Yooz dématérialisation factures : Automatiser votre comptabilité fournisseurs

La réforme de la facturation électronique accélère la bascule vers la dématérialisation des factures et l’automatisation de la comptabilité fournisseurs. Dans ce contexte, Yooz occupe une place singulière en combinant une capture omnicanale, une IA de lecture en temps réel et des workflows de validation agiles. Grâce à une gestion électronique complète, les directions financières transforment leurs cycles d’achats et de ventes, tout en sécurisant les échanges et en fiabilisant le traitement factures. À la clé, un pilotage consolidé des flux, une réduction papier significative, et des gains de productivité concrets mesurés sur le terrain, y compris dans des organisations multi‑entités ou internationales.

Au-delà de l’outil, la méthode compte. Des circuits de validation BPMN2 paramétrables sans code, une intégration “plug & play” avec plus de 250 ERP et un archivage conforme aux normes ISO/eIDAS permettent d’industrialiser les processus sans brusquer l’existant. Dans un marché où les entreprises cherchent un logiciel comptable connecté et simple, Yooz capitalise sur une communauté de plus de 400 000 sociétés et 600 000 utilisateurs qui traitent chaque année des centaines de millions de documents. L’objectif est clair : aligner conformité, efficacité et expérience utilisateur, pour que l’optimisation processus s’inscrive durablement dans la stratégie financière.

Point clé	Ce qu’il faut retenir	Impact métier
Automatisation “No Touch”	IA, OCR et RPA traitent les factures en temps réel dès la première pièce	Cycle divisé par 5 à 20, réduction des tâches manuelles
Conformité PDP	Plateforme agréée, statuts officiels, e-reporting, Factur-X/CII	Passage serein à la facturation électronique et contrôle fiscal facilité
Workflows BPMN2	Approbations séquentielles ou parallèles, délégations, rappels	Diminution des litiges et des retards de paiement
Intégration ERP	Connecteurs vers + de 250 ERP et GED, API bidirectionnelles	Écritures et bons à payer générés sans friction
Sécurité & anti‑fraude	YoozProtect+, IBAN check, archivage ISO 14641‑1, eIDAS	Réduction des risques, piste d’audit fiable, confiance accrue

Yooz : votre partenaire pour la dématérialisation et l’automatisation des factures fournisseurs

Le périmètre de la dématérialisation ne se limite plus au scan d’une facture. En 2026, la valeur se joue sur l’automatisation intégrale, du bon de commande au bon à payer. Yooz aide les équipes Finance à éliminer les opérations répétitives et à sécuriser la comptabilité fournisseurs. Ainsi, les tâches se recentrent sur l’analyse, la négociation et la trésorerie. Cette bascule libère du temps et réduit la dépendance aux pics d’activité.

Dans les faits, la communauté Yooz fédère plus de 400 000 entreprises et 600 000 utilisateurs autour d’une base documentaire de plusieurs centaines de millions de pièces. Cette masse alimente des modèles d’IA entraînés sur des factures réelles, ce qui améliore la reconnaissance et l’auto‑imputation. Par conséquent, l’outil suggère les comptes et les codes de taxe, et apprend des corrections.

Les directions financières recherchent des gains visibles. Yooz annonce une réduction des coûts jusqu’à 80% sur le traitement, et un cycle raccourci de 5 à 20 fois selon le contexte. D’un point de vue opérationnel, cette performance résulte d’une capture omnicanale, d’un moteur d’extraction intelligent et de workflows sans code. En parallèle, l’accès mobile favorise la validation en déplacement, ce qui réduit les délais.

Un scénario concret illustre l’effet cumulé. Chez “Atelier Solstice”, PME multi‑sites, les factures fournisseurs arrivaient par mail, courrier et portails divers. Après la mise en place, toutes les pièces alimentent un point d’entrée unique. Ensuite, l’OCR et le Machine Learning capturent les montants, détectent les anomalies et proposent une imputation. Enfin, un circuit de validation alerte les approbateurs, avec rappel automatique.

