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Event France is AI conference 2018

À l’automne 2018, l’écosystème français de l’intelligence artificielle a pris rendez-vous à Station F pour une séquence intense: la France is AI conference 2018. Deux jours entiers, les 17 et 18 octobre, ont concentré des échanges entre chercheurs, ingénieurs, investisseurs et dirigeants. Le premier jour a mis la science au centre, avec des sessions sur le machine learning, le deep learning et l’apprentissage par renforcement. Le second a montré les terrains concrets: industrie, mobilité, santé, retail, et publicité en ligne. L’événement a affirmé une ambition claire: faire dialoguer la recherche et le marché, fédérer les talents, et installer des ponts durables entre laboratoires, startups et grands groupes.

Dans un contexte européen marqué par le RGPD et les premières stratégies publiques en IA, cette troisième édition a fixé un cap. Des acteurs comme Dataiku, Criteo, BlaBlaCar, Snips, Artefact, Deepomatic, Heuritech et Prevision.io ont partagé leurs méthodes et leurs doutes, mais aussi des résultats tangibles. Les échanges ont porté sur l’industrialisation des modèles, la gouvernance des données, l’explicabilité, et l’impact sociétal. En filigrane, un message s’est imposé: la France sait conjuguer excellence académique et sens produit. Aujourd’hui, alors que la vague générative a remodelé les pratiques, ce rendez-vous de 2018 reste une balise. Il a aidé à structurer des réflexes d’ingénierie et d’éthique qui s’avèrent essentiels pour déployer l’IA à grande échelle.

France is AI conference 2018 à Station F: enjeux, acteurs et dynamique collective

Située au cœur de Paris, Station F a offert un cadre symbolique à cette édition 2018 de France is AI. Les volumes du campus et la densité des startups ont facilité les rencontres fortuites, cruciales pour accélérer les projets. L’objectif affiché était simple à formuler et exigeant à réaliser: connecter la science de pointe aux usages industriels, sans perdre de vue l’éthique et la compétitivité.

Pendant ces deux jours, les profils se sont croisés avec efficacité. Des doctorants ont débattu avec des CDO, des fondateurs ont confronté leurs roadmaps à celles de DSI, des investisseurs ont clarifié leurs thèses. Ce mélange a stimulé des rapprochements concrets. Plusieurs jeunes pousses ont trouvé des partenaires pilotes pour tester des modèles en environnement réel.

Pourquoi ce rendez-vous a marqué l’écosystème

La troisième édition a cristallisé des tendances. Les entreprises cherchaient une méthode pour passer du POC au produit. Les laboratoires voulaient, eux, diffuser des avancées de recherche vers des cas d’usage. Dès lors, la conférence a joué le rôle de place de marché intellectuelle et technique, avec une exigence de rigueur et de résultats mesurables.

Le contexte réglementaire a pesé. Avec le RGPD, l’attention s’est portée sur les chaînes de traitement des données, l’anonymisation et l’explicabilité des modèles. Les échanges ont montré des approches concrètes plutôt que des principes abstraits. Cela a donné de la crédibilité aux discours.

  • Acculturation partagée: rapprochement des langages entre ingénieurs, métiers et dirigeants.
  • Feuilles de route claires: priorité à l’industrialisation, à la surveillance de modèles et à la sécurité.
  • Partages d’échecs: discussion ouverte des limites des datasets et des biais.
  • Alliances: premiers pas de coopérations entre startups et grands groupes.
  • Éthique appliquée: outils d’explicabilité intégrés dans les pipelines.

Un fil conducteur: relier science, produit et société

Un exemple a souvent été cité: une PME industrielle, fictivement nommée “HexaFab”, est arrivée avec des séries temporelles bruitées et a sollicité un diagnostic. Après plusieurs échanges, un protocole de nettoyage et de monitoring a été conçu, en s’appuyant sur l’expertise d’une plateforme proche de Prevision.io. Le projet a ensuite intégré un socle MLOps inspiré des pratiques de Dataiku. Six mois plus tard, des gains opérationnels ont été observés.

Ce type d’histoire a jalonné la conférence. Il a prouvé que l’écosystème prenait une tournure pragmatique. L’IA n’était plus un sujet d’images spectaculaires en laboratoire, mais une chaîne de valeur à sécuriser. À ce stade, la crédibilité collective s’est renforcée et la coopération a trouvé un rythme durable.

  • Aligner attentes métiers et métriques ML dès le départ.
  • Prévoir des budgets de nettoyage de données et de labeling.
  • Mettre en place l’observabilité des modèles dès la V1.
  • Documenter l’explicabilité pour éviter les frictions internes.
  • Mesurer l’impact réel: temps gagné, taux d’erreur, satisfaction client.
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En somme, la scène française a montré son sérieux méthodologique. C’est précisément cette rigueur qui a facilité les développements ultérieurs.

Programme des 17 et 18 octobre 2018: science, technologies et applications à Station F

Le premier jour a mis la science au centre. Les sessions ont couvert l’optimisation, l’apprentissage profond, les graphes et l’apprentissage par renforcement. Les conférenciers ont insisté sur la reproductibilité et les benchmarks. Les slides ont été techniques, mais toujours reliées à des objectifs concrets.

Une table ronde a interrogé l’explicabilité. Comment justifier une décision algorithmique en environnement sensible? Les intervenants ont détaillé des approches par SHAP, LIME et attention weights. Bien vite, la discussion a glissé vers l’industrialisation: comment intégrer ces diagnostics dans les pipelines de production.

Temps forts du jour 1: de la théorie au code

Des acteurs industriels ont partagé leurs frameworks. Criteo a présenté des architectures pour des recommandations à très grand volume, avec un focus sur la latence et la mise à jour continue des embeddings. Snips a défendu un traitement “on-device” des requêtes vocales pour préserver la vie privée. Heuritech a montré comment l’IA peut anticiper les tendances mode en exploitant l’iconographie sociale.

  • Sessions techniques: RL pour la logistique et la tarification dynamique.
  • Vision par ordinateur: détection de défauts et analyse d’images retail.
  • NLP embarqué: assistants conversationnels respectueux de la vie privée.
  • MLOps: CI/CD pour modèles avec gouvernance intégrée.
  • Évaluation: métriques métiers et monitoring post-déploiement.

Des ateliers ont complété le programme. Des ingénieurs de Dataiku ont illustré la gestion de projets data à l’échelle. Les retours ont souligné la valeur d’une orchestration centralisée, pour mieux auditer et itérer.

Temps forts du jour 2: business, société et politiques publiques

Le second jour a rassemblé dirigeants, métiers, investisseurs et acteurs publics. BlaBlaCar a expliqué l’appariement de trajets, l’estimation d’affinité entre conducteurs et passagers et la détection des comportements à risque. Artefact a livré des cas concrets en marketing data-driven. Deepomatic a exposé des usages d’inspection visuelle pour les réseaux d’infrastructure. Enfin, Prevision.io a détaillé l’apport de l’AutoML pour accélérer les équipes mixtes data-métier.

La table ronde sur la réglementation a rappelé que le RGPD n’était pas un frein, mais un cadre de confiance. Les échanges ont promu des pratiques lisibles: privacy by design, minimisation des données, audits réguliers. Les participants ont insisté sur la nécessité d’indicateurs de performance clairs côté métier.

  • Cas usage mobilité: assignation de trajets et prédictions de demande.
  • Retail et e-commerce: optimisation de catalogues et recommandations.
  • Industrie: maintenance prédictive et contrôle visuel.
  • Marketing: segmentation, attribution, ROI incrémental.
  • Finance: gestion des risques et lutte anti-fraude.

Au terme de ces deux jours, les participants sont repartis avec des plans d’action. L’événement a facilité des engagements concrets. Pour s’inscrire à une prochaine édition ou consulter les archives, un lien d’inscription et le site de l’événement restent des points d’entrée utiles.

Cas d’usage phares: Dataiku, BlaBlaCar, Criteo, Snips, Artefact, Deepomatic, Heuritech et Prevision.io

Au-delà des slogans, France is AI a mis en scène des retours d’expérience précis. Ils ont montré comment l’IA se rend utile au quotidien. Les entreprises ont détaillé leurs architectures, les écueils et les pragmatiques contournements, ce qui a donné de la matière à toutes les équipes sur place.

Chez Dataiku, la valeur vient d’unifier préparation, expérimentation, déploiement et supervision. Une chaîne de production cohérente réduit les frictions et favorise la qualité. Plusieurs cas ont affiché des délais de mise en production raccourcis grâce à une gouvernance claire.

Mobilité, commerce et marketing: des systèmes vivants

BlaBlaCar a partagé des modèles de matching centrés sur la qualité des interactions. L’objectif? Maximiser la probabilité d’un trajet réussi, en combinant contraintes logistiques et signaux comportementaux. Les équipes ont insisté sur la nécessité de mesurer la confiance au fil du temps, pas seulement la conversion initiale.

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Du côté de Criteo, les systèmes de recommandation à grande échelle restent le cœur du réacteur. L’accent a été mis sur l’itération continue: enrichir les embeddings, éviter la dérive, simplifier le déploiement multi-régions. Ces retours ont laissé entrevoir des méthodes robustes pour gérer les flux de données à la milliseconde.

  • Trajectoires utilisateurs: features temporelles et signaux récents pondérés.
  • Latence: optimisation des graphes de calcul pour les enchères en temps réel.
  • Tests: A/B rigoureux et métriques d’impact incrémental.
  • Observabilité: alerte sur dérive des données et performance.
  • Confidentialité: minimisation et cloisonnement des accès.

Vision, mode et industrie: du pixel à la décision

Deepomatic a détaillé l’inspection visuelle pour des chantiers télécoms. Les modèles analysent des images terrain pour détecter des défauts. Cela évite des retours coûteux et accélère les interventions.

Heuritech a révélé une grille de lecture des tendances mode fondée sur la vision. Les marques utilisent ces résultats pour ajuster les achats et réduire les surstocks. La boucle décisionnelle gagne en réactivité, une condition clé dans un marché volatil.

  • Qualité des données: importance du labeling expert.
  • Robustesse: gestion de la variabilité des lumières et des angles.
  • Généralisation: tests en conditions réelles, pas seulement en studio.
  • ROI: indicateurs logistiques et financiers alignés.
  • Sécurité: traçabilité des images et contrôle d’accès.

Snips a défendu l’IA embarquée, centrée sur le respect de la vie privée. Le traitement “on-device” réduit la dépendance au cloud. Cette orientation a préfiguré des approches adoptées plus largement après l’événement.

Prevision.io a présenté des outils d’AutoML et de surveillance, pensés pour des équipes mixtes. L’enjeu est de laisser les data scientists explorer, tout en donnant aux métiers des levées de risques et des temps de réponse maîtrisés.

  • Équipes hybrides: data, logiciel, métier, sécurité.
  • MLOps: pipelines versionnés et gouvernance dès l’origine.
  • Éthique: explicabilité intégrée au cycle de vie.
  • Qualité: métriques corrélées à des résultats business.
  • Échelle: architecture pensée pour le multi-pays.

Ces cas d’usage ont dessiné une boîte à outils crédible. Ils ont montré la voie pour des déploiements utiles et responsables.

Débats éthiques, cadre réglementaire et impacts sociétaux mis en lumière en 2018

La conférence a accueilli des échanges serrés sur la responsabilité. Les intervenants ont demandé des règles du jeu claires et des outils auditables. Le RGPD a fourni un socle, mais il ne répond pas à toutes les questions techniques. Il faut donc traduire les principes en contrôles concrets.

Les questions de biais ont animé plusieurs panels. Comment garantir l’équité si les données reflètent des inégalités historiques? Des solutions ont été proposées: rééchantillonnage, fairness constraints, audit indépendant. Au-delà des méthodes, la transparence des arbitrages a été encouragée.

Transparence, sécurité et confiance: le triptyque opérationnel

Plusieurs équipes ont présenté des procédures de revue de modèles. L’idée est simple: livrer vite, mais documenter mieux. Des checklists ont été discutées pour encadrer les déploiements sensibles. Elles sont devenues des références internes dans plusieurs entreprises présentes.

La sécurité est restée un chantier. Des attaques par empoisonnement de données et des exemples d’adversarial ML ont été évoqués. Les plans d’action ont recommandé la surveillance des flux, la signature des artefacts et la séparation des environnements.

  • Explicabilité: traces d’inférence et logs accessibles aux équipes conformité.
  • Biais: métriques d’équité comparées par segment.
  • Robustesse: tests d’adversarial noise en préproduction.
  • Gouvernance: comité de revue pluridisciplinaire.
  • Formation: montée en compétences continue des équipes.

Le rôle du public et des politiques publiques

Les représentants institutionnels ont rappelé l’importance d’un dialogue constant. L’ouverture de certaines bases publiques et les initiatives autour des données de mobilité ont été citées. Les collaborations avec des laboratoires ont été encouragées pour accélérer la recherche appliquée.

Chaque secteur a ses risques et ses bénéfices. En santé, la qualité de vie du patient guide la décision. En mobilité, la sécurité prime. Dans l’industrie, la maintenance prédictive gagne en popularité, mais elle doit respecter les exigences de cybersécurité. La conférence a mis ces hiérarchies en exergue, ce qui a élevé le niveau du débat.

  • Renforcer l’évaluation externe des modèles critiques.
  • Aligner les chartes éthiques avec des indicateurs opérationnels.
  • Outiller le droit à l’explication avec des rapports standardisés.
  • Documenter la gestion de la dette technique dans les systèmes IA.
  • Impliquer les utilisateurs finaux dans la conception.
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Cette grille a favorisé une vision mature de l’IA, au service d’une innovation solide et d’une confiance durable.

Héritage durable de France is AI 2018: ce qui a changé et ce qui compte encore

Depuis 2018, les lignes ont bougé. Les entreprises ont professionnalisé les chaînes MLOps, la surveillance en production et la gestion des risques. Les plateformes ont gagné en intégration. Et les compétences se sont diffusées, bien au-delà des pôles d’expertise initiaux.

Des acteurs passés par l’événement ont consolidé leurs positions. Dataiku a étendu sa présence internationale. Criteo a accéléré sur le commerce media. BlaBlaCar a affiné ses systèmes de matching et de confiance. Artefact a approfondi son rôle de partenaire data sur des programmes multi-pays. Deepomatic, Heuritech et Prevision.io ont continué d’outiller des métiers précis avec des approches mesurables.

Leçons opérables pour la décennie

Les enseignements de 2018 gardent leur force. Industrialiser, gouverner, expliquer: ces trois verbes structurent les feuilles de route. Les équipes performantes cultivent une culture produit et une rigueur scientifique, en valorisant l’observabilité et les tests en conditions réelles.

Les débats éthiques se sont affinés. Les méthodes d’explicabilité sont plus intégrées. Les contrôles de robustesse sont plus routiniers. Pourtant, l’exigence reste élevée: la confiance se construit chaque jour, au fil des livraisons.

  • Définir des SLAs pour les modèles critiques.
  • Automatiser les tests de dérive et de performance.
  • Mettre en place des “red teams” IA pour les attaques adversariales.
  • Impliquer les métiers dans la définition des métriques.
  • Traiter la donnée comme un produit avec propriétaire et backlog.

Cap sur l’avenir proche: IA générative et nouvelles pratiques

La vague générative a reconfiguré les plans de déploiement. Les équipes ont ajouté des garde-fous, des filtres et des boucles humaines. Les enseignements de 2018 trouvent ici une nouvelle actualité: gouvernance, monitoring, et évaluation responsable. Les acteurs français ont un atout: une culture d’ingénierie exigeante.

Ce capital collectif doit se nourrir de projets concrets. Les collaborations entre startups, grands groupes et laboratoires doivent rester vivaces. Les plateformes et cabinets comme Artefact jouent souvent le rôle d’intégrateurs, pour transformer des prototypes en usages récurrents. Cette orchestration demeure la clé.

  • Sceller des partenariats R&D sur des sujets ciblés.
  • Standardiser les évaluations de modèles génératifs.
  • Renforcer la privacy by design sur toute la chaîne.
  • Mesurer l’empreinte carbone des pipelines IA.
  • Former en continu les équipes métiers exposées à l’IA.

Cette continuité entre 2018 et aujourd’hui n’est pas un hasard. Elle reflète une vision d’ensemble, construite patiemment, et désormais indispensable.

On en dit quoi ?

En regard rétrospectif, France is AI à Station F en 2018 a joué le rôle d’accélérateur. L’événement a aligné la recherche, le produit et l’éthique autour d’objectifs mesurables. Cette exigence a préparé l’écosystème français aux défis récents, y compris l’IA générative.

Le message tient en peu de mots. Sans industrialisation, pas d’impact. Sans gouvernance, pas de confiance. Et sans culture partagée, pas de vitesse durable. Les leçons tirées auprès d’acteurs comme Dataiku, BlaBlaCar, Criteo, Snips, Artefact, Deepomatic, Heuritech et Prevision.io restent opérables. Elles éclairent les prochaines étapes pour faire de l’IA une force utile et responsable.

Quand et où s’est tenue France is AI conference 2018 ?

La troisième édition s’est déroulée les 17 et 18 octobre 2018 à Station F, Paris. Le premier jour a été dédié à la science et à la technologie, le second aux applications et à l’impact sociétal.

Quel public était ciblé par l’événement ?

Chercheurs, développeurs, entrepreneurs, investisseurs et dirigeants. La diversité des profils a favorisé le passage du laboratoire au terrain, avec des échanges concrets et mesurables.

Quels acteurs ont partagé des retours d’expérience marquants ?

Parmi d’autres: Dataiku, BlaBlaCar, Criteo, Snips, Artefact, Deepomatic, Heuritech et Prevision.io. Les cas d’usage ont couvert mobilité, retail, marketing, industrie et confidentialité.

Comment retrouver des informations complémentaires ou s’inscrire à de futures éditions ?

Il est possible de consulter le site de l’événement et d’utiliser un lien d’inscription lorsqu’il est disponible. Des replays et supports apparaissent parfois sur les canaux publics.

Quels enseignements utiles pour des projets IA en 2025 ?

Industrialiser, gouverner et expliquer. Mettre l’observabilité au cœur, aligner métriques métiers et ML, et documenter l’éthique dès la conception. Ces points forment une base solide.

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