découvrez l'événement fubiz talks 2018 organisé par fubiztalks et tetroagency : une rencontre unique avec des créatifs et artistes internationaux, des conférences inspirantes et des échanges autour de l'innovation et de la créativité.

Event Fubiztalks Fubiz Talks 2018 par fubiztalks tetroagency

À Paris, une rentrée créative a pris corps dans l’écrin de la Salle Pleyel. Le 4 octobre 2018, Fubiz et Tetro ont réuni un parterre de curieux, d’étudiants, de directeurs artistiques et de marques en quête d’inspiration. La journée a alterné conférences éclairantes, masterclass appliquées et workshops immersifs. Les interventions ont mis en relation l’architecture, la photographie, le design, le graphisme et la musique. Les coulisses des démarches ont été dévoilées sans jargon inutile, avec des cas concrets et des démonstrations en direct. Le cadre, 252 rue du Faubourg Saint-Honoré, a joué le rôle de scène et de salon, favorisant des rencontres fécondes.

Le rendez-vous a confirmé la pertinence d’un format court mais à fort impact, avec des talks rythmés et des échanges ouverts. Des noms attendus comme Studio KO ou Seb Lester ont partagé la scène avec des explorateurs d’images tels que Brodbeck & de Barbuat ou Rémi Chapeaublanc. Les organisateurs ont rappelé la mission: connecter talents établis et pépites émergentes, tout en créant des passerelles avec l’industrie. Air France a accompagné l’événement, signe d’un intérêt croissant pour la créativité française exportable. En filigrane, une question a guidé la journée: comment générer du sens dans un monde saturé d’images? Les réponses ont pris la forme d’histoires, de gestes techniques et de visions d’avenir.

Fubiz Talks 2018 à Salle Pleyel : formats, publics et méthode Tetro pour une journée intense

Fubiz Talks 2018 a capitalisé sur un triptyque clair: conférences, masterclass, workshops. Ce rythme a stimulé autant qu’il a rassuré. Les participants ont pu écouter, pratiquer, puis réseauter. L’approche a rappelé la signature de Tetro: STORY, IMAGE, SPACE, EVENT. Chaque pivot a été pensé pour créer une narration globale.

Le public a mêlé profils créatifs et décideurs. Des agences de communication cherchaient des tendances. Des étudiants souhaitaient des repères concrets. Des marques, comme Adobe, Google, Nikon, BMW, Heineken, Evian ou Vice, observaient les signaux faibles et les formats activables. Ce croisement a nourri des échanges exigeants et pragmatiques.

Un programme millimétré pour catalyser l’inspiration

La matinée a posé les bases: visions, trajectoires, intentions. L’après-midi a plongé dans l’opérationnel: processus, outils, retours d’expérience. Cette alternance a évité la fatigue cognitive. Elle a aussi facilité la prise de notes utile. Une animatrice a veillé aux transitions et au timing.

Dans les couloirs, les visiteurs ont croisé des prototypes, des portfolios et des books. La Salle Pleyel a servi d’amplificateur scénographique. L’acoustique et la lumière ont soutenu les propos et les démonstrations. L’ensemble a donné un caractère presque cinématographique aux talks.

  • Conférences inspirantes le matin, centrées sur la vision et les influences.
  • Masterclass techniques en début d’après-midi, orientées résultats.
  • Workshops collaboratifs en fin de journée, consacrés à l’expérimentation.
  • Networking guidé entre les sessions avec espaces de rencontres.
  • Dispositifs médias Fubiz pour prolonger l’expérience en ligne.

Un fil narratif pour relier disciplines et métiers

Pour illustrer ce maillage, imaginons Camille, directrice artistique en studio. Elle arrive avec un brief flou sur une campagne mêlant imprimé et vidéo. Dès la première heure, elle identifie trois pistes: scénographie épurée, typographie expressive et photographie en lumière naturelle. Ensuite, elle teste des gestes techniques en masterclass et confronte ses idées en workshop.

Le soir, son plan d’action est structuré. Elle retient une grille de production en cinq étapes, un système de références et des contacts qualifiés. Cette trajectoire témoigne de la valeur du format Fubiz Talks. Le dispositif convertit l’inspiration en méthode.

  1. Écouter des cas concrets et noter les contraintes réelles.
  2. Prototyper en 30 minutes un concept transmissible en équipe.
  3. Collecter trois références actionnables, pas dix.
  4. Identifier un partenaire technique crédible, comme un studio son.
  5. Savoir pitcher le lendemain au client, avec une maquette simple.

La journée n’a pas prétendu tout couvrir. Elle a balisé un chemin utile. Ce cadrage a posé la scène pour les voix des intervenants.

Intervenants Fubiz Talks 2018 : portraits, œuvres et convergences disciplinaires

Le line-up 2018 a assumé l’éclectisme. Il a réuni des architectes, des typographes, des photographes et des artistes visuels. Cette diversité a constitué un moteur créatif. Les intervenants ont présenté des œuvres emblématiques et des processus parfois déroutants.

Studio KO, composé de Karl Fournier et Olivier Marty, a raconté le musée Yves Saint Laurent de Marrakech. Le duo a décrit la matérialité du lieu, la relation au Jardin Majorelle et la gestion des flux. La conversation a révélé une obsession du détail. Le duo a détaillé les choix de matières, la brique, l’ombre et le sable.

Calligraphie et viralité, le cas Seb Lester

Seb Lester a montré comment une pratique ancienne peut conquérir le numérique. Ses vidéos de lettering hypnotiques circulent à grande vitesse. Il a expliqué sa routine, la discipline du trait et la chorégraphie du poignet. La salle a suivi les gestes, presque silencieuse. La concentration collective a été palpable.

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Il a aussi évoqué les attentes contradictoires des plateformes. L’algorithme exige la vitesse. L’art réclame le temps long. Pour tenir cette tension, il prépare deux formats: démonstrations courtes pour les réseaux et projets de fond pour les galeries. Cet équilibre a inspiré de nombreux créateurs présents.

  • Gestion du temps créatif face aux formats courts.
  • Hygiène du geste pour garantir la répétabilité.
  • Éclairage et set-up caméra simples mais optimisés.
  • Montage minimaliste pour ne pas dénaturer l’acte.
  • Distribution séquencée entre plateformes.

Le temps, l’espace et l’image: Brodbeck & de Barbuat

Brodbeck & de Barbuat ont plongé dans l’illusion photographique. Leur travail interroge la perception et le silence. Ils manipulent la durée d’exposition, le mouvement, la suspension. Ils cherchent une respiration dans l’image. Ce parti pris propose une résistance douce à la frénésie visuelle.

Ils ont partagé un protocole de tournage et d’installation. Les participants ont noté la précision du cadre, la patience, et la mise en scène. L’intention guide la technique, non l’inverse. Cette hiérarchie a fait écho à des discussions stratégiques, côté agences.

Mathias Kiss et la déconstruction d’un héritage

À la croisée de l’art et du design, Mathias Kiss revisite les codes. Il détourne l’ornement classique. Il joue avec les lignes, les courbes et la lumière. Il rompt les habitudes et crée des frictions élégantes. Sa démarche propose une conversation avec l’histoire.

Son intervention a donné des clés pour créer des ruptures lisibles. Il a parlé de contraintes spatiales, de matériaux détournés et de volumes paradoxaux. Son propos a séduit des architectes d’intérieur et des scénographes en quête de formes nouvelles.

  • Récit de projet: héritage, rupture, synthèse.
  • Matériaux et illusions optiques, au service d’un propos.
  • Rapport au geste artisanal, ancré dans le contemporain.
  • Dialogue avec le lieu, sans pastiche.
  • Clarté des intentions pour convaincre un client.

Itinérances et portraits: Rémi Chapeaublanc

Rémi Chapeaublanc a raconté la route et l’attente. Il parcourt le monde à moto et photographie des communautés éloignées. Il a expliqué sa méthode: respect, temps long, discrétion. Les portraits naissent d’une relation sincère. Le cadrage découle de la rencontre, pas l’inverse.

Pour la production, il a décrit une chaîne simple, robuste et mobile. Un boîtier fiable, des batteries, une sauvegarde redondante et une rigueur documentaire. Des marques comme Nikon offrent des repères techniques. Cependant, la finalité reste humaine. L’équipement ne remplace pas l’écoute.

  1. Préparation éthique et logistique précise.
  2. Repérages souples, adaptés aux aléas.
  3. Consentement clair et restitution soignée.
  4. Archivage méticuleux des métadonnées.
  5. Publication réfléchie, loin du sensationnalisme.

Cette mosaïque d’approches a installé un socle de méthodes et d’envies. Elle a ouvert le chapitre des coulisses.

Coulisses des démarches créatives : outils, rituels et transmission à Fubiz Talks

La valeur d’un talk se mesure à ce que l’on peut appliquer dès le lendemain. Ici, les intervenants ont livré leurs rituels. Ils ont partagé leurs bibliothèques visuelles, leurs méthodes d’archivage et leurs systèmes de contraintes. La journée a finalement ressemblé à un laboratoire ouvert.

Plusieurs séquences ont détaillé des frameworks d’idéation. Certains favorisent la contrainte matérielle. D’autres privilégient des contraintes narratives. Tous convergent vers un objectif: faire émerger un parti clair. Le minimalisme des moyens a souvent produit des résultats puissants.

De l’idée au prototype: pipeline et arbitrages

Le passage de l’intuition à la forme passe par des arbitrages rapides. Un bon prototype répond à une question précise. Il ne résout pas tout. Le conseil le plus utile est resté simple: maquetter, tester, jeter, recommencer. Ce cycle court alimente l’ambition longue.

Des outils ont été cités sans dogmatisme. Adobe reste un pilier pour l’édition, l’image et la vidéo. Google sert de colonne vertébrale documentaire et collaborative. Des solutions de versioning aident à tracer les itérations. Chaque équipe compose son écosystème selon ses forces.

  • Temps de divergence limité pour éviter l’errance.
  • Checkpoints clairs avec objectifs mesurables.
  • Prototypes présentables en 5 minutes maximum.
  • Critiques cadrées, sans jugement de personnes.
  • Archivage visuel pour capitaliser sur les tests.

Partenariats et culture de marque

Les échanges ont montré comment les collaborations se tissent. Des marques comme BMW, Heineken, Evian ou Vice cherchent des récits ancrés dans des communautés. Les studios savent traduire ce besoin en expériences. La clé tient à une écoute stratégique et à des preuves créatives rapides.

À Fubiz Talks, cette zone de friction a été assumée. Les artistes ont présenté des cas réussis et des échecs utiles. Les marques ont noté les conditions d’un brief fécond: objectifs clairs, périmètre précis et ouverture aux aléas. Les projets gagnants ont su rester audacieux sans perdre la lisibilité.

  1. Formuler un “pourquoi” partagé entre marque et créateur.
  2. Définir des jalons non négociables et des zones de jeu.
  3. Aligner les indicateurs avec la nature du projet.
  4. Protéger un temps d’exploration sans reporting.
  5. Prévoir une sortie élégante si l’idée ne tient pas.

Transmission et documentation

La documentation s’impose comme un outil de transmission. Elle orchestre la continuité entre équipes et métiers. Les intervenants ont conseillé des dossiers vivants, mis à jour, avec sources et annexes. Ce soin simplifie la vie des partenaires, des clients et des futurs collaborateurs.

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Les masterclass ont aussi valorisé la pédagogie. Un geste clair, filmé correctement, forme mieux qu’un long discours. La Salle Pleyel s’est muée en studio éphémère. Des vidéos de démonstration ont ainsi servi d’aide-mémoire à de nombreux participants.

  • Guides de style accessibles et illustrés.
  • Playbooks courts, spécifiques à un métier.
  • Bibliothèque de prototypes annotés.
  • Captations vidéo chapitrées pour l’onboarding.
  • Glossaire commun pour réduire les malentendus.

Ces coulisses ont préparé le terrain pour évaluer l’impact de l’événement, au-delà de la journée.

Impact et héritage de Fubiz Talks 2018 dans l’écosystème créatif français et international

Avec le recul, l’édition 2018 a marqué un tournant. Elle a conforté la place de Fubiz et Tetro dans l’animation de la scène créative. Le format a prouvé sa capacité à fédérer, à inspirer et à accélérer des trajectoires. Le bouche-à-oreille a ensuite prolongé l’effet réseau.

Plusieurs intervenants ont vu leurs projets gagner en visibilité. Des collaborations ont émergé dans les semaines suivantes. Des agences ont réorienté des campagnes après la journée. Ces retours ont donné une dimension très concrète au slogan “le rendez-vous de la créativité”.

Transmission d’une culture de l’exigence

Les talks ont valorisé le soin et la cohérence. La mise en scène du musée YSL par Studio KO a illustré l’importance du contexte. Les calligraphies de Seb Lester ont rappelé la puissance d’un artisanat ancré. Les œuvres de Brodbeck & de Barbuat ont réhabilité la lenteur comme procédé. Enfin, les portraits de Rémi Chapeaublanc ont replacé l’éthique au centre.

Cette somme a produit un référentiel partagé. Les écoles, les studios et les marques l’ont repris. Il a renforcé une culture du détail, du récit et de la preuve. Les échanges publics ont ensuite nourri des programmes pédagogiques et des résidences.

  • Référentiel commun sur la qualité et la lisibilité.
  • Émergence de collaborations croisées post-événement.
  • Valorisation d’une éthique de production responsable.
  • Renforcement du lien entre médias, agences et écoles.
  • Ouverture internationale grâce aux relais de Fubiz.

Un ancrage parisien, une résonance globale

La Salle Pleyel a offert un symbole fort. Paris reste une capitale créative. Cependant, la portée a dépassé la ville. Les contenus publiés par Fubiz ont circulé largement. Des professionnels hors de France ont commenté et relayé. Ces signaux ont confirmé le potentiel export de la scène locale.

L’écosystème a également intégré des partenaires de mobilité et de diffusion. Air France a accompagné l’édition. D’autres acteurs médias ont observé la dynamique. Cette constellation a facilité des échanges transnationaux, utiles aux carrières et aux projets.

Regards en 2025: continuités et mutations

La période récente a vu l’essor des outils d’assistance créative. Pourtant, l’exigence de sens demeure. Les méthodes détaillées à Fubiz Talks 2018 restent valables. Elles aident à cadrer les algorithmes, pas à s’y soumettre. Les studios composent désormais avec un écosystème plus complexe.

Dans ce contexte, la valeur d’un événement comme Fubiz Talks réside dans la rencontre. Les idées se testent mieux dans la conversation et la démonstration. L’héritage 2018 rappelle que la créativité se nourrit de contraintes, de gestes et de récits. Ce socle continue d’armer les acteurs du secteur.

  1. Renforcer la culture de projet, au-delà des outils.
  2. Préserver l’éthique de captation et de diffusion.
  3. Développer des collaborations internationales ciblées.
  4. Investir dans la documentation et la pédagogie.
  5. Mesurer l’impact autrement que par la seule portée.

La boucle est bouclée: un événement, quand il est bien conçu, fabrique du temps long.

Mode d’emploi pour tirer le meilleur des Fubiz Talks: préparation, participation, suivi

Un événement vaut par ce que chacun en retire. Pour maximiser l’expérience, une préparation méthodique s’impose. Elle commence deux semaines avant. Elle s’achève une semaine après. Ce cycle court transforme l’inspiration en résultat tangible.

Avant la journée, il faut définir un objectif précis. Par exemple, trouver un directeur photo, valider une piste typographique, ou obtenir trois retours sur un prototype. Ensuite, on planifie les sessions clés et les pauses utiles. Enfin, on prépare un kit léger, sans excès.

Check-list de préparation réaliste

Un sac efficace contient l’essentiel, pas le superflu. Un carnet, un feutre, un smartphone chargé, et un chargeur. Un boîtier photo robuste, type Nikon, si la captation s’impose. Des cartes de visite sobres suffisent. On pense aussi à un dossier PDF prêt à partager.

  • Objectif clair formulé en une phrase.
  • Agenda des talks avec priorités A/B.
  • Kit matériel minimal et fiable.
  • Portfolio condensé en dix visuels.
  • Templates de mail pour le suivi.

Le jour J, on alterne écoute et rencontres. On pose des questions courtes et situées. On prend des notes actionnables. On photographie les slides clés. On se ménage des plages de respiration. Cette hygiène évite la saturation et renforce la mémorisation.

Techniques de networking sans lourdeur

Le réseautage se joue dans la précision et le respect. Il faut préférer une conversation utile à dix échanges superficiels. Une ouverture claire suffit: une référence commune, une question sur un projet vu sur Fubiz, ou un point de méthode. Ensuite, on conclut avec un engagement simple.

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Après l’événement, le suivi transforme l’essai. Un message personnalisé dans les 48 heures maintient le lien. Un rendez-vous court, par visio ou café, suffit pour avancer. Des outils comme Google Drive ou Adobe Acrobat facilitent le partage et la signature. La qualité logistique valorise la qualité créative.

  1. Préparer trois amorces de conversation pertinentes.
  2. Saisir un moment calme pour aborder une personne clé.
  3. Formuler une demande précise, sans pression.
  4. Envoyer un récapitulatif bref et assorti d’une prochaine étape.
  5. Archiver les contacts avec mots-clés utiles.

Cap sur l’implémentation

La semaine suivante, on matérialise. Un prototype, une planche tendance, un test d’écriture, ou un sprint créatif. On sollicite deux retours qualifiés, pas dix. On mesure l’avancée. Ce rythme court installe l’inertie positive. L’élan de Fubiz Talks ne s’évapore pas.

Les marques citées comme BMW, Heineken, Evian ou Vice inspirent des cas d’école. Elles montrent comment relier culture et business. Toutefois, l’essentiel reste le projet à taille humaine. L’impact se construit par étapes. Un livrable bien fini vaut mieux qu’une promesse.

  • Mettre en production une petite brique test.
  • Documenter chaque choix pour faciliter l’arbitrage.
  • Planifier un point d’étape court mais régulier.
  • Évaluer par l’usage, pas seulement par le like.
  • Archiver les échecs pour nourrir la suite.

Avec cette méthode, la journée Fubiz Talks devient un pivot. Elle enclenche un mouvement durable, orienté résultat.

Repères historiques: de 2016 à 2018, une montée en puissance portée par Fubiz et Tetro

Avant 2018, les deux premières éditions ont installé la confiance. Les programmations 2016 et 2017 ont réuni Cédric Klapisch, Jean-Charles de Castelbajac, Rudy Ricciotti, Bettina Rheims, Arnaud Rebotini, Charlotte Le Bon, Mathieu Lehanneur, We Are From LA, Bruno Aveillan, Malika Favre, Tyrsa, H5, Romain Tardy et Théo Gosselin. Ces noms ont montré l’ADN: croiser les disciplines sans hiérarchie.

Ce socle a permis un saut qualitatif. En 2018, les curateurs ont joué l’assemblage fin. Les intervenants ont apporté des visions complémentaires. Les formats ont gagné en précision. Les attentes du public étaient plus élevées. Elles ont trouvé réponse sur scène.

Le rôle des organisateurs, entre média et agence

Fubiz a mobilisé sa communauté. Le média a su raconter, capter et diffuser. Tetro a conçu l’expérience scénique et opérationnelle. La collaboration a assuré cohérence et audace. Le duo a su équilibrer contenu, scénographie et accueil. Le service a soutenu l’ambition.

Par ailleurs, des partenaires ont renforcé la portée. Air France a joué un rôle d’allié naturel. Les relais médias ont amplifié les retombées. La Salle Pleyel a consolidé la dimension symbolique. Le choix du lieu a rassuré le grand public et stimulé les pros.

  • Média prescripteur et producteur de contenus.
  • Agence scénographe et coordinatrice.
  • Partenaires facilitant la mobilité et la diffusion.
  • Lieu prestigieux et techniquement fiable.
  • Communauté active, en ligne et sur place.

Une identité éditoriale claire

Les Fubiz Talks privilégient le concret. Les intervenants racontent ce qui marche et ce qui bloque. Ils partagent la cuisine interne. Ils montrent les hésitations et les rectifications. Ce réalisme alimente la crédibilité et l’envie de tester.

À l’issue de la 3e édition, le format s’impose comme référence. La montée en puissance s’explique par un casting fin, un soin de production et une relation fidèle au public. Les chiffres d’affluence l’attestent, avec près de 1 500 personnes réunies. Le récit collectif a gagné en densité.

  1. Alignement éditorial autour de l’expérience.
  2. Équilibre entre figures connues et découvertes.
  3. Rigueur du tempo et qualité technique.
  4. Relais média efficaces et pérennes.
  5. Capacité à capter l’esprit du temps.

Cette trajectoire explique la reconnaissance durable de l’événement dans le paysage créatif.

On en dit quoi ? Fubiz Talks 2018 a tenu la promesse d’un rendez-vous utile, élégant et stimulant. La complémentarité Fubiz–Tetro a servi une vision exigeante mais hospitalière. Les intervenants ont livré des méthodes, pas des slogans. L’événement a su rapprocher créateurs et marques, sans sacrifier la singularité. En bref, un format qui continue d’inspirer les pratiques, avec une boussole simple: faire moins, mais mieux, et le partager clairement.

Où et quand s’est tenu Fubiz Talks 2018 ?

L’édition s’est tenue le jeudi 4 octobre 2018 à la Salle Pleyel, 252 rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris. La journée a enchaîné conférences, masterclass et workshops.

Qui étaient les intervenants marquants ?

Le line-up a réuni Studio KO, Seb Lester, Brodbeck & de Barbuat, Mathias Kiss et Rémi Chapeaublanc. Les éditions précédentes avaient accueilli des figures comme Cédric Klapisch, Malika Favre, H5 ou Romain Tardy.

Quel était le format des sessions ?

Le matin a proposé des talks inspirants. L’après-midi a alterné masterclass techniques et ateliers collaboratifs. Des temps de networking ont ponctué la journée pour favoriser les rencontres.

Quelles marques et outils ont été évoqués ?

Des outils comme Adobe et Google ont été cités pour la production et la collaboration. Des marques telles que BMW, Heineken, Evian, Vice ou Nikon ont servi de repères sectoriels et d’exemples de collaborations possibles.

Comment prolonger l’expérience après l’événement ?

Il est conseillé de formaliser un plan d’action en cinq points, de prototyper rapidement, d’organiser un suivi avec les contacts, et de documenter chaque itération pour capitaliser sur les apprentissages.

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