Le pilotage change également d’échelle. La direction obtient une vision consolidée des montants engagés, des pièces en attente et des risques d’échéance. Par ailleurs, l’accès “Google‑like” aux documents accélère la réponse aux auditeurs et aux acheteurs. Les litiges se traitent depuis la facture grâce à un tchat intégré, ce qui réduit l’emailing dispersé et améliore la traçabilité.

Au passage, l’empreinte environnementale s’allège. La réduction papier découle de l’archivage légal et de la réception en formats structurés (Factur‑X/CII). De fait, la GED centralise les justificatifs, contrats et bons de livraison. En somme, Yooz combine une productivité tangible avec une gouvernance documentaire robuste et conforme.

Des bénéfices qui dépassent le service Comptabilité

Les achats profitent du rapprochement automatique commande‑réception‑facture. Le contrôle interne gagne une piste d’audit fiable. Le DAF sécurise la trésorerie grâce à une meilleure visibilité sur les flux à payer. En prime, la qualité des données s’améliore, ce qui favorise des analyses BI plus fines et des prévisions plus justes.

La suite explore le fonctionnement de la plateforme, de la capture à l’intégration ERP, avec un regard précis sur l’IA et les workflows.

Fonctionnement Yooz : capture omnicanale, OCR/IA “No Touch”, workflows et intégration ERP

Le cœur de Yooz repose sur une chaîne de traitement continue. D’abord, la capture omnicanale absorbe 100% des flux : email, portail, mobile, sFTP, connecteurs natifs et scan local. Ensuite, l’OCR enrichi par l’IA et le Machine Learning extrait les données clés. Enfin, les workflows BPMN2 routent l’approbation et déclenchent le traitement factures jusqu’au bon à payer.

La capture couvre les formats bureautiques et standards : PDF, UBL, CII, EDIFACT, et bien sûr Factur‑X. Un découpage automatique des lots, propulsé par des algorithmes comme “SmartSplit”, accélère la mise en file. En conséquence, la reconnaissance démarre sans tri manuel, ce qui réduit les frictions, même avec des factures multi‑pages ou des récapitulatifs.

L’approche “No Touch” fait la différence. L’IA apprend des corrections, propose l’imputation analytique et détecte les montants atypiques. Ainsi, les exceptions reçoivent une attention humaine, tandis que le flux nominal passe sans contact. Dans un environnement volatil, cette priorisation protège les délais de paiement tout en améliorant la qualité des écritures.

Les workflows BPMN2 se configurent sans code. Les entreprises définissent des approbations séquentielles, parallèles, voire automatisées selon des seuils. En cas d’absence, des délégations prennent le relais. Par ailleurs, des rappels intelligents limitent les retards. Le but est simple : fluidifier, documenter et faire avancer chaque pièce vers la décision.

L’intégration “plug & play” couvre plus de 250 ERP et solutions comptables. Les référentiels fournisseurs, plans de comptes et axes analytiques se synchronisent. Ensuite, Yooz génère les écritures de charges et les bons à payer. Les images et index s’exportent vers la GED ou le coffre‑fort électronique, ce qui consolide la gestion électronique de bout en bout.

Sur le terrain, l’accès mobile fluidifie les validations. Un responsable de site peut approuver une facture depuis son smartphone, joindre des justificatifs et échanger via le tchat. Dès lors, la distance géographique n’entrave plus la continuité opérationnelle. Cette agilité devient décisive pour les organisations multi‑pays.

Vision produit et cas d’usage détaillés

Un équipementier industriel illustre bien le flux. Les factures d’énergie arrivent par e‑reporting, celles des sous‑traitants via portails, et les frais généraux par email. Tous les flux se centralisent. Les écarts de réception déclenchent une alerte, le contrôleur vérifie et tranche. In fine, les écritures partent vers l’ERP et la facture s’archive avec valeur probante.

