participez à fdday 2018, l’événement phare organisé par france digitale, pour rencontrer les acteurs majeurs de la tech et de l’innovation en france. un rendez-vous incontournable pour startups, investisseurs et experts du digital.

Event FDday France Digitale day 2018

Event FDday France Digitale day 2018 a marqué une étape décisive pour l’écosystème européen. Au cœur du Musée des Arts Forains, plus de 3 000 participants ont convergé vers Paris pour une journée ramassée sur l’essentiel : des rencontres, des prises de parole percutantes et un esprit résolument Tech4Good. Le dispositif a favorisé des échanges ciblés entre fondateurs, investisseurs et responsables innovation de grandes entreprises. Ce format, pensé par France Digitale, a consolidé un rendez-vous désormais scruté par toute La French Tech, mais aussi par des corporates internationaux comme Microsoft ou Google. L’ambiance, très européenne, a donné de la visibilité aux jeunes pousses françaises qui ambitionnaient déjà un accès rapide à des marchés transfrontaliers.

Le 25 septembre 2018, les équipes de France Digitale ont orchestré un agenda dense : trois scènes, près de 100 speakers et deux espaces de rencontres dédiés aux deals. La présence de fonds majeurs comme Accel, Atomico, Balderton ou Lakestar a hissé le niveau des échanges. Ce moment a aussi permis d’inscrire la transformation numérique dans un récit de responsabilité, avec un leitmotiv clair : des technologies utiles, inclusives et capables de créer des emplois durables. À l’heure où l’on mesure l’impact de cette édition, l’héritage du FDday 2018 reste lisible : une méthode pour accélérer, un état d’esprit pour durer et des ponts solides entre startups, investisseurs, Bpifrance et grands groupes comme Orange, Crédit Agricole, Capgemini, SNCF ou encore Vente-Privée.

France Digitale Day 2018 : chiffres clés, lieu et esprit Tech4Good

La singularité du France Digitale Day 2018 tient à l’alliance d’un format condensé et d’un récit fédérateur. Le choix du Musée des Arts Forains à Bercy n’a rien d’anecdotique : ce décor immersif a servi de catalyseur. Les participants sont entrés dans un univers visuel propice aux rencontres informelles et aux conversations franches. Ce cadre a fluidifié les mises en relation, puis accéléré la transition entre présentations et rendez-vous d’affaires. L’événement a ainsi relié les discussions de fond aux opportunités concrètes. Cette dynamique a compté dans la qualité des connexions nouées sur place.

Quelques jalons donnent la mesure de l’édition. D’abord, un public de 3 000 entrepreneurs et décideurs. Ensuite, la présence d’environ 200 investisseurs et d’une centaine de journalistes. Enfin, plus de 1 000 rendez-vous souhaités entre startups et acteurs clés. Ces chiffres indiquent une densité rare. Pour les fondateurs, chaque heure offrait l’occasion d’un pivot stratégique, d’un partenariat ou d’une validation produit. Plusieurs CEO ont d’ailleurs rapporté des retours immédiats sur leur roadmap. Cette efficacité, voulue par France Digitale, a soutenu une vision : simplifier la rencontre entre l’offre d’innovation et les besoins marchés.

L’esprit Tech4Good a servi de fil rouge. Il ne s’agissait pas d’un slogan, mais d’une exigence : relier croissance, inclusion et utilité. Les panels ont mis l’accent sur l’emploi, la redistribution de la valeur et l’accès aux services. Les discussions ont couvert des sujets concrets : tarification responsable, design éthique, sobriété du cloud et gouvernance des données. Cette grille de lecture a incité les équipes à traduire leurs valeurs en indicateurs mesurables. À terme, ce cadrage alimente la maturité des projets, des recrutements et des relations investisseurs.

Pour illustrer l’approche, imaginons Aquila Mobility, une startup fictive de micromobilité. L’équipe arrive au FDDay avec un MVP robuste, mais peu de connexions industrielles. En une après-midi, elle rencontre un responsable innovation chez SNCF, un expert cybersécurité de Capgemini et un chef de produit chez Microsoft. Trois échanges, trois décisions : un pilote sur des gares régionales, un audit sécurité et une intégration Azure IoT. Le cadre et le tempo de la journée rendent possible ce triptyque décisif.

Points essentiels à retenir :

  • Lieu : Les Pavillons de Bercy, un écrin favorisant les rencontres informelles et le networking ciblé.
  • Échelle : 3 scènes, ~100 speakers, ~200 investisseurs, ~3 000 participants, >1 000 rendez-vous.
  • Esprit : Tech4Good, avec des engagements concrets sur l’emploi et l’utilité sociale des technologies.
  • Accélération : format ramassé, passages rapides du pitch au deal, interactions directes avec décideurs.

La journée a montré que croissance et responsabilité peuvent coexister, si l’orchestration et le cadre tiennent leurs promesses.

Le décor comme moteur d’interactions

Pourquoi ce lieu a-t-il tant compté ? L’esthétique du musée invite à la curiosité. Les stands sortent du cadre classique des salons. Les visiteurs déambulent, s’arrêtent, discutent. Ce rythme favorise des échanges moins convenus et plus utiles. Des idées circulent, des erreurs se dédramatisent et des solutions émergent rapidement. L’effet est tangible sur la qualité des débats et le taux de rendez-vous transformés en suites concrètes.

Au-delà de l’ambiance, l’organisation en parcours a fluidifié l’expérience. Trois scènes thématiques, des espaces de rendez-vous, des zones de démonstration. Chaque trajectoire visiteur restait claire. Les fondateurs savaient où trouver investisseurs, partenaires et médias. L’efficacité logistique a donc amplifié la portée éditoriale du Tech4Good.

  • Parcours clair : scènes identifiées, zones de meetings, signalétique visible.
  • Mix formats : keynotes, panels, ateliers, démos courtes.
  • Temps utiles : annonce des rendez-vous, créneaux protégés, suivi facilité.
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Résultat : un cadre qui sert le contenu et évite la dispersion. La cohérence forme un avantage compétitif pour tout événement sectoriel.

Rencontres stratégiques : startups, grands groupes et VC au FDDay 2018

L’une des forces du FDday 2018 réside dans ses espaces de rencontres dédiés. Deux zones concentraient la valeur : startups & grands groupes et startups & VCs. Cette séparation simple a permis de clarifier les objectifs. Ici, on parle pilotes, achats et co‑innovation. Là, on discute tours de table, syndication et priorités produits. Les fondateurs gagnaient ainsi un temps précieux. Les décideurs corporate pouvaient, eux, qualifier rapidement les opportunités pertinentes.

Les grandes entreprises françaises ont joué le jeu. Orange est venu avec des équipes innovation et un intérêt affirmé pour l’edge et la 5G. Crédit Agricole a exploré fintech, assurance et agritech. Capgemini a sondé des use cases IA et data pour ses clients internationaux. La SNCF a évalué la mobilité servicielle et la maintenance prédictive. Vente-Privée a partagé sa vision e‑commerce, une approche utile aux retail techs orientées data. Microsoft et Google ont, de leur côté, proposé des passerelles cloud et des programmes d’accompagnement.

Le plateau investisseurs frappait par sa diversité. Des fonds historiques de Londres côtoyaient des acteurs nordiques portés sur les plateformes et la climat tech. Des maisons israéliennes, très actives en cyber et en deeptech, avaient fait le déplacement. Cette cartographie a généré des trajectoires d’internationalisation plus rapides pour les startups françaises. Les échanges ont, bien souvent, ouvert des portes vers l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Benelux et les pays nordiques.

  • Fonds remarqués : Accel, Atomico, Balderton, Lakestar, EQT Ventures, Blossom Capital.
  • Fonds israéliens : Viola Ventures, Magma Venture Partners, OurCrowd.
  • Objectifs : seed à late stage, co‑investissements, ponts vers les marchés US et Asie.

Le rôle de Bpifrance a complété l’équation. L’institution a apporté des mécanismes de financement et des garanties. Son effet de levier a renforcé la confiance des VCs étrangers. Les dirigeants ont pu structurer des plans de croissance à l’échelle européenne en intégrant financements non dilutifs, dette et equity. Cette combinaison reste déterminante pour gérer l’hyper‑croissance sans sacrifier la résilience.

Retour à Aquila Mobility. Dans l’espace startups & grands groupes, la rencontre avec SNCF a conduit à un pilote multi‑sites. Le dispositif incluait un POC IoT, hébergé sur Azure via un programme Microsoft for Startups. En parallèle, un partenaire chez Crédit Agricole a proposé une offre de financement d’actifs. Sur la zone VCs, un partner d’Atomico a challengé la stratégie de déploiement. Cette critique structurée a affiné la géographie des premiers marchés.

Repères concrets pour optimiser ces rencontres :

  • Préparer des fiches de rendez-vous avec problème, solution, métriques, besoins précis.
  • Prioriser deux use cases exploitables en six semaines, afin d’éviter les cycles trop longs.
  • Formuler un “ask” clair : pilote, achat, feedback, intro sectorielle, syndication.
  • Documenter un suivi post‑event en 48 heures, avec un plan d’actions et des owners.

Ce design des rencontres a rendu les interactions plus efficaces. La clarté des objectifs, alliée à la densité des profils présents, a produit des résultats tangibles.

Corporates, plateformes et opportunités croisées

Les plateformes cloud et data occupaient une place centrale. Google et Microsoft ont mis en avant la sécurité, l’observabilité et le support au scale‑up. Les grands groupes français ont apporté des terrains d’expérimentation réels. Orange a ouvert des discussions sur la 5G privée. Capgemini a connecté des startups à des projets clients. Vente-Privée a partagé une culture test‑and‑learn utile aux jeunes pousses retail. Ces croisements ont montré la maturité du marché.

Pour les fondateurs, l’essentiel restait d’aligner le timing. Un POC est utile s’il s’inscrit dans la feuille de route produit. Le FDDay a aidé à cadrer ces fenêtres avec précision. Ce gain de temps s’est converti en traction mesurable.

  • Alignement : POC utile si aligné avec la roadmap et un sponsor fort côté client.
  • Transparence : clarifier les conditions d’industrialisation dès le premier échange.
  • Mesure : définir un KPI d’impact, pas dix indicateurs anecdotiques.

Les rencontres bien cadrées laissent des traces durables, car elles s’arriment à des objectifs clairs et à des terrains d’application crédibles.

Programmes et scènes : 3 stages, 100 speakers et débats européens

Le programme du France Digitale Day 2018 s’articulait autour de trois scènes complémentaires. La première couvrait les enjeux globaux et sociétaux. La deuxième traitait des cadres européens : régulation, concurrence, fiscalité et standards. La troisième donnait la parole aux fondateurs : retours d’expérience, bonnes pratiques et avancées technologiques. Ce triptyque a offert un panorama complet, du macro au micro.

Sur la scène globale, les sujets sensibles n’ont pas manqué. Les discussions ont abordé la gouvernance des données, l’IA responsable et la cybersécurité. Les interventions ont relié principes et mise en œuvre : politiques de chiffrement, MLOps éthique, résilience des plateformes. Les échanges ont insisté sur la nécessité d’articuler innovation et confiance. Cette exigence, encore plus vive aujourd’hui, a structuré des feuilles de route durables.

La scène européenne a permis d’éclairer les réalités du marché. Les intervenants ont discuté d’interopérabilité, de standards, de capital patient et d’accès aux talents. Le public a apprécié les conseils concrets pour opérer dans plusieurs pays sans diluer l’ADN produit. Les propositions visaient l’exécution : packaging, conformité, support multilingue, canaux de vente adaptés. L’axe Europe a ainsi cessé d’être une abstraction pour devenir un plan d’action.

  • Enjeux globaux : IA responsable, sécurité, sobriété numérique.
  • Perspectives européennes : standards, fiscalité, RGPD, politique industrielle.
  • Pratiques fondatrices : go‑to‑market, pricing, SRE, data mesh.
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Le casting a marqué les esprits par sa diversité. Des fondateurs de licornes internationales ont partagé des trajectoires sans filtre. Parmi eux : Chris Barton (Shazam), Mikkel Svane (Zendesk), Pieter van der Does (Adyen), Frédéric Mazzella (BlaBlaCar), Joseph Lubin (Ethereum), Gordon Willoughby (WeTransfer), Riccardo Zacconi (King) ou encore Markus Villig (Taxify). Ces voix ont offert des repères sur le produit, le recrutement et la culture d’entreprise. Les fondateurs français ont, eux, détaillé des chantiers précis : sécurité hardware chez Ledger, pédagogie massive chez OpenClassrooms ou legaltech chez Doctrine.

Quelques prises de parole ont circulé en vidéo après l’événement. Elles ont prolongé les débats sur la durée. Les replays ont servi de base de travail pour de nombreuses équipes produit et marketing, qui ont affiné leurs plans dès l’automne 2018.

Du côté méthodes, la scène des fondateurs a partagé des frameworks concrets. On y a vu des checklists de due diligence, des retours d’échec utiles, et des recettes d’hyper‑croissance soutenable. Les conseils reliaient métriques et culture : ralentir pour stabiliser une architecture, recruter pour renforcer une valeur clé, documenter pour former vite. Les dirigeants ont souligné l’importance d’un leadership frugal et clair, surtout dans les périodes d’ajustement marché.

Pour saisir l’atmosphère de ces échanges, un second angle vidéo met en perspective l’engagement Tech4Good. Cette ligne a inspiré des roadmaps orientées sobriété et impact.

En définitive, ces trois scènes ont servi un objectif simple : convertir des convictions en pratiques opérationnelles. Les participants sont repartis avec des outils immédiatement actionnables. Les débats européens ont, eux, fourni un cadre pour réussir au‑delà des frontières.

Des enseignements actionnables pour les équipes

Des listes courtes ont souvent suffi à cadrer des chantiers complexes. Les meilleures sessions ont proposé des plans en trois étapes, faciles à tester puis à itérer. Cette approche a permis aux startups d’avancer sans complexifier leur organisation. Elle a aussi rassuré les investisseurs sur la discipline d’exécution.

  • Focus produit : résoudre un problème ancré, mesurer l’usage, écouter le support.
  • Go‑to‑market : ICP clair, messages par segment, preuve de valeur rapide.
  • Organisation : rituels courts, docs vivantes, ownership explicite.

Ce pragmatisme a donné du relief à la promesse Tech4Good : impact, oui, mais par le produit et par la preuve.

Impact mesurable : baromètre France Digitale x EY 2018 et héritage en 2025

Le baromètre France Digitale x EY 2018 a livré des signaux forts. Il a confirmé la montée en puissance de l’écosystème français, avec une progression des levées et une diversification sectorielle. Les startups ont affiché des indicateurs d’emploi en hausse et une ambition européenne plus marquée. Cette photographie a servi de base pour comparer, année après année, la résilience du modèle. Elle a aussi éclairé les zones à améliorer : parité, accès aux talents pénuriques, fiscalité de l’actionnariat salarié.

En regard, l’héritage du FDDay 2018 se lit à travers plusieurs axes. D’abord, une culture de la performance orientée métriques. Ensuite, un rapport mature aux grands comptes, passant du POC isolé au déploiement industrialisé. Enfin, une vision plus nette des enjeux sociétaux, avec des KPI d’impact et des chartes éthiques intégrées au produit. Ce triptyque a contribué à l’attractivité des startups françaises auprès des fonds européens et américains.

Sur le plan financier, des mécanismes hybrides ont pris de l’ampleur. La combinaison equity, dette et aides non dilutives, soutenue par Bpifrance, a fluidifié les trajectoires. Les tours de table ont gagné en qualité de syndication. Les startups ont réduit leur dépendance à un seul marché. Cette diversification a amorti les cycles et favorisé une exécution patiente. Les moments de tension ont été mieux gérés grâce à des bilans plus solides.

La dimension Tech4Good s’est incarnée dans des produits utiles. Santé, éducation, climat, mobilité : plusieurs sociétés issues de la galaxie FDDay ont aligné croissance et bénéfices sociaux. Leur approche a reposé sur des preuves d’usage, des modèles économiques soutenables et des partenariats crédibles. Les grands groupes comme Orange ou Capgemini ont servi de tremplins, en apportant des terrains d’expérimentation et des premiers volumes.

  • Emploi : hausse des effectifs qualifiés et structuration des filières métier.
  • International : débuts plus rapides sur 2‑3 pays cibles, grâce aux connexions FDDay.
  • Gouvernance : montée en maturité sur la conformité, l’ESG et la sécurité.

Sur un plan narratif, le FDDay 2018 a offert un cadre aux porteurs de projets. Les fondateurs y ont trouvé des repères techniques et culturels. Les investisseurs ont identifié des signaux de discipline opérationnelle. Les médias ont capté un récit lisible, sans surenchère. Cette convergence a consolidé l’image d’une La French Tech ambitieuse, crédible et utile.

Pour prolonger cette dynamique, les replays et analyses publiés après l’événement ont servi de référence. Ils ont permis de revisiter les messages, puis d’ajuster les plans. Un temps long s’est ainsi installé entre la scène et la feuille de route.

En synthèse opérationnelle :

  • Mesurer avant d’élargir : valider l’usage, puis étendre par étapes nettes.
  • Industrialiser le POC : écrire le passage en run dès le kickoff.
  • Documenter l’impact : KPI simples, revus tous les trimestres.

Ces enseignements forment encore un socle pour les équipes qui veulent croître avec méthode et responsabilité.

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Du signal faible au standard de marché

Ce qui relevait du signal faible en 2018 est devenu standard. Les métriques d’usage priment. La transparence salariale progresse. Les architectures cloud s’optimisent pour la sobriété. Les boards demandent des preuves d’impact. Ce mouvement ne freine pas l’ambition. Il la canalise. Les équipes y gagnent en clarté et en vitesse.

  • Gouvernance : comités ESG utiles, pas bureaucratiques.
  • Produit : IA responsable par design, privacy by default.
  • Go‑to‑market : éthique de la donnée intégrée au pitch.

Dans ce cadre, l’esprit FDDay continue d’inspirer des trajectoires sobres et solides.

Logistique, ambiance et coulisses du FDday 2018

Le parcours visiteur a été pensé pour éviter les frictions. L’événement a ouvert ses portes en début d’après‑midi et s’est prolongé jusqu’à minuit. Le timing a encouragé la participation des dirigeants pris par leurs agendas matinaux. L’arrivée au 53 Avenue des Terroirs de France, 75012 Paris se faisait sans difficulté. La signalétique guidait rapidement vers les scènes ou les espaces de rendez‑vous. Cette fluidité valait aussi pour l’accès presse, la restauration et les zones de démo.

Les organisateurs ont misé sur la simplicité. Peu de files, beaucoup de points de contact, et des équipes visibles. Les participants ont ainsi consacré l’essentiel de leur temps à l’utile. Les interactions se sont enchaînées, du premier café aux derniers échanges de soirée. La densité s’est maintenue sans fatigue excessive. Ce dosage a soutenu la qualité des conversations et la concentration des décideurs.

L’ambiance s’est prolongée lors de la StarTeuf. Ce moment festif a tenu son rôle : offrir un espace de respiration et de consolidation des contacts. Le concert des Naive New Beaters a rassemblé un public hétérogène, dans un esprit bon enfant. Les discussions ont continué autour de partenariats, d’emplois et d’alliances produit. Des connexions fragiles à 16 h sont devenues robustes à 23 h. La musique, ici, a servi l’économie de la confiance.

  • Horaires : 13 h – 00 h, pour un maximum d’interactions utiles.
  • Accès : métro et bus proches, trajets simples jusqu’à Bercy.
  • Restauration : format mobile, pour éviter l’immobilisme et garder le rythme.

Les médias spécialisés ont trouvé matière. Des interviews express ont capté l’essentiel, en trois minutes chrono. Des équipes vidéo ont enregistré des extraits diffusés dès la fin de journée. Cette réactivité a prolongé la portée de l’événement. Les fondateurs ont, pour beaucoup, réutilisé ces séquences dans leurs levées ou leurs recrutements. L’alignement entre éditorial et logistique a joué à plein.

Enfin, la sécurité et la conformité ont été discrètes mais présentes. L’accueil a contrôlé badges et flux. Les données d’inscription ont respecté le RGPD. L’événement a donc combiné fluidité et rigueur. Les participants ont évolué dans un cadre professionnel, agréable et clair.

  • Service : équipes identifiables, support réactif, speaker support efficace.
  • Qualité : son, lumière et captation vidéo soignés.
  • Clôture : suivi post‑event facilité par des contacts centralisés.

Cette mécanique bien huilée a renforcé le cœur du FDDay : faire gagner du temps aux meilleures idées, et leur offrir un terrain de jeu à la bonne échelle.

Au‑delà du jour J : résonance et réutilisation

Un bon événement ne s’arrête pas à minuit. Les contenus produits pendant la journée ont connu une seconde vie. Les slides ont circulé, des threads d’analystes ont résumé l’essentiel, et des vidéos ont alimenté des formations internes. Les équipes RH ont utilisé ces ressources pour attirer des talents. Les C‑levels ont, eux, ajusté priorités et budgets à l’aune des signaux entendus. Le FDDay a donc dépassé sa temporalité.

  • Réutilisation : extraits vidéo, posts analytiques, briefs internes.
  • Diffusion : newsletters sectorielles, médias tech, communautés Slack.
  • Effets : décisions accélérées, recrutements mieux ciblés, deals clarifiés.

Ce prolongement prouve qu’un format soigné peut produire des effets réels, bien après la dernière note de musique.

On en dit quoi ?

Le FDday 2018 reste une édition charnière. Le cadrage Tech4Good, l’accès à des investisseurs internationaux et la clarté des espaces de rencontres ont offert un modèle efficace. Les fondateurs ont gagné du temps, les grands comptes ont testé plus vite, et les fonds ont identifié des équipes disciplinées. En miroir, l’écosystème a confirmé sa maturité. La présence de Microsoft, Google, Orange, Crédit Agricole, Capgemini, SNCF et Vente-Privée a montré l’alignement entre innovation et marché. Bref, une journée dense qui a laissé une méthode : viser l’impact, et prouver la valeur.

Où s’est tenu le France Digitale Day 2018 et pourquoi ce lieu comptait-il ?

L’édition 2018 a eu lieu aux Pavillons de Bercy – Musée des Arts Forains, à Paris. Ce décor immersif a stimulé des échanges informels et a fluidifié les rencontres, clés pour transformer des discussions en deals concrets.

Quels investisseurs et grands groupes étaient particulièrement actifs ?

Des fonds comme Accel, Atomico, Balderton, Lakestar, EQT Ventures, Blossom Capital et Viola Ventures ont participé. Côté corporates, Orange, Crédit Agricole, Capgemini, SNCF, Vente-Privée, Microsoft et Google ont animé de nombreux échanges.

Qu’est-ce qui distinguait le FDDay 2018 des autres événements tech ?

Son esprit Tech4Good, ses deux espaces de rencontres (startups/grands groupes et startups/VCs) et ses trois scènes thématiques. L’ensemble a favorisé des rendez-vous utiles et une exécution rapide des idées.

Le baromètre France Digitale x EY 2018 a-t-il eu un impact durable ?

Oui. Il a consolidé des indicateurs de croissance et d’emploi, tout en poussant des pratiques de gouvernance plus mûres. Ces repères ont guidé des décisions jusqu’aux années suivantes.

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