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Event Tedxchampselyseeswomen 2018 Tedxcewomen

Au cœur de Paris, une scène a su traduire l’audace en trajectoire. Le 3 décembre 2018, TEDxChampsÉlyséesWomen a fêté ses cinq ans au Théâtre Mogador autour d’un thème puissant : imPOSSIBLE. À partir de 20h, la salle a accueilli jusqu’à 1600 participants, venus écouter 12 intervenant·e·s livrer des récits d’itinéraires et de ruptures. Chacun disposait de 18 minutes pour renverser les croyances et éclairer un angle d’action. Par conséquent, cette édition s’est imposée comme un repère pour l’écosystème des idées, entre innovation, ouverture et inclusion. D’ailleurs, l’élan généré continue d’irriguer les initiatives en 2025, à la croisée des enjeux sociaux et technologiques.

Au-delà des projecteurs, ce rendez-vous a catalysé des ponts entre citoyen·ne·s, entreprises et acteurs associatifs. Ainsi, des organisations telles que La Fondation des Femmes ont vu leur plaidoyer pour les droits progresser au contact d’un public engagé. En parallèle, des groupes privés comme L’Oréal, BNP Paribas, Google France, Orange, LinkedIn France, AXA ou AccorHotels ont pris, chacun à leur manière, la mesure de l’urgence à transformer les cultures internes. Autrement dit, l’événement a été un laboratoire vivant pour apprivoiser l’“impossible”, du plateau jusqu’aux décisions de terrain. Pour la billetterie et les archives, la page de l’organisateur a servi de point d’entrée clair : Billetterie officielle.

TEDxChampsÉlyséesWomen 2018 : imPOSSIBLE au Théâtre Mogador

Le thème imPOSSIBLE a été pensé comme un renversement de perspective. Concrètement, l’objectif consistait à interroger ces barrières soi-disant inamovibles qui freinent la parité, l’accès à la technologie ou l’émancipation économique. Ainsi, sur la scène de Mogador, chaque talk a joué le rôle de déclencheur. Grâce à des histoires de terrain, les 12 prises de parole ont proposé des angles d’action plutôt que des injonctions abstraites.

Le format 18 minutes a imposé une discipline utile. En effet, chaque intervenant·e a sculpté une ligne claire, avec un arc narratif qui part d’une observation concrète et mène à un geste réalisable. Par exemple, un récit peut commencer par une statistique sur l’égalité salariale, puis glisser vers une méthode de négociation, avant d’illustrer une réussite collective. Ainsi, la proposition d’“impossible” devient un plan précis.

Le public a retrouvé l’ADN de TEDxCEWomen et la dynamique mondiale de TEDx. Dans cet esprit, la curation a combiné chercheurs, entrepreneuses, activistes, ingénieur·e·s et artistes. Par ailleurs, la diversité des formats a évité l’uniformité. Un témoignage personnel pouvait être suivi d’une démonstration scientifique, puis d’un plaidoyer sociétal, afin de garder l’attention en éveil.

Parce que la technologie accélère les transformations, des références au numérique ont traversé plusieurs interventions. Néanmoins, la technique n’a jamais pris le pas sur l’humain. Autrement dit, les outils n’étaient que des leviers au service d’ambitions plus larges, comme l’inclusion ou l’accès à l’éducation. Cette articulation a rendu les messages plus mémorables.

La salle, réputée pour son acoustique, a servi le propos. Toutefois, la scénographie sobre, signature TEDx, a laissé la priorité aux mots. Avec une lumière maîtrisée et un repère visuel simple, le regard du public s’est naturellement fixé sur l’histoire racontée. Dès lors, le rythme a favorisé l’écoute active et l’appropriation.

Un fil conducteur a émergé avec Nadia, ingénieure en mobilité, citée par plusieurs participants lors des échanges. Son chemin, jalonné de “non” institutionnels, a basculé vers le “oui” grâce à un mentorat ciblé et à une prise de parole assumée. Finalement, son “impossible” a trouvé un premier jalon en hackathon, puis en prototype déployé dans une collectivité.

Pour structurer l’expérience, l’équipe a rappelé trois valeurs guides. Elles ont infusé la préparation comme la soirée :

  • Innovation : encourager l’essai et l’erreur, privilégier les solutions frugales et l’hybridation des disciplines.
  • Ouverture : inviter des voix minorées, croiser expertises et vécus, élargir l’audience au-delà des “déjà convaincus”.
  • Inclusion : penser accessibilité, proposer des formats adaptés, créer des espaces sûrs pour les échanges.

Le rendez-vous s’est inscrit dans une trajectoire plus large. Dès l’annonce, les réseaux ont relayé l’information via le hashtag TEDxChampsElyseesWomen. Ensuite, des communautés professionnelles sur LinkedIn France ont fait émerger des cercles de discussion. Par conséquent, l’effet d’entraînement a dépassé la soirée.

Pour revoir des contenus de conférences similaires et nourrir la préparation, une recherche simple permet de trouver des talks pertinents.

En refermant cette section, une idée domine : le cadre n’est pas l’objectif, il est un tremplin. L’enjeu reste de basculer de l’inspiration à l’action, avec méthode et partenaires.

De l’inspiration à l’action : imPOSSIBLE comme boussole stratégique

Transformer une étincelle en démarche pérenne suppose une méthode. Ainsi, plusieurs participantes ont décrit un passage clé : reformuler une contrainte en hypothèse de travail. Cela commence souvent par un diagnostic honnête, suivi d’une micro-expérimentation mesurable. Ensuite, vient l’itération, courte et exigeante.

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Les entreprises jouent un rôle d’accélérateur. Sans revendiquer un statut de partenaires officiels, il est pertinent d’observer les efforts de groupes influents comme L’Oréal, BNP Paribas, Google France, Orange, LinkedIn France, AXA ou AccorHotels. Par exemple, des programmes de mentorat interne, des formations à la négociation ou des politiques de recrutement inclusives peuvent convertir un discours en changement mesurable.

La société civile complète ce tableau. À ce titre, La Fondation des Femmes et d’autres ONG proposent des cadres de plaidoyer, des guides juridiques et des dispositifs de soutien. Ainsi, le passage à l’action bénéficie d’une double impulsion : le levier privé et l’ancrage associatif. Autrement dit, les récits entendus sur scène peuvent trouver une rampe d’essaimage.

Le personnage de Nadia illustre ce continuum. Après la conférence, elle a construit un binôme avec une dirigeante tech, croisée lors d’un échange informel. Par conséquent, son prototype a accédé à un premier POC dans une filiale d’un groupe du CAC 40. D’ailleurs, la visibilité médiatique, même discrète, a facilité l’accès à des données et à un terrain d’expérimentation.

Pour cadrer l’action, une séquence simple, inspirée des talks, a émergé. Elle s’applique autant dans une association que dans une équipe produit :

  • Clarifier le problème en une phrase, avec un indicateur de réalité et de résultat.
  • Co-concevoir une réponse avec les premiers concernés, avant tout benchmark externe.
  • Prototyper une solution frugale, limité à deux semaines, avec un périmètre clair.
  • Mesurer trois effets concrets, dont au moins un qualitatif et un quantitatif.
  • Décider d’arrêter, d’ajuster ou d’étendre, sans zone grise.

Le numérique facilite ces cycles. Toutefois, la vitesse ne doit pas sacrifier l’éthique. Par exemple, les équipes data de Google France ou d’opérateurs comme Orange mettent en avant des cadres d’évaluation sur les biais d’algorithmes. Ainsi, l’“impossible” de l’IA juste devient une trajectoire de travail, balisée par des checks réguliers.

Les réseaux professionnels, notamment via LinkedIn France, servent de caisse de résonance. En pratique, publier un retour précis, chiffré et sourcé accroît les chances d’attirer une expertise complémentaire. Ensuite, la prise de contact doit être rapide et contextualisée. Résultat, la collaboration démarre sur une base solide.

Du côté des secteurs régulés, des groupes comme AXA ou des banques telles que BNP Paribas ont un rôle structurant. Grâce à leur périmètre, ils peuvent aligner les incitations internes avec des objectifs d’impact. Par exemple, un bonus managérial lié à un indicateur de mixité améliore la probabilité de résultats durables.

Dans l’hôtellerie, des acteurs comme AccorHotels ont expérimenté des référentiels de progression locale. Concrètement, cela passe par des promotions transparentes, des panels mixtes et des horaires aménageables. Ainsi, l’expérience terrain rejoint l’ambition affichée sur scène.

Pour accompagner ces transitions, un second repère se dessine : raconter moins, expérimenter plus. La force d’imPOSSIBLE tient à cette bascule. Le public en sort avec un plan-test plutôt qu’avec une citation de plus, si belle soit-elle.

Au terme de ce chemin, une évidence apparaît : l’alignement entre vision et exécution décide du sort de l’“impossible”. Le reste n’est qu’accessoire.

Les coulisses d’un rendez-vous TEDxCEWomen d’exception

La réussite d’une soirée comme TEDxChampsÉlyséesWomen repose sur une mécanique fine. D’un côté, la curation construit une ligne éditoriale cohérente. De l’autre, la logistique fait tenir l’ensemble, du brief des intervenant·e·s jusqu’à la fluidité à l’entrée. Enfin, l’accueil orchestre l’énergie du public pour créer un moment collectivement inoubliable.

La sélection des 12 voix constitue l’épine dorsale. En effet, chaque histoire doit apporter un éclairage neuf et une utilité pratique. Par conséquent, la diversité des profils (recherche, arts, politique de la ville, sport, tech) est recherchée, mais pas au détriment de la précision. La parole est rare, donc elle se prépare.

La préparation tient en trois piliers. D’abord, un cadrage de fond, pour éviter les généralités. Ensuite, un travail scénique, pour que la voix porte sans surjouer. Enfin, une répétition minutieuse, parfois devant un petit groupe test, qui offre des retours francs. Grâce à ces étapes, les 18 minutes gagnent en densité.

La salle de Mogador impose des contraintes utiles. Sa jauge large exige une articulation claire et des transitions nettes. Par ailleurs, l’équipe technique veille à la lumière, au son et aux captations. Cette attention évite les couacs et renforce la restitution vidéo.

Autour de la scène, les bénévoles donnent le tempo. À partir de 19h15, l’accueil guide les flux, renseigne et installe. En coulisses, un régisseur coordonne entrées et sorties. De fait, l’horloge est un personnage à part entière, car le timing conditionne l’attention et l’émotion.

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Sur la ligne éditoriale, la variété des formats est revendiquée. Un talk peut intégrer une démonstration, un objet, une courte interaction. Néanmoins, le cœur reste le récit éclairé par des faits. Cette combinaison nourrit l’esprit et le souvenir.

Le partenariat au sens large prend alors une dimension concrète. Des structures comme La Fondation des Femmes sont souvent citées par les intervenant·e·s qui s’appuient sur leurs ressources. En miroir, des directions RSE d’entreprises comme L’Oréal, Orange ou BNP Paribas identifient des projets à soutenir après l’événement. Ainsi, une passerelle s’installe entre scène et terrain.

La communication, avant et après, irrigue cette dynamique. Sur LinkedIn France, des managers partagent des retours d’expérience concrets, parfois en fil de posts. Ensuite, ces fils deviennent des supports d’échanges utiles. D’ailleurs, ces conversations prolongent la vie de la soirée plusieurs semaines.

Du point de vue pratique, quelques jalons ont structuré l’édition 2018 :

  • Ouverture des portes à 19h15, pour une installation fluide et des premiers échanges.
  • Début à 20h précises, gage de respect mutuel et de rythme maîtrisé.
  • 12 talks formatés sur 18 minutes, avec des respirations musicales ou visuelles.
  • Temps de rencontres informels à l’issue, propices aux connexions utiles.

Pour finir, rappelons l’essentiel : une conférence réussie s’évalue à ce que les gens font le lendemain. L’“impossible” commence dans la file du vestiaire, avec une poignée de main sincère et un projet griffonné.

Impact et héritage depuis 2018 : ce que l’événement a déclenché

Mesurer l’héritage d’un rendez-vous comme TEDxChampsElyseesWomen suppose de croiser données et récits. D’un côté, des indicateurs simples existent, comme le nombre de rediffusions ou de mentions sociales. De l’autre, des trajectoires individuelles racontent l’effet domino, plus discret mais décisif.

Au fil des années, plusieurs tendances se sont affirmées. D’abord, la professionnalisation des réseaux de mentorat, impulsée lors des rencontres post-conférence. Ensuite, l’émergence de projets hybrides, mêlant tech et social, qui ont trouvé leurs premiers financeurs dans la salle. Enfin, l’évolution de politiques internes, amorcée par des responsables présents le 3 décembre.

Dans la finance, des groupes tels que BNP Paribas ont étendu des dispositifs d’accompagnement pour entrepreneures, avec des critères d’accès clarifiés. À l’assurance, des acteurs comme AXA ont valorisé les trajectoires féminines dans les métiers risques et actuariat. Ainsi, l’exemplarité a cessé d’être l’exception.

Du côté du numérique, Google France a amplifié ses programmes de sensibilisation aux biais, tandis qu’Orange a poussé les formations aux métiers réseaux auprès de lycéennes. Autrement dit, l’écosystème a reconnu que le vivier ne se constate pas, il se construit. Par conséquent, la pipeline s’élargit lorsque les initiatives sont structurées et mesurées.

Dans l’hospitalité, AccorHotels a multiplié des parcours de montée en compétence sur site, avec un effet clair sur la mixité des encadrants. En parallèle, L’Oréal a poursuivi des engagements publics sur l’égalité salariale et la lutte contre les stéréotypes. D’ailleurs, ces évolutions ont nourri des retours d’expérience partagés sur LinkedIn France, accélérant les transferts d’idées.

La société civile a consolidé son empreinte. La Fondation des Femmes, par exemple, a renforcé la portée de ses campagnes de sensibilisation, souvent relayées par des alumnis de la communauté. Grâce à ces relais, des permanences juridiques et des levées de fonds ciblées ont gagné en visibilité.

Pour appréhender l’impact, une trame d’analyse utile se dégage :

  • Individuel : changements de carrière, créations d’associations, prises de parole publiques.
  • Équipes : adoption de rituels d’inclusion, objectifs de diversité intégrés au management.
  • Organisation : budgets, indicateurs, transparence et reddition de comptes.
  • Écosystème : partenariats croisés, coalitions thématiques, influence réglementaire.

Une anecdote illustre ce continuum. Après 2018, une cheffe de projet “data” s’est appuyée sur des idées entendues pour proposer un protocole d’audit des algorithmes. Six mois plus tard, l’entreprise a fait évoluer ses pratiques d’achat de modèles. Résultat, un impact concret sur des milliers d’utilisateurs, loin de la scène, mais fidèle à l’esprit d’imPOSSIBLE.

Pour nourrir la réflexion et retrouver l’ADN de l’événement, une recherche vidéo orientée “Women, Paris, TEDx” reste une bonne porte d’entrée.

Au final, l’héritage d’un TEDx ne se résume pas à des vues. Il se lit dans des décisions qui, une fois additionnées, déplacent la ligne du possible.

Participer à TEDxChampsÉlyséesWomen : guide pratique pour un engagement durable

Vivre une soirée TEDxCEWomen se prépare comme un projet. Ainsi, l’expérience gagne en densité lorsque les objectifs sont clairs. Souhaite-t-on rencontrer des mentors, découvrir des méthodes, ou repérer des alliés pour un futur projet? Selon l’intention, le plan de route change.

Avant l’événement, la phase de repérage est clé. D’abord, il est utile de lister trois thèmes prioritaires, puis de préparer deux questions par thème. Ensuite, organiser son agenda pour rester disponible après la dernière intervention favorise les rencontres imprévues. Enfin, relire deux ou trois talks emblématiques fluidifie l’écoute et les échanges.

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Le jour J, la logistique influence la qualité de la soirée. Arriver tôt, idéalement dès 19h15, permet de choisir une place adaptée et de s’imprégner de l’ambiance. Par ailleurs, prévoir de quoi noter, un réseau social choisi pour le live, et une carte de visite au format QR peut accélérer les connexions.

Après l’événement, la consolidation commence. Par conséquent, un message de suivi dans les 48 heures, personnalisé et concret, multiplie les chances de collaboration. D’ailleurs, un court document récapitulatif, partagé sur LinkedIn France, peut attirer un regard externe utile.

Pour un public impliqué, une check-list simple aide à cadrer l’expérience :

  • Objectif principal de la soirée noté en une phrase.
  • Trois talks à écouter sans distraction, identifiés à l’avance.
  • Deux personnes à rencontrer, avec un message d’approche déjà rédigé.
  • Un créneau post-événement pour débriefer et envoyer les suivis.
  • Un test à lancer sous sept jours, même minime, pour convertir l’inspiration.

Les organisations disposent aussi d’un levier. Des entreprises comme L’Oréal, BNP Paribas, Google France, Orange, AXA ou AccorHotels peuvent capitaliser sur une participation collective. Par exemple, financer des billets pour des collaboratrices, puis organiser un atelier de restitution, ouvre des pistes concrètes. Ainsi, la conférence devient une pièce d’un dispositif d’apprentissage continue.

Les associations, dont La Fondation des Femmes, peuvent quant à elles proposer des “listes d’envies” aux équipes venues écouter. Autrement dit, préparer trois actions simples à adopter dès le retour. Grâce à cette clarté, l’énergie de la salle se convertit en soutien direct.

Enfin, tout engagement durable nécessite une métrique. Mesurer une action par semaine sur un mois, puis revisiter le plan, aide à tenir la promesse faite à soi-même pendant la soirée. Au fond, c’est ainsi que l’“impossible” change d’adresse : il quitte le rêve pour rejoindre l’agenda.

Check-list pour optimiser sa présence au Théâtre Mogador

Le cadre prestigieux de Mogador impose un tempo et une étiquette implicite. Pour s’y fondre sans perdre son intention, quelques réflexes s’imposent :

  • Tenue confortable mais soignée, pour être mobile et présentable lors des échanges.
  • Plan de salle repéré à l’avance, afin de viser une zone propice aux prises de notes.
  • Réglages du téléphone préparés pour éviter les notifications intrusives, tout en restant joignable.
  • Micro-rituel avant chaque talk: formuler une question, noter un fait, retenir une action.
  • Décompression après la dernière intervention pour laisser émerger les connexions fortes.

Au terme de ce parcours, une conviction s’impose : l’expérience TEDxChampsElyseesWomen vaut par ce que chaque participant en fait, dès le lendemain. Le vrai luxe n’est pas la salle, mais le temps gagné sur l’“impossible”.

On en dit quoi ?

Au regard des récits et des trajectoires observées, ce rendez-vous a rempli sa promesse. Le cadre imPOSSIBLE a offert une boussole claire, transformant l’inspiration en protocoles d’action. Par ailleurs, le dialogue entre citoyen·ne·s, entreprises comme BNP Paribas, AXA ou L’Oréal, et associations telles que La Fondation des Femmes a ouvert des corridors utiles.

En quelques mots, ce type d’événement rappelle une règle simple : les idées voyagent plus vite lorsqu’elles trouvent des mains pour les porter. Ainsi, la meilleure manière d’honorer cette édition reste de planifier, dès aujourd’hui, la prochaine étape qui paraissait impossible hier.

Quel était le format des prises de parole à TEDxChampsÉlyséesWomen 2018 ?

L’édition 2018 a réuni 12 intervenant·e·s, chacun·e disposant de 18 minutes pour développer un récit d’action autour du thème imPOSSIBLE. La soirée a débuté à 20h au Théâtre Mogador, avec ouverture des portes à 19h15.

Comment accéder aux informations pratiques et aux archives de l’édition 2018 ?

Les informations clés et la billetterie étaient centralisées via l’organisateur : https://www.oandb.fr/evenements/tedxchampselyseeswomen-2018. Les vidéos associées à TEDx et à TEDx Women peuvent être retrouvées sur YouTube via des recherches ciblées.

Le thème imPOSSIBLE a-t-il eu un impact mesurable après l’événement ?

Oui, plusieurs retours ont évoqué la création de projets concrets, la structuration de mentorats et l’évolution de politiques internes en entreprises. L’impact se lit dans la continuité d’actions et d’initiatives mises en œuvre après la conférence.

Les entreprises comme L’Oréal, BNP Paribas, AXA ou Orange étaient-elles partenaires officiels ?

Le texte cite ces entreprises comme exemples d’acteurs engagés sur les sujets d’inclusion et d’égalité. Leur mention illustre des démarches utiles, sans affirmer un statut de partenariat officiel avec l’édition 2018.

Comment préparer au mieux sa participation à un futur TEDxCEWomen ?

Définir un objectif clair, préparer des questions, planifier des rencontres, publier un retour sur LinkedIn France et lancer un test concret sous sept jours. Ces étapes facilitent le passage de l’inspiration à l’action.

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