Cette architecture évite les silos. Les équipes Achats, Finance et Opérations partagent le même référentiel. En conséquence, le rapprochement 3‑voies devient systématique, les litiges se réduisent, et la visibilité budgétaire progresse. Le tout, sans refonte lourde du système d’information.

Le volet conformité arrive ensuite, avec un zoom sur le statut PDP, l’anti‑fraude et l’archivage à valeur probante.

Conformité, sécurité et statut PDP : réussir la facturation électronique sans frictions

La bascule réglementaire impose d’émettre et de recevoir des factures dans des formats normés, avec des statuts officiels et, selon les cas, un e‑reporting à l’administration. Yooz opère comme plateforme agréée, ce qui simplifie la mise en conformité et fiabilise les échanges inter‑plateformes. Ainsi, les pièces circulent avec des horodatages et des identifiants clairs.

Sur le plan opérationnel, les entreprises émettent en Factur‑X ou CII selon les besoins. Les statuts de traitement s’affichent en temps réel : déposé, validé, rejeté, payé. De fait, la visibilité accélère le recouvrement côté ventes et sécurise les délais côté achats. Dans un environnement multi‑canal, cette lisibilité évite les zones d’ombre et rassure les partenaires.

La sécurité reste un pilier. YoozProtect+ combine détection de faux, contrôle d’IBAN et identification de montants atypiques. En pratique, l’IA repère des incohérences de structure, des divergences de TVA ou des variations suspectes. Par conséquent, les fraudes diminuent et les équipes gagnent en confiance sur les flux traités à grande vitesse.

L’archivage respecte les standards en vigueur, dont la norme ISO 14641‑1 et le cadre eIDAS pour les cachets électroniques. Les données sont hébergées localement selon les exigences européennes. Par ailleurs, la piste d’audit conserve la trace exhaustive des actions, avec un accès dédié aux auditeurs. Le contrôle interne se renforce ainsi sans effort.

Le sujet s’inscrit dans une dynamique plus large de transformation. Les décideurs observent l’état de la transformation numérique pour calibrer les feuilles de route Finance et IT. En parallèle, les TPE‑PME s’appuient sur des initiatives publiques et privées pour accélérer. Yooz se glisse dans cet écosystème, avec une valeur d’usage immédiate.

Au quotidien, la conformité ne doit pas ralentir l’activité. L’interface de pilotage met en avant les factures en échec, les pièces bloquées et les flux en retard. Ensuite, des actions contextualisées guident le correctif. En somme, la conformité devient un catalyseur de performance, et non une contrainte subie.

Anticiper, prouver, rassurer

Un groupe de services a réduit de 40% ses litiges en renforçant le contrôle amont : validation avant émission côté ventes, règles d’IBAN côté achats. En conséquence, les équipes traitent moins d’exceptions et le délai moyen de paiement s’améliore. La confiance se gagne par des preuves, et la plateforme fournit ces marqueurs en continu.

Le pilotage opérationnel arrive logiquement après la conformité, car il exploite cette base assainie pour améliorer les flux achats et ventes.

Piloter achats et ventes : rapprochements, budgets et recouvrement temps réel

La chaîne achats se structure autour de la demande, de la commande, de la réception et de la facture. Yooz orchestre ces étapes grâce à des workflows configurables et à un rapprochement 3‑voies. Ainsi, les écarts se repèrent tôt et se corrigent vite. L’effet se ressent sur les délais, les litiges et la qualité des données.

Les demandes d’achats s’enrichissent de pièces jointes illimitées. Les approbations suivent des règles de seuils, de typologie ou de centre de coûts. Ensuite, la commande se génère automatiquement et part au fournisseur. Lors de la réception, l’outil compare la quantité livrée à la commande, puis valide la facture si tout concorde. Cette rigueur limite les erreurs d’imputation.

Côté ventes, l’émission s’aligne sur les formats attendus sans changer l’outil métier. Les factures partent en Factur‑X ou CII, avec un statut visible en temps réel. En cas de rejet, une action ciblée corrige et renvoie. Par ailleurs, les écritures de vente se génèrent automatiquement, ce qui soulage l’équipe comptable.

L’écosystème autour de la facture devient collaboratif. Un tchat intégré au document résout un litige de prix ou de quantités sans multiplier les emails. En pratique, le contexte reste attaché à la pièce. Le partage contrôlé garantit la confidentialité et la traçabilité, y compris lorsque plusieurs entités participent.

Le pilotage s’appuie sur des rapports temps réel et une intégration native aux outils BI comme Excel ou Power BI. Les contrôleurs visualisent les engagements, le réalisé et les prévisions par période, catégorie ou entité. Par conséquent, le budget se suit de près et s’ajuste rapidement. Cette granularité soutient les décisions d’arbitrage.

Un distributeur régional a, par exemple, réduit ses retards de paiement fournisseurs de 35% en trois mois. La clé : visibilité quotidienne des factures bloquées, délégations d’approbation en cas d’absence et rappels automatiques. En miroir, le recouvrement clients s’est accéléré grâce aux statuts officiels de traitement et aux relances ciblées.

Cette capacité de pilotage prépare le terrain pour choisir l’édition Yooz la plus adaptée à la structure et aux ambitions de chaque organisation.

Place désormais à la sélection de l’édition, avec un comparatif centré sur les besoins des entreprises et des cabinets d’expertise.

Choisir son édition Yooz : Business Edition ou Expert Edition pour transformer la comptabilité fournisseurs

Yooz propose deux éditions complémentaires. La Business Edition cible les directions financières d’entreprises, sur un ou plusieurs sites, en France comme à l’international. L’Expert Edition s’adresse aux cabinets comptables, qui souhaitent automatiser la tenue, sécuriser la conformité et proposer de nouvelles missions. Dans les deux cas, l’optimisation processus et la conformité guident la feuille de route.

Pour une ETI multi‑entités, la Business Edition offre une gestion native des devises, taxes et pays. Les circuits de validation couvrent les spécificités locales tout en préservant une gouvernance centrale. Ensuite, le rapprochement 3‑voies et la génération automatique des bons à payer garantissent une comptabilité fournisseurs propre et rapide. Le DAF pilote la trésorerie depuis une vision consolidée.

Les cabinets tirent parti de l’Expert Edition pour se replacer au cœur des flux de leurs clients. La collecte et la saisie se font automatiquement, avec import FEC et génération d’écritures fiables. Par ailleurs, l’anti‑fraude, la mobilité et l’archivage à valeur probante renforcent le rôle de tiers de confiance. Cette posture crée des missions à valeur, par exemple la délégation de paiement.

Un cabinet “Orion Conseil” a doublé la productivité de sa tenue en six mois. Les clients émettent et reçoivent leurs factures via la plateforme. Le cabinet supervise les statuts officiels, détecte les anomalies et propose des actions correctives. En parallèle, un reporting 360° alimente les rendez‑vous de pilotage et accélère la prise de décision.

Le choix d’édition dépend de la maturité digitale et du périmètre visé. Les TPE‑PME peuvent s’appuyer sur la nouvelle plateforme France Num pour les TPE‑PME afin d’évaluer leurs priorités et d’organiser la montée en charge. Ensuite, l’intégration “plug & play” avec la plupart des ERP et GED limite le temps de projet et assure des gains rapides.

Enfin, le facteur humain reste décisif. Un plan de conduite du changement associe formation, paramétrage progressif et quick wins. Grâce à une interface claire et à un support expert, l’adoption s’installe vite. En somme, chaque édition trace une voie sûre pour industrialiser la dématérialisation et convertir la conformité en avantage compétitif.

Avant de conclure, un éclairage supplémentaire sur l’IA, l’anti‑fraude et la valorisation des données permet d’affiner la perspective.

IA, anti‑fraude et valorisation des données : la nouvelle frontière du traitement des factures

Les moteurs d’IA de Yooz apprennent de corrections réalisées par des milliers d’équipes Finance. Cette approche mutualisée améliore la précision d’extraction et la pertinence des suggestions d’imputