à fleurance, des parcours spécialement conçus pour les jeunes filles encouragent les lycéennes à s'orienter vers les carrières numériques, favorisant ainsi leur inclusion dans le secteur technologique.

À Fleurance, des parcours dédiés aux jeunes filles encouragent les lycéennes à s’orienter vers les carrières numériques

🎯 Points clés 💡 Détails essentiels 📍 Territoire 📈 Impact attendu
Parcours dédiés aux lycéennes 👩‍💻 Ateliers, mentorat, visites d’entreprises et stages immersifs Fleurance et bassin gersois Hausse des inscriptions dans les carrières numériques 🚀
Déconstruction des stéréotypes 🧠 Table ronde, témoignages, modèles de réussite locaux Campus de Masseube et partenaires Meilleure orientation vers l’informatique 🎓
Compétences prioritaires 🔧 Code, data, cybersécurité, SEO-SEA, UX, cloud École du numérique d’Occitanie Insertion accélérée, égalité professionnelle renforcée ⚖️
Écosystème 🤝 Coll.in, BGE, associations et collectivités Occitanie et Gers Diversité accrue dans le numérique 🌈

À Fleurance, la Semaine du numérique a pris des airs de catalyseur, avec une table ronde qui a projeté au premier plan des parcours féminins inspirants. Face à des lycéennes de seconde venues du campus de Masseube, des professionnelles ont exposé des métiers concrets, de la stratégie de déploiement de la fibre à la création de contenus en passant par le pilotage SEO-SEA. Ce format a mis en lumière les leviers qui font la différence : des modèles accessibles, une orientation précoce et des dispositifs locaux capables d’ouvrir les portes des carrières numériques.

Les chiffres partagés invitent à agir sans attendre. Les femmes occupent environ 24 % des emplois du numérique en France, et seulement 17 % dans les métiers techniques. Or, l’éducation peut corriger la trajectoire, si elle s’appuie sur des ressources adaptées et des alliances entre établissements, associations et entreprises. À l’échelle du Gers, ces actions prennent une dimension concrète grâce à la mobilisation de Coll.in, de BGE et des réseaux régionaux, qui réorientent avec pragmatisme des jeunes filles vers l’informatique et ses nombreuses passerelles.

À Fleurance, des parcours concrets pour les lycéennes vers les carrières numériques

Au cœur de la Lomagne gersoise, les initiatives dédiées aux jeunes filles s’installent dans la durée. La table ronde animée par Pauline Picat (Collectif Coll.in) a posé un cadre simple et puissant : expliquer les carrières numériques sans jargon, puis montrer des parcours inspirants. Devant des lycéennes venues de Masseube, plusieurs intervenantes ont détaillé leur quotidien, leurs choix et leurs opportunités. Cette approche met fin à une vision abstraite du numérique et place les rôles sous un jour concret, utile pour l’orientation.

Les métiers illustrés pendant l’échange couvrent un spectre large. La stratégie de déploiement de la fibre, présentée par Noéiie Suszylo, relie ingénierie, coordination terrain et cartographie. La création de contenus numériques, avec Carla Dupouey, intègre narration, analytics et gestion de communautés. En parallèle, Magali Rouanet a décrit le pilotage SEO-SEA, où l’on mixe technique, marketing et mesure de la performance. Ensemble, ces témoignages rendent palpables des emplois souvent mal perçus au lycée.

Par ailleurs, les participantes ont souligné des points déterminants. Les conseillères numériques, à l’image de Laetitia Lagarde et Sarah Morlaës, montrent comment l’accompagnement des publics élargit les compétences transférables. Chez BGE, la coordinatrice territoriale Claire Renaudie relie inclusion, entrepreneuriat et éducation au numérique. Enfin, la présence de Cindy Godinho (agence Evelyne, groupe La Dépêche du Midi) révèle la variété des rôles digitaux en communication, quand l’École du numérique d’Occitanie, avec des étudiantes comme Marie-Pierre Labeyrie, ouvre une voie courte et professionnalisante.

Les chiffres ont frappé les esprits, mais ils ont surtout donné un cap. Si 76 % des lycéens perçoivent encore l’informatique comme un métier masculin, la narration de ces professionnelles casse l’idée d’un secteur fermé. Mieux, elles ont partagé des clés accessibles : réaliser un premier site, tester le no-code, contribuer à un média scolaire, ou suivre un MOOC gratuit pour progresser. Ainsi, la scène locale devient un tremplin vers des ambitions nationales.

Cependant, l’égalité professionnelle ne progresse pas seule. Les intervenantes ont rappelé l’exigence d’un accompagnement en continu, de la seconde aux premières années post-bac. À Fleurance, ce continuum s’active grâce aux ateliers réguliers, aux visites d’entreprises et aux parcours de mentorat. Avec ce socle, l’orientation gagne en qualité, et la confiance des lycéennes se renforce.

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Au final, l’initiative locale prend un sens stratégique. Elle prépare des talents pour des besoins concrets du territoire, de la connectivité à la data. Surtout, elle propose une méthode réplicable : raconter le secteur, faire pratiquer, puis accompagner la progression. Ce trio ancre durablement l’accès des jeunes filles aux carrières numériques.

Orientation et éducation: outiller les lycéennes dès le secondaire pour l’informatique

La clé d’une orientation réussie tient souvent à des actions simples, planifiées tôt. À Fleurance, les équipes pédagogiques rapprochent les lycéennes des métiers par des séances de découverte et des défis concrets. Un atelier de deux heures permet par exemple de créer une page web, de mesurer son référencement, puis d’en discuter en groupe. Rapidement, les élèves perçoivent la logique métier derrière les outils.

Pour structurer cet élan, un calendrier annuel apporte de la visibilité. Les partenariats avec l’association Femmes & Sciences apportent des supports clairs, du quiz à la vidéo. Le programme Capital Filles, soutenu en Occitanie, ajoute des liens de mentorat précieux. À chaque étape, des objectifs mesurables sont posés : nombre d’inscrites aux ateliers, projets réalisés et souhaits de carrières numériques exprimés.

Ensuite, il faut multiplier les formes de contact avec le numérique. Les visites d’entreprises rendent les enjeux tangibles, du datacenter au studio de production. Les stages d’observation montrent le quotidien, loin des clichés. Les hackathons scolaires apprennent la collaboration, la gestion du temps et l’argumentation. Ce trio complète l’éducation classique, tout en accélérant la confiance des jeunes filles.

Les familles jouent un rôle déterminant. Un kit d’information, distribué lors des réunions, explique les débouchés et les niveaux de salaire. Il tord le cou aux idées reçues et démontre la variété des métiers, techniques ou créatifs. Grâce à ces repères, l’entourage devient un allié plutôt qu’un frein, ce qui change souvent la donne au moment des choix.

Un dispositif local mérite l’attention : la “Bourse jeunes citoyens” du CCAS de Fleurance, d’un montant de 1 000 €. Bien utilisée, elle finance un premier PC, des cours en ligne certifiants ou un déplacement vers un salon de l’informatique. Ce coup de pouce rend l’équipement et la mobilité plus accessibles. Il signale aussi la valeur accordée à l’engagement et à l’exploration.

Pour assurer un suivi efficace, un tableau de bord pédagogique consolide les progrès. Les enseignantes référentes croisent présence aux ateliers, intérêts exprimés et ressources consommées. Les lycéennes voient ainsi leur progression, étape par étape. Cette visibilité nourrit la motivation et oriente mieux les choix post-bac.

Actions prioritaires pour une orientation efficace

Pour ancrer les pratiques, voici une liste d’actions concrètes à déployer sur l’année scolaire.

