet.