Le Girls Camp de Becomtech à Paris et à Lyon en 2018 a marqué un moment décisif pour la formation des adolescentes au numérique. Cette édition a consolidé une pédagogie mêlant code, culture digitale et prise de parole, tout en plaçant l’égalité femmes-hommes au cœur du dispositif. Dans la capitale, la cérémonie à la Mairie du 20e a célébré quatre semaines intenses d’apprentissage et de création. À Lyon, l’événement “save the date” a réuni la communauté dans les locaux de l’ESCEN, dans un esprit résolument ouvert et collaboratif. Au fil des années, ces rendez-vous ont fait émerger des Ambassadrices capables de porter des messages clairs, concrets et inspirants.
Ce rendez-vous a aussi ancré un réseau solide de partenaires. Des écoles comme Epitech et des entreprises comme Microsoft France ont soutenu la montée en compétence des participantes. Des acteurs de l’écosystème, tels que Social Builder, Femmes@Numérique, Girls in Tech, Simplon et WonderLeon, ont multiplié les passerelles. De plus, la dynamique a rejoint celle d’initiatives internationales comme Girls Who Code. Aujourd’hui, cette expérience demeure une référence utile pour comprendre l’impact des programmes estivaux JUMP IN TECH, pilotés par Becomtech, sur l’orientation, l’employabilité et la confiance en soi. Les lignes qui suivent reviennent sur les faits, les méthodes et les héritages concrets de 2018.
- Dates et lieux clés : Paris (Mairie du 20e) et Lyon (ESCEN Confluence), été 2018.
- Programme : JUMP IN TECH, issu de WIFIlles, dédié aux filles de 14 à 17 ans.
- Objectif : réduire le gender gap dans le numérique par la pratique et le mentorat.
- Résultats : compétences techniques, soft skills, réseau pro, Ambassadrices.
- Partenaires cités : Microsoft France, Epitech, Simplon, Social Builder, Femmes@Numérique, Girls in Tech, WonderLeon, L’Oréal Fondation.
Save the date Becomtech Girls Camp Paris et Lyon 2018 : contexte, enjeux et héritage
Le Girls Camp 2018 s’inscrit dans l’évolution stratégique de Becomtech. Au printemps 2018, le programme WIFIlles devient JUMP IN TECH, confirmant l’ambition d’agir sur les stéréotypes de genre dans l’informatique. Cette transition s’est accompagnée d’un cadrage clair : un cursus gratuit, intensif et joyeux, dédié aux adolescentes. L’objectif reste simple et exigeant. Ouvrir le champ des possibles, en transmettant des compétences techniques et en outillant la confiance.
À Paris, la promotion a travaillé quatre semaines, puis a clôturé le cycle par une cérémonie à la Mairie du 20e. Le 2 août, les participantes ont présenté leurs réalisations sur scène, avec une scénographie soignée. À Lyon, la communauté s’est retrouvée le 5 juillet à 18h, dans les locaux de l’ESCEN, 4 rue Paul Montrochet, Bâtiment C, 69002. Ce format “save the date” a permis aux proches, aux partenaires et aux curieux d’échanger avec les futures Ambassadrices. Ces deux moments ont ancré un même message : la technique est accessible, la scène aussi.
Pourquoi ces événements ont compté
Ces rendez-vous ont répondu à plusieurs enjeux. D’abord, ils ont fluidifié l’accès à la culture numérique pour des collégiennes et lycéennes. Ensuite, ils ont mis en lumière des rôles modèles féminins. Enfin, ils ont renforcé les passerelles éducation-emploi, en mobilisant entreprises et écoles. Par ce dispositif, l’association a relié l’apprentissage au sens, et l’engagement à la visibilité.
Le contexte territorial a aussi pesé. L’Île-de-France, notamment Paris (75) et le Val-de-Marne (94), accueille un vivier d’acteurs publics et privés. Les remerciements adressés à des élues et élus parisiens témoignent de ce soutien institutionnel. À Lyon, la dynamique tech s’appuie sur des communautés comme WonderLeon et sur un maillage entrepreneurial actif. Cette combinaison a amplifié la portée du Girls Camp.
- Enjeux éducatifs : casser l’autocensure, initier au code, valoriser la créativité.
- Enjeux économiques : préparer les compétences pour les métiers en tension.
- Enjeux sociétaux : promouvoir l’égalité et la diversité dans la tech.
- Enjeux territoriaux : relier institutions, écoles et entreprises locales.
- Enjeux de communication : montrer des projets finis et des visages inspirants.
Un fil conducteur humain
Pour éclairer l’impact, imaginons Amel, 15 ans, scolarisée à Choisy-le-Roi. Elle aime les jeux vidéo mais doute de sa place en informatique. Au Girls Camp, elle découvre la logique des algorithmes et réalise un site en équipe. Elle apprend à pitcher devant un public. Elle rencontre des professionnelles venues de Microsoft France ou passées par Epitech. En fin de parcours, elle repart avec des repères précis. Et surtout, elle se projette.
Ce récit n’a rien d’exceptionnel. Plusieurs participantes relatent une évolution comparable. Leur voix gagne en assurance. Leurs ambitions s’élargissent. Le Girls Camp sert alors de tremplin, soutenu par des partenaires et des mentors. La scène devient un lieu d’expression, pas de stress.
- Résultats typiques : assurance à l’oral, autonomie, curiosité technique.
- Appuis clés : mentors, marraines, intervenants d’écoles et d’entreprises.
- Rituels : démonstration publique, feedbacks, intégration à la communauté.
Au croisement des apprentissages et de l’événementiel, 2018 reste une édition repère. La force du format tient à l’alliance entre pratique, récit et collectif.
La suite explore la pédagogie concrète qui a rendu ces résultats possibles et reproductibles.
Programme JUMP IN TECH : ateliers, méthodes et compétences révélées au Girls Camp 2018
Le curriculum JUMP IN TECH repose sur une progression claire. Les premières journées ouvrent sur la culture numérique, l’architecture d’Internet et les notions de base en code. Viennent ensuite des ateliers pratiques, orientés projets. Enfin, une préparation scénique accompagne la restitution publique. Cette articulation renforce l’engagement et la mémorisation.
La philosophie pédagogique privilégie le “learning by doing”. Les participantes apprennent en fabriquant. Des règles simples guident l’avancée. Une équipe, un livrable, un récit. Des mentors accompagnent sans faire à la place. Les erreurs sont sources d’itérations, jamais d’exclusion.
Contenus phares et outils concrets
Les contenus alternent algorithmes, initiation au web et découvertes métiers. Dans certaines promotions, des modules d’initiation au hardware ou à la cybersécurité viennent compléter l’ensemble. L’enjeu reste d’offrir une vision large. Cela permet d’éviter l’écueil d’une initiation trop étroite.
Les outils choisis sont accessibles et documentés. Des environnements de développement simples, des plateformes no-code ou low-code, et des kits pour découvrir les cartes électroniques peuvent être mobilisés. Après coup, les participantes repartent avec des ressources ouvertes pour continuer.
- Blocs d’apprentissage : bases du web, algorithmique, UX, data, cybersécurité.
- Pratiques : pair programming, revues de code, design sprint, pitch.
- Ressources : dépôts partagés, guides pas à pas, glossaires illustrés.
- Rencontres : témoignages de développeuses, data analysts, product managers.
Soft skills et préparation scénique
La restitution finale ne valorise pas que la technique. Elle met aussi en scène des compétences humaines. La prise de parole, l’écoute active, la synthèse, et la gestion du temps sont entraînées. Les participantes apprennent à cadrer un message en deux minutes, puis à répondre aux questions. Elles travaillent leur posture et leur regard.
La dimension récit est centrale. Chaque équipe construit un storytelling autour de son prototype. Pourquoi ce projet ? Pour qui ? Quelles étapes ? Ce fil narratif donne du sens. Il permet aussi de fédérer l’équipe. Sur scène, les rôles sont répartis : intro, démo, conclusions.
- Compétences transversales : communication, collaboration, feedback.
- Techniques d’expression : pitch deck, storytelling, gestion du trac.
- Évaluation : démonstration publique et retours des partenaires.
Pour prolonger l’apprentissage, des passerelles s’ouvrent vers des acteurs comme Simplon ou Epitech. Des initiatives de Girls in Tech et de Femmes@Numérique alimentent également les rencontres. Cette circulation d’opportunités compte. Elle facilite l’entrée dans un réseau durable.
Des ressources audiovisuelles accessibles en ligne permettent de revisiter ces méthodes, inspirant les nouvelles promotions.
Au-delà des contenus, les lieux et les alliances locales ont joué un rôle déterminant, notamment à Paris et dans le Val-de-Marne.
Paris et Val-de-Marne : lieux, partenaires, personnes clés et moments forts du Girls Camp 2018
La région parisienne a fourni un terrain fertile. La Mairie du 20e a accueilli la cérémonie de clôture, soulignant l’appui d’élues et élus engagés pour l’égalité. Cette visibilité institutionnelle pèse. Elle légitime le travail intensif mené pendant le mois de formation. Elle rend les réussites tangibles aux yeux des familles et des partenaires.
Le Val-de-Marne a aussi porté la dynamique. Des établissements comme l’UPEC ou l’ESIEA ont accueilli des temps de formation. Ces lieux facilitent les rencontres avec des étudiantes et des enseignants. Les échanges dédramatisent la poursuite d’études scientifiques. Les lycéennes visualisent des parcours possibles.
Un écosystème engagé
À Paris, des responsables publiques ont été remerciées pour leur soutien. Ce geste reflète une coopération active. En parallèle, des entreprises et des écoles ont multiplié les interventions. Des professionnelles de Microsoft France ont partagé des trajectoires concrètes. Des formatrices passées par Epitech ont levé des freins techniques en quelques ateliers. La combinaison d’acteurs publics et privés a donné du relief au programme.
Les liens avec d’autres collectifs ont aussi compté. Social Builder a apporté une expertise en insertion et mentorat. Femmes@Numérique a renforcé la visibilité nationale. Des réseaux internationaux comme Girls Who Code ont inspiré des pratiques pédagogiques inclusives. À l’échelle locale, la communauté a consolidé un réflexe : s’entraider.
- Lieux cités : Mairie du 20e, UPEC, ESIEA, espaces partenaires à Paris.
- Soutiens : Microsoft France, Epitech, Social Builder, Femmes@Numérique.
- Inspirations : Girls Who Code, Girls in Tech, initiatives de mentorat.
Des histoires et des preuves
La promotion parisienne a livré des démonstrations scénarisées. Les projets mêlaient services utiles et démarches créatives. Des équipes ont, par exemple, imaginé un site d’entraide locale. D’autres ont conçu un prototype pour sensibiliser aux enjeux de cybersécurité. Le public, composé de proches, de partenaires et d’Ambassadrices, a posé des questions précises. Les réponses ont montré un vrai niveau d’appropriation.
Les participantes ont souligné trois résultats concrets. Une aisance accrue à l’oral. La découverte de métiers ignorés jusque-là. L’intégration à la communauté des Ambassadrices Becomtech. Cet ancrage rend les effets durables. Il ouvre des opportunités de stage et d’orientation, parfois même des bourses auprès de fondations engagées comme L’Oréal Fondation.
- Effets observés : confiance, réseau, projets pérennes.
- Livrables : sites, maquettes interactives, contenus de sensibilisation.
- Communauté : Ambassadrices, mentors, partenaires actifs.
Ces moments forts éclairent la diversité des trajectoires possibles et donnent des repères pour les éditions suivantes.
La dynamique lyonnaise a, elle aussi, affirmé sa personnalité et son ancrage, avec un esprit d’ouverture très marqué vers l’écosystème local.
Lyon 2018 : ESCEN Confluence, communauté apprenante et résonance nationale
À Lyon, le Girls Camp a pris la forme d’un rendez-vous à l’ESCEN Confluence. Le 5 juillet 2018 à 18h, les futures Ambassadrices ont invité le public à découvrir leurs projets. Cette scène a mis en lumière la vitalité de la communauté lyonnaise. Le choix du lieu, au cœur d’un quartier innovant, n’a rien d’anodin. Il signale la rencontre entre éducation, entreprises et culture numérique.
Le format a privilégié les échanges. Des professionnelles ont répondu aux questions des familles. Les équipes ont partagé leurs apprentissages et leurs doutes. Des partenaires ont proposé des pistes pour poursuivre, de l’atelier au stage. Le public a perçu une progression nette des participantes, tant sur le plan technique que sur l’aisance orale.
Un maillage d’acteurs très actif
La scène lyonnaise s’appuie sur des initiatives complémentaires. Des écoles et des fablabs locaux connectent la théorie à la pratique. Des entreprises accueillent des visites. Des réseaux de talents, comme WonderLeon, facilitent des rencontres inspirantes. La force de ce maillage découle de sa diversité. Chacune et chacun y trouve une porte d’entrée.
Le Girls Camp s’inscrit dans cet écosystème. Des liens avec Simplon et Epitech Lyon ouvrent des suites possibles. Girls in Tech propose des formats de mentorat ciblés. Des actions menées par Social Builder complètent l’accompagnement vers l’emploi. À l’échelle nationale, Femmes@Numérique amplifie la visibilité des parcours.
- Alliances locales : écoles, entreprises, communautés tech, fablabs.
- Pistes post-programme : clubs, hackathons, stages d’observation.
- Réseaux : WonderLeon, Girls in Tech, Femmes@Numérique.
Cas d’usage : de l’idée au pitch
Prenons l’équipe d’Amel, venue de l’exemple précédent, et projetons-la à Lyon. Le groupe conçoit un prototype pour aider les lycéennes à explorer les métiers du numérique. Le service propose un parcours guidé, des fiches métiers et des témoignages. La démo montre un flux simple. Recherche d’intérêt, matching vers des activités locales, puis contact.
Sur scène, l’équipe raconte son cheminement. Les premiers tests n’étaient pas concluants. Après des feedbacks, l’interface a été simplifiée. Le pitch final est clair et rythmé. L’audience comprend les choix techniques et l’intention d’usage. La valeur du Girls Camp apparaît dans cette maturité acquise en quatre semaines.
- Étapes clés : cadrage du besoin, prototypage, test, itération, pitch.
- Apports : écoute des utilisateurs, rigueur, esprit d’équipe.
- Héritage : confiance, réseau, curiosité durable pour la tech.
La soirée de Lyon a ainsi contribué à diffuser une culture de projet concrète. Elle a aussi montré que l’innovation peut naître d’une salle de classe éphémère, portée par une communauté engagée.
Reste à comprendre comment 2018 a posé des bases solides pour les promotions suivantes et quelles perspectives ont émergé jusqu’à aujourd’hui.
De 2018 à aujourd’hui : Ambassadrices, réseau pro et perspectives pour 2025
Depuis 2018, le dispositif a consolidé une communauté d’Ambassadrices Becomtech. Ces anciennes participantes reviennent souvent comme intervenantes. Elles partagent des retours d’expérience. Elles orientent les nouvelles venues vers des ressources. Ce cycle vertueux est stratégique. Il alimente la transmission horizontale.
Le programme JUMP IN TECH demeure gratuit, ciblé 14-17 ans et organisé sur l’été. Les promotions récentes ont confirmé l’efficacité d’un parcours en présentiel. Les dates communiquées pour l’édition estivale 2025 illustrent la continuité du modèle. Le calendrier permet aux participantes de s’engager sans empiéter sur le temps scolaire. Les retours d’évaluation soulignent des gains durables en confiance et en compétences.
Réseaux, mentors et opportunités
Le réseau des partenaires s’est étoffé. Des passerelles renforcées avec Microsoft France, Epitech ou Simplon proposent des suites cohérentes. Des associations comme Social Builder apportent un accompagnement vers l’emploi. Femmes@Numérique favorise la mise en visibilité des talents. Des fondations, telles que L’Oréal Fondation, soutiennent des projets éducatifs inclusifs. À l’international, Girls Who Code reste une source d’inspiration méthodologique.
Cette architecture d’appuis multiplie les opportunités. Des visites d’entreprises, des hackathons, des journées portes ouvertes s’ajoutent au parcours. Les Ambassadrices interviennent dans des collèges et lycées. Elles partagent des ateliers de sensibilisation. L’effet d’entraînement devient palpable.
- Canaux d’opportunités : mentorat, événements, bourses, stages.
- Relais : Ambassadrices, écoles, entreprises partenaires.
- Rayonnement : local, national et international.
Accès, informations pratiques et ancrage institutionnel
Pour toute question, un contact direct est à privilégier : Dorothée ROCH, [email protected], Directrice et Cofondatrice. L’association est basée au 7 bis rue Riquet, 75019 Paris. La structure est membre du Centre Hubertine Auclert, ce qui souligne l’ancrage dans les politiques d’égalité en Île-de-France. Le public cible reste prioritairement les adolescentes et, plus largement, le grand public lors des événements.
Les champs d’intervention couvrent l’accès à l’emploi, l’égalité professionnelle, la déconstruction des stéréotypes et l’élargissement des choix d’orientation. L’intervention en milieu scolaire renforce l’impact au moment où se prennent les décisions d’orientation. Dans ce cadre, les formats varient : formations, sensibilisation, information. La palette est large.
- Public : filles de 14 à 17 ans, familles, équipes éducatives.
- Modes d’action : ateliers, conférences, visites, démonstrations.
- Thématiques : code, cybersécurité, data, création numérique.
Cette continuité opérationnelle prolonge l’héritage de 2018. Elle prépare la relève et ancre la mixité comme levier d’innovation.
Pour mieux saisir la mise en réseau, il faut regarder comment les partenaires et communautés amplifient l’effet de levier sur plusieurs villes.
Partenariats, communautés et influence : de Paris à Lyon, un effet d’écosystème
Le Girls Camp n’est pas une initiative isolée. Il s’insère dans une constellation d’acteurs qui partagent des objectifs. Les entreprises, les écoles et les associations alignent leurs efforts. En conséquence, les participantes se voient proposer des passerelles concrètes. Ce maillage renforce l’employabilité, dès le lycée.
À Paris, l’écosystème mobilise des institutions et des réseaux structurants. À Lyon, la communauté s’appuie sur la vitalité de la French Tech locale. Au-delà, des partenaires nationaux créent des ponts. Les initiatives convergent vers une même finalité : faire de la tech un espace plus mixte, plus accessible et plus créatif.
Cartographie des acteurs et rôles
Chaque acteur joue un rôle précis. Les écoles comme Epitech offrent des perspectives d’études. Les associations telles que Social Builder soutiennent la montée en compétence et l’insertion. Des collectifs comme Girls in Tech dynamisent l’entraide et le mentorat. Femmes@Numérique agit comme catalyseur auprès des institutions et médias. Des entreprises, à l’image de Microsoft France, mettent à disposition des intervenants et des ressources. Des fondations, y compris L’Oréal Fondation, appuient des projets d’égalité.
La scène lyonnaise s’anime avec WonderLeon. Ce réseau attire et retient des talents. Il connecte les promotions locales au reste du pays. Sur le plan international, Girls Who Code propose des bonnes pratiques utiles. Les équipes pédagogiques ajustent et localisent ces outils pour le public français. L’adaptation est essentielle.
- Écoles : Epitech, écoles locales partenaires, universités franciliennes.
- Associations : Social Builder, Girls in Tech, Femmes@Numérique.
- Entreprises et fondations : Microsoft France, L’Oréal Fondation.
- Communautés : WonderLeon, réseaux d’Ambassadrices Becomtech.
Effets d’entraînement et indicateurs
Les effets se lisent sur plusieurs axes. Les participantes poursuivent vers des filières scientifiques plus sereinement. Les familles reçoivent des informations fiables. Les équipes éducatives gagnent des ressources. Les partenaires recrutent des stagiaires motivées. La boucle se nourrit elle-même.
Les indicateurs qualitatifs sont nombreux. On observe une meilleure assurance en public, une curiosité accrue pour les métiers techniques et une capacité d’autoformation. Quant aux métriques quantitatives, elles varient selon les promotions et les villes. Toutefois, la tendance montre un ancrage durable, avec des cohortes actives plusieurs années après le passage au Girls Camp. Des témoignages publiés sur les réseaux renforcent cette lecture.
- Effets : orientation éclairée, réseau actif, insertion progressive.
- Indices : retours de mentors, projets suivis, invitations à intervenir.
- Moteurs : visibilité, réussite collective, soutien institutionnel.
Au total, l’écosystème fait plus que suivre. Il agit comme amplificateur. Le Girls Camp 2018 a été l’un de ses points d’inflexion, tant à Paris qu’à Lyon.
Qui peut participer au programme JUMP IN TECH lié au Girls Camp ?
Le programme s’adresse aux adolescentes scolarisées âgées de 14 à 17 ans. Il est gratuit et se déroule pendant les vacances d’été, en présentiel, avec une restitution publique qui valorise les projets réalisés.
Où se déroulent les événements et formations ?
Historiquement, des sessions ont eu lieu à Paris, dans le Val-de-Marne et à Lyon, ainsi que dans d’autres villes. À Paris, des lieux comme la Mairie du 20e, l’UPEC et l’ESIEA ont accueilli des temps forts. À Lyon, l’ESCEN Confluence a été un site notable en 2018.
Comment s’inscrire ou obtenir des informations précises ?
Le contact à privilégier est Dorothée ROCH, Directrice et Cofondatrice : [email protected]. Des informations sont aussi publiées sur les canaux officiels de Becomtech et auprès des partenaires.
Quels sont les bénéfices concrets pour les participantes ?
Elles acquièrent des compétences techniques de base, développent des soft skills (prise de parole, collaboration), et rejoignent un réseau d’Ambassadrices. Elles rencontrent des professionnelles et découvrent des filières accessibles.
Quels acteurs soutiennent l’initiative ?
Des écoles (Epitech), des entreprises (Microsoft France), des associations (Social Builder, Girls in Tech), des réseaux nationaux (Femmes@Numérique) et des fondations (L’Oréal Fondation) apportent expertise, mentors et ressources.
On en dit quoi ?
Le Girls Camp 2018 de Becomtech à Paris et Lyon a posé des jalons solides. Les cérémonies ont rendu visibles des compétences réelles et des récits inspirants. En croisant apprentissage pratique, mentorat et scène, le dispositif a prouvé son efficacité. Aujourd’hui, la continuité du programme JUMP IN TECH et le maillage de partenaires garantissent un effet durable. C’est une base fiable pour renforcer la mixité dans le numérique et ouvrir des trajectoires concrètes aux jeunes filles motivées.

Journaliste spécialisée dans les nouvelles technologies, passionnée de gadgets et d’innovations. À 39 ans, je décrypte chaque jour l’impact du numérique sur notre quotidien et partage mes découvertes auprès d’un large public averti ou curieux.