Event marketing remix 2018

Au cœur de l’automne 2018, une journée dense a réuni à l’Auditorium Marceau des dirigeant·e·s, créateurs et expertes du numérique autour d’un même constat : l’événementiel marque un tournant. Les usages digitaux prennent le dessus, les écrans ne sont plus les seuls points de contact, et les expériences phygitales s’imposent. Des personnalités issues des médias, du retail, des télécoms, de la finance et du voyage ont partagé leur vision, croisant contenus, data et créativité. Les échanges ont posé les mots justes sur la mutation en cours : l’idée doit primer sur la fascination technologique, et l’intelligence artificielle, la blockchain ou la réalité augmentée méritent un cadre plus mature, éthique et mesurable.

Depuis, les promesses s’évaluent à l’aune de la preuve. Les plateformes d’inscription, de streaming et de networking — de Eventbrite à Hopin, en passant par Weezevent — se sont professionnalisées. Les acteurs traditionnels, comme GL events, Comexposium ou Auditoire, ont accéléré l’hybridation avec des offres comme Live! by GL events. Des agences telles que Publicis Events, Moma Event ou Lévénement orchestrent désormais des dispositifs où la scène, la data et le social travaillent ensemble. Cette trajectoire raconte un apprentissage collectif : faire de chaque événement un système vivant, centré sur l’audience, éclairé par la donnée, et prolongé dans le temps par des contenus utiles.

• 🎯 Mutation confirmée : data, IA et contenus forment le trio gagnant de l’Event marketing remix 2018.
• 📍 Lieu et rythme : une journée denses de talks et retours d’expérience, dès 8h15 à l’Auditorium Marceau.
• 🤝 Écosystème élargi : marques, plateformes, régies et agences ont aligné pratiques et visions.
• 🧰 Stack moderne : Eventbrite, Hopin, Weezevent et Live! by GL events structurent l’hybride.
• 📏 Mesure et ROI : attribution, brand lift et clean rooms ont gagné en maturité depuis 2018.
• 🏁 Acteurs clés : Comexposium, GL events, Auditoire, Publicis Events, Moma Event, Lévénement.

Event marketing remix 2018 : ce que l’édition a changé pour les marques

Le 8 novembre 2018, la journée a rassemblé un casting puissant : dirigeants médias, responsables data, spécialistes retail, leaders de plateformes. Des profils reconnus se sont succédé pour confronter intuition et preuves. L’événement n’a pas seulement aligné des prises de parole ; il a fourni un cadre de lecture pour le marché. Pourquoi ce cadre a-t-il tenu dans la durée ? Parce que les messages clés reposaient sur des usages réels plutôt que sur des promesses abstraites.

La scène a porté trois insistances majeures. D’abord, la consolidation des interfaces connectées : enceintes vocales, écrans in-store, assistants mobiles. Ensuite, l’exigence d’expériences tangibles, reposant sur des récits et pas uniquement sur des gadgets. Enfin, la vigilance envers l’IA et les technologies émergentes : utiles, mais à cadrer. Cette grille de lecture a guidé les stratégies d’événements de 2019 à aujourd’hui, en fixant des priorités claires.

Un exemple marquant : une enseigne d’équipement de la maison a expliqué comment elle reliait démonstrations live, parcours site et activation CRM pour réduire le coût d’acquisition. En plaçant la donnée de consentement au centre, l’entreprise a piloté ses invitations via Weezevent et mesuré l’impact en magasin. La même logique a inspiré les médias présents, qui ont testé des formats éditoriaux live avec mesure du temps d’attention et relance personnalisée.

Du côté des plateformes, Hopin a émergé ensuite comme solution de référence pour les formats hybrides. En miroir, Eventbrite a renforcé ses briques d’inscription et d’automatisation. GL events a structuré des offres immersives avec Live! by GL events, tandis que Comexposium a accéléré la digitalisation de ses salons. Cette convergence a apporté des workflows plus fluides aux équipes marketing, qui peuvent désormais articuler scène, stream et CRM.

Les agences ont consolidé leur rôle d’ensemblier : Publicis Events, Moma Event et Auditoire ont normalisé des dispositifs « audience-first ». Elles s’appuient sur des partenaires techniques, et sur des standards portés par Lévénement, pour garantir qualité et sécurité. Cette vision a permis à de nombreuses marques de passer du one-shot au « programme d’événements », avec des cycles éditoriaux cohérents et mesurables.

Un cadre qui a tenu face aux chocs

Entre 2019 et aujourd’hui, le secteur a traversé des phases contrastées. Pourtant, les lignes directrices validées en 2018 ont servi de boussole. Les expériences utiles gagnent sur les effets de mode. Les marques retiennent : la technologie aide, mais ne remplace pas l’idée et le soin apporté à l’audience. Cette exigence nourrit un cercle vertueux : meilleur contenu, meilleure attention, meilleure performance.

Au final, l’édition 2018 a fourni un lexique commun et une méthode : penser audience, orchestrer les canaux, puis mesurer ce qui compte vraiment.

Data, IA et contenus : le triptyque révélé à Event marketing remix 2018

La data s’active mieux quand elle reste proche d’un récit clair. Ce principe a été largement illustré en 2018, puis confirmé année après année. Les contenus servent d’interface empathique, l’IA aide à personnaliser sans sur-solliciter, et la donnée donne le tempo. Ainsi, les équipes qui ont aligné ces trois briques ont observé des gains simultanés sur l’attention et sur le revenu.

Une marque fictive, NovaRetail, peut éclairer ce trio. Elle organise un rendez-vous trimestriel autour de sa communauté déco. Les invitations partent via Eventbrite avec champs de consentement précis. Le jour J, un moteur de recommandation propose des sessions adaptées aux centres d’intérêt. Après l’événement, des capsules vidéo récapitulatives sont poussées selon le comportement observé. Le contenu reste roi, mais la data guide le bon message, au bon moment.

La question éthique demeure centrale. Comment doser la personnalisation sans franchir la ligne rouge ? Les intervenants de 2018 ont insisté : transparence, valeur perçue, contrôle utilisateur. Aujourd’hui, les « consent management platforms » et les clean rooms facilitent la conformité. On personnalise moins, mais mieux. Et l’IA générative sert à accélérer le « first draft » des scénarios, ensuite réécrits par des humains pour garantir ton, exactitude et respect des publics.

Côté médias, la combinaison « live + social recut » performe. Une table ronde devient cinq extraits courts, un dossier devient un carrousel pédagogique, une masterclass devient un guide téléchargeable. Chaque pièce s’inscrit dans un arc narratif cohérent. Ce flux évite la déperdition et étend la durée de vie de l’événement. Les budgets respirent mieux, les équipes aussi.

Méthode simple pour orchestrer data, IA et contenu

Le squelette gagne à rester léger : un modèle d’audience, des scénarios de contenu, une boucle de feedback. Cet enchaînement, répété à chaque édition, nourrit une base de connaissance utile. Les plateformes comme Hopin ou Live! by GL events facilitent l’analyse de participation, tandis que Weezevent alimente le CRM avec finesse. L’ensemble devient un atelier agile, où chaque événement apprend du précédent.

Pour aller plus loin, les archives vidéo d’interventions similaires éclairent bien l’évolution des pratiques. Chercher des retours d’expérience concrets aide à ancrer sa propre méthode.

Cette approche par la preuve conforte une idée simple : quand la data sert l’histoire, l’audience s’engage et la marque progresse sans forcer.

Expériences hybrides et formats live : héritages de Event marketing remix 2018

L’édition 2018 a popularisé l’idée que l’événement ne se résume pas à une salle pleine. Il vit en amont, durant et après. Sur place, la scénographie porte le sens. En ligne, la réalisation transforme une prise de parole en véritable émission. Entre les deux, des interactions permettent d’impliquer les publics. Ce triptyque a déclenché une vague d’innovations pragmatiques.

Les grands opérateurs ont accompagné ce mouvement. GL events a enrichi son offre avec Live! by GL events pour des captations de qualité broadcast. Comexposium a travaillé des formats plus « curated » sur ses salons, en créant des studios de contenu. Auditoire, Publicis Events et Moma Event ont systématisé la coexistence de deux régies : la salle et le stream. Cette double exigence a élevé la barre, autant sur la technique que sur l’éditorial.

Sur la partie plateforme, Hopin s’est imposé sur les événements virtuels à forte interaction. Eventbrite reste un socle robuste pour la billetterie et les logiques d’invitation segmentées. Weezevent se distingue dans les flux sur site, notamment pour la gestion des accès et des cashless. Ensemble, ils dessinent un écosystème complémentaire. Les équipes peuvent choisir sans se lier à un fournisseur unique.

Un cas inspirant : la société fictive Maison Lumen, acteur lifestyle, organise un « studio live » bimestriel dans un lieu physique iconique. Sur place, 200 invités participent à des ateliers. En parallèle, un flux multi-cam sur Hopin propose networking et Q&A modéré. Le lendemain, un workshop prolonge la réflexion pour les partenaires. Cette mécanique triple maximise l’empreinte et diversifie les KPI.

Designer un live qui tient ses promesses

Tout se joue sur l’arc dramaturgique. Ouvrir vite, donner de la valeur tôt, respirer avec des formats courts, et conclure par un call to action clair. La technique suit : latence maîtrisée, mixage sonore soigné, sous-titres, accessibilité. Enfin, le plan social recycle chaque moment fort en capsules pour nourrir la longue traîne. Rien de renversant, mais une rigueur qui fait la différence.

Pour alimenter l’inspiration, visionner des démos et des captations de conférences aide à objectiver ses choix techniques et éditoriaux.

Au bout du compte, l’hybride n’est pas un compromis : c’est une extension du terrain de jeu, où la valeur se construit scène après scène.

Mesure, attribution et ROI : méthodes inspirées par Event marketing remix 2018

La question du « ça marche ? » ne supporte plus l’à-peu-près. Dès 2018, plusieurs intervenants ont demandé un cadre lisible pour la mesure. Cette exigence a accouché d’une approche mixte : indicateurs d’attention, diagnostics d’incrémentalité, et boucles CRM. La clé ne tient pas dans un chiffre magique, mais dans un faisceau cohérent de preuves.

Sur l’attention, le couple « taux de complétion vidéo + interactions utiles » a fait ses preuves. Pour l’incrément, des tests géo ou des holdouts ont clarifié la part réelle de l’événement dans la performance. Le CRM relie les points : invitations, présence, engagement, achat. Les marques ont appris à croiser ces trois vues pour arbitrer, sans confondre corrélation et causalité.

Un autre apport a gagné en visibilité : les clean rooms. Elles permettent de comparer, de manière sécurisée, les données d’audience des plateformes et celles de la marque. Résultat : moins de doublons, une meilleure lecture du reach, et une attribution plus fiable. Les enseignements nourrissent le contenu, la médiatisation et la fréquence des éditions.

Quand intégrer la vente ? Pas trop tôt. Les meilleures séquences laissent l’idée respirer, puis activent une offre claire à J+1 ou J+2. Les taux de conversion montent, sans dégrader l’expérience. La mesure doit donc respecter la chronologie de l’attention. C’est une question de respect et d’efficacité.

Un mini-framework pour piloter le ROI

On peut structurer une grille simple : définir l’objectif, choisir trois métriques phares, cadrer un test d’incrément, et documenter les décisions. Le fait de garder cette grille constante permet la comparaison entre éditions. Les directions comprennent vite où investir davantage, et où resserrer la voilure.

Le choix des partenaires compte. Auditoire ou Publicis Events savent intégrer ces logiques dans la scénographie. GL events et Comexposium garantissent les moyens sur site. Eventbrite, Hopin et Weezevent aident à tracer proprement. Ce maillage transforme la mesure en alliée du récit, et non en contrainte.

Gouvernance, écosystème et compétences : suites de Event marketing remix 2018

Un événement performant ressemble à une petite entreprise. Il lui faut une gouvernance claire, des rôles précis, et un pilotage des risques. Ce réalisme a émergé fortement en 2018, puis s’est imposé dans les organisations. Les directions marketing ont créé des « event squads » : éditorial, production, data, amplification, et partenaires.

Les grands organisateurs ont consolidé l’écosystème. GL events a structuré des offres intégrées, de la salle à la captation. Comexposium a accéléré la transformation digitale de ses salons et forums. Les agences — Auditoire, Publicis Events, Moma Event — s’occupent du design d’expérience. Lévénement, en tant qu’acteur fédérateur, défend les standards et la responsabilité de la filière. Chacun avance sur sa pièce du puzzle, dans une logique de co-création.

Du côté des plateformes, la spécialisation est nette. Eventbrite s’illustre sur la gestion d’inscriptions à grande échelle. Hopin optimise le live virtuel et le networking. Weezevent renforce l’opérationnel sur site, de l’accès au cashless. Live! by GL events garantit une qualité broadcast. Cette complémentarité évite l’illusion du « tout-en-un » et réduit la dépendance.

Sur le plan des compétences, trois blocs deviennent incontournables : écrire des formats qui respectent l’attention, lire la data sans la surinterpréter, et produire à coût maîtrisé. Les profils hybrides — créatifs data-savvy, producteurs éditoriaux, techniciens sensibles à l’audience — font la différence. Ces talents savent traduire une intention en expérience, sans perdre la boussole utilisateur.

Feuille de route d’une marque qui se structure

Reprenons NovaRetail. La direction valide un modèle simple : quatre rendez-vous par an, chacun adossé à un objectif. Le comité inclut marketing, vente, IT, juridique et RSE. Les partenaires sont choisis pour leur complémentarité, pas pour leur catalogue. Les budgets se partagent entre création, production, média et mesure. En trois trimestres, la marque gagne en régularité et en lisibilité, autant en interne qu’auprès de sa communauté.

Ce modèle tient parce qu’il reste humain. Les outils servent la relation, les rôles se parlent, la mesure éclaire. L’événement redevient un média vivant, qui apprend de ses propres effets et respecte l’attention de celles et ceux qui le suivent.

De la scène aux communautés : prolonger l’impact d’Event marketing remix 2018

L’une des intuitions fortes de 2018 tient dans la continuité. La scène lance une conversation, la communauté la prolonge. Ce passage du show à l’atelier a inspiré de nombreux dispositifs. On invite le public à co-créer, à voter pour les thèmes, à documenter les bonnes pratiques. Les retours deviennent des ressources. Les contenus d’après-coup structurent un capital de savoir partagé.

Les distinctions sectorielles, comme La Nuit des Rois, ont joué un rôle moteur. Elles valorisent les campagnes qui allient impact et sens. En 2025, la cérémonie a encore mis en lumière des approches qui respectent l’attention et mesurent sans intrusivité. Ce mouvement conforte ce que l’Event marketing remix 2018 avait pressenti : l’alliance du « Good, Impact & Business » comme boussole commune.

Concrètement, une marque gagne à ritualiser ses « épisodes ». Chaque édition répond à une question précise, puis documente les étapes franchies. Un hub regroupe replays, synthèses et fiches pratiques. Les partenaires s’en servent pour leur propre montée en compétence. L’écosystème y trouve son compte. Les coûts baissent quand le savoir circule.

Cette logique s’étend au retail, au B2B et à la culture. Les festivals testent des labs, les salons ouvrent des studios, les marques créent des académies. Les plateformes suivent : Hopin améliore ses espaces de networking thématiques, Eventbrite raffine l’automatisation des rappels, Weezevent optimise les parcours sur site. Les agences, elles, tissent des récits qui se lisent aussi bien en 30 secondes qu’en 30 minutes.

Transformer l’événement en programme éditorial

Le plus simple est souvent le plus efficace : un calendrier, des formats récurrents, une grammaire visuelle stable, et des KPI modestes mais utiles. Ensuite, on améliore par petites touches : meilleures transitions, ateliers plus interactifs, ressources plus claires. Le public perçoit l’effort et s’attache à la régularité. L’événement devient un rendez-vous attendu, pas un coup isolé.

Cette continuité ne fige rien. Elle crée un terrain d’essai permanent. L’important reste la qualité du lien, soutenu par des partenaires solides et des outils qui disparaissent derrière l’expérience.

On en dit quoi ? Avis final sur Event marketing remix 2018

Cette édition a su mettre des mots simples sur une transformation profonde. Les marques y ont trouvé une méthode plutôt qu’un manifeste : audience, expérience, mesure. Le reste se règle par essais et corrections. En 2025, le cap reste bon : créer des formats utiles, respecter l’attention, et faire coopérer scène, data et contenus. Les partenariats avec Eventbrite, Hopin, Weezevent, GL events, Comexposium, Publicis Events, Moma Event, Lévénement et Auditoire donnent de l’ampleur sans diluer l’intention. En somme, l’événement redevient un média humain qui apprend vite et bien.

Quels outils choisir pour un événement hybride performant ?

Associer une billetterie solide (Eventbrite ou Weezevent), une plateforme live interactive (Hopin) et une production haut de gamme (Live! by GL events) couvre 80% des besoins. Ajouter un CRM et un plan d’amplification clarifie la suite.

Comment mesurer l’impact sans complexité inutile ?

Définir trois métriques phares liées à l’objectif, cadrer un test d’incrément (holdout, géotest) et relier présence et conversion via le CRM. Conserver le même cadre d’une édition à l’autre permet la comparaison.

Comment éviter la sur-personnalisation avec l’IA ?

Rester transparent, demander un consentement clair et limiter la personnalisation à des actions utiles. L’IA doit accélérer la production, pas imposer des messages intrusifs.

Quel rôle pour les agences ?

Auditoire, Publicis Events et Moma Event orchestrent l’expérience de bout en bout. Elles unifient scénographie, éditorial et diffusion, tout en s’appuyant sur les standards de Lévénement.

Et pour un grand salon ou sommet ?

S’appuyer sur des opérateurs comme GL events ou Comexposium sécurise la logistique. La couche digitale (Hopin, Live! by GL events) étend la portée et la mesure.

Oceane.21

Spécialiste du digital depuis plusieurs années, passionnée par les nouvelles technologies et la communication, j’accompagne les entreprises dans leur transformation numérique. Créative et curieuse, j’aime relever de nouveaux défis et partager mes connaissances pour faire grandir chaque projet.