  • 🧭 Mettre en place un cycle d’ateliers “Décoder le web” dès la seconde
  • 🤝 Créer des binômes de mentorat avec des professionnelles locales
  • 🏭 Organiser des visites d’entreprises numériques en Occitanie
  • 🛠️ Proposer un mini-hackathon trimestriel inter-classes
  • 📚 Distribuer un kit familles sur les métiers et les études
  • 💻 Financer l’équipement de base via des bourses locales

Ces leviers donnent un cadre solide et progressif. Ils rendent les premiers pas concrets, mesurables et engageants.

Cette sélection vidéo permet de prolonger la découverte en dehors de la classe. Les retours d’expérience donnent des idées immédiates et faciles à tester. Avec ces ressources, l’éducation numérique gagne en densité et en attractivité.

Des parcours inspirants: témoignages et cas pratiques pour décider sereinement

L’impact des rôles modèles s’observe vite. À Fleurance, une élève fictive, Lina, 16 ans, s’interroge sur son avenir. Après la table ronde, elle suit un atelier de création de site, puis un autre dédié à la sécurité numérique. Elle découvre qu’elle aime résoudre des problèmes, documenter, et travailler en équipe. Petit à petit, l’idée d’une filière informatique cesse de lui sembler intimidante.

Les témoignages partagés lors de la Semaine du numérique structurent ces déclics. Noéiie Suszylo décrit l’impact social d’un réseau fibre bien pensé : accès à l’emploi, continuité des services publics et vitalité des entreprises locales. Carla Dupouey détaille les coulisses d’une campagne de contenus, du script à l’analytics. Magali Rouanet met en scène la mécanique SEO-SEA, où l’on teste, mesure et améliore sans cesse.

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Ces retours d’expérience montrent aussi l’importance des compétences transverses. La communication claire évite les malentendus. La curiosité technique permet de progresser vite. L’éthique guide l’usage des données et l’IA générative. Pour Lina, ces repères deviennent des points d’appui. Ils l’aident à choisir un bac adapté, puis des options alignées.

Le sujet des freins revient souvent, avec des chiffres parlants. En classe, 76 % des lycéens voient encore l’informatique comme un métier masculin. Une étudiante sur trois en filière numérique dit avoir été découragée par des préjugés. L’écart salarial moyen dans la tech frôle 18 %, au-dessus de la moyenne nationale. Face à cela, des stratégies concrètes existent et fonctionnent.

D’abord, l’entraînement par projets donne confiance. Un portfolio simple, hébergé en ligne, rassemble site web, mini-app et articles. Ensuite, un réseau de soutien protège des moments de doute. À Fleurance, l’écosystème mobilisé par Coll.in, BGE et les établissements crée ce filet de sécurité. Il facilite les stages, et il encourage la prise d’initiative.

Enfin, la rencontre régulière avec des professionnelles lève les doutes. Les conseillères numériques, au plus près du public, transmettent des méthodes utiles et inclusives. Les responsables de communication, comme chez Evelyne, montrent les passerelles entre créativité et numérique. Ces éclairages concrets font basculer des choix d’orientation. Lina, comme d’autres, s’autorise alors à viser une école du numérique en Occitanie.

Compétences numériques clés en 2025: du code à la cybersécurité

Les carrières numériques recouvrent des compétences variées, avec des passerelles fluides. Le code reste une base solide, mais ce n’est pas l’unique voie. La data, la sécurité, l’UX ou le marketing digital offrent des trajectoires complémentaires. Pour des lycéennes, l’enjeu est d’explorer, puis de creuser un socle fondamental. La progression s’appuie sur des exercices courts et réguliers.

Côté technique, HTML/CSS et JavaScript suffisent pour démarrer. En data, Python et SQL ouvrent les premières analyses. La cybersécurité sollicite réseau, méthodes de test et sensibilisation. En SEO-SEA, on apprend à comprendre l’intention de recherche, puis à mesurer l’impact. En UX, la recherche utilisateur révèle les besoins réels et les obstacles. Ce panorama confirme la richesse du numérique.

Des outils simples favorisent les débuts. Le no-code permet de prototyper sans écrire beaucoup de code. Les plateformes d’hébergement gratuit aident à publier vite. Les simulateurs réseau expliquent les architectures. À Fleurance, des ateliers introduisent ces outils avec des exemples locaux. Les élèves voient un cas, puis le reproduisent avec guidance.

Pour maintenir la motivation, il faut fixer des objectifs atteignables. Un site vitrine la première semaine, un tableau de bord data le mois suivant. Ensuite, une initiation à la sécurité, à travers un jeu de capture de drapeau. Ces jalons créent une dynamique. Ils se relient à des métiers précis, ce qui clarifie l’orientation.

La validation des acquis passe par un portfolio public et une certification d’entrée. Les badges en ligne, les projets documentés et les présentations courtes attestent des progrès. Les lycéennes apprennent aussi à raconter leurs résultats, ce qui aide pour un stage. Cet entraînement à la communication pèse dans les recrutements. Il renforce l’égalité professionnelle en valorisant les preuves.

Enfin, la veille joue un rôle majeur. Des newsletters locales, des conférences en ligne et des vidéos pédagogiques entretiennent l’intérêt. Elles aident à comprendre les tendances, comme l’IA générative, le cloud souverain ou la sobriété numérique. Ce regard large soutient des choix éclairés. Il donne un cap durable, du lycée à la première embauche.

Ces ressources vidéo complètent la pratique et éclairent des trajectoires précises. Elles suggèrent des exercices, des méthodes et des postes cibles. Les jeunes filles disposent ainsi d’un chemin balisé vers l’informatique appliquée.

Vers l’égalité professionnelle: leviers concrets pour accélérer à Fleurance et en Occitanie

Accélérer l’égalité professionnelle suppose des engagements clairs, mesurés et suivis. À Fleurance, l’écosystème pose les premières briques : bourses, mentorat et événements réguliers. Pour passer un cap, trois axes se dégagent. D’abord, la transparence salariale. Ensuite, la formation des recruteurs aux biais. Enfin, la mise en place de programmes de stage réservés aux lycéennes motivées.

La transparence est décisive. Un écart moyen de 18 % dans la tech n’est pas une fatalité. Les entreprises peuvent publier des grilles de salaires, assorties de critères objectifs. Les candidates comparent, questionnent et choisissent. Cet alignement crée une dynamique saine et durable. Il attire des talents qui n’osaient pas postuler.

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La sensibilisation des équipes RH et des managers réduit les filtres implicites. Une demi-journée suffit parfois à transformer des pratiques. Les annonces deviennent plus inclusives. Les entretiens explorent les preuves plutôt que les stéréotypes. Les retours structurés aident à progresser. Ce cadre rassure, et il fidélise.

Les programmes de stage ont un effet d’entraînement. Un dispositif multi-sites, piloté avec BGE et les lycées, réserverait des places à des jeunes filles. Les missions seraient claires, encadrées et évaluées. Les attentes resteraient réalistes et formatrices. Ce sas favorise l’insertion et la confiance. Il alimente ensuite les recrutements d’alternantes.

Le soutien financier local fait aussi la différence. La “Bourse jeunes citoyens” du CCAS de Fleurance peut devenir un levier orienté numérique. Une partie ciblerait l’équipement, l’autre financerait des cours ou des transports. Cette granularité répond aux besoins réels des familles. Elle accélère l’accès aux outils et aux événements clés.

Enfin, l’évaluation s’impose. Un tableau de bord partagé suivra inscriptions, stages, alternances et embauches. Les résultats seront discutés avec les partenaires. Les objectifs monteront progressivement. Cette gouvernance ancre le progrès dans la durée. Elle consolide l’écosystème local et inspire d’autres territoires.

Outils et partenariats: transformer l’essai sur le terrain à Fleurance

Pour transformer l’essai, les outils doivent être simples, pérennes et co-construits. À Fleurance, l’articulation entre établissements, associations et entreprises s’affine. Les lycées définissent le calendrier d’éducation. Les réseaux comme Coll.in et Femmes & Sciences fournissent contenus et intervenantes. Les entreprises ouvrent leurs portes et partagent des cas réels. L’ensemble crée un tout cohérent, bien supérieur à la somme des initiatives.

Un “kit parcours” structure la progression. Il inclut un carnet de compétences, des checklists et des guides de projets. Chaque lycéenne sait ce qu’elle peut valider à chaque étape. Les formatrices suivent les acquis et les difficultés. Les familles voient l’avancement et les options possibles. La clarté réduit les hésitations au moment des choix.

Le second levier tient au mentorat. Un réseau local, soutenu par Capital Filles, associe des professionnelles à des élèves. Les échanges durent un semestre, avec des objectifs concrets. Le binôme travaille sur un petit projet, puis une présentation publique. Ce format donne de la visibilité et de la fierté. Il change l’image de l’informatique au sein des classes.

Les événements ancrent la dynamique. Une journée “Découverte des carrières numériques” regroupe ateliers, mini-conférences et démos. Les intervenantes racontent une réussite, mais aussi un échec instructif. Les élèves identifient des trajectoires possibles, sur le territoire. La proximité renforce l’identification. Elle ouvre des portes qui semblaient loin.

La logistique compte autant que le contenu. Des salles équipées, une connexion stable et des créneaux réguliers garantissent la qualité. Un budget partagé couvre petits matériels, déplacements et collations. Les partenaires signent une charte d’inclusion et de respect. Ce cadre donne le ton et réaffirme les priorités. Il protège la qualité pédagogique dans le temps.

Enfin, la communication dresse des ponts. Un site local agrège les ressources, les dates et les formulaires d’inscription. Les jeunes filles y trouvent les programmes, les bourses et les stages. Les familles y consultent les guides et les conseils pratiques. Les entreprises y publient leurs offres. Ce point d’entrée simplifie la vie de tous.

On en dit quoi ?

Ces parcours dédiés à Fleurance produisent un effet mesurable et humain. Les témoignages concrets, les ateliers réguliers et les soutiens financiers créent une chaîne vertueuse. Les lycéennes gagnent en confiance, et les carrières numériques deviennent une option crédible. En somme, le territoire prouve qu’une stratégie locale, outillée et inclusive, peut accélérer l’égalité professionnelle tout en répondant aux besoins du marché. Le message est clair : les jeunes filles ont leur place, ici et maintenant.

Quelles premières compétences une lycéenne peut-elle acquérir rapidement ?

HTML/CSS pour publier une page, notions de SEO pour être trouvée, et bases de Python pour manipuler des données. Ces acquis se valident par un petit portfolio en ligne.

Comment trouver un mentor à Fleurance ou près de Masseube ?

Les équipes éducatives s’appuient sur Coll.in, BGE et Capital Filles pour mettre en relation des professionnelles et des lycéennes. Un formulaire local centralise désormais les demandes.

Quels sont les coûts d’entrée pour se lancer dans le numérique ?

Un ordinateur, une connexion fiable et des ressources gratuites suffisent au départ. La bourse de 1 000 € du CCAS de Fleurance peut financer l’équipement et des cours certifiants.

Quels métiers numériques recrutent le plus en 2025 ?

Cybersécurité, data, développement web, SEO-SEA, UX et gestion de produits affichent une demande soutenue. Les profils hybrides, techniques et communicants, sont très recherchés.

Comment lutter contre les stéréotypes en classe ?

Inviter des intervenantes, montrer des réussites locales, analyser les biais dans les médias et évaluer par des preuves plutôt que des impressions. La répétition de ces gestes fait évoluer les représentations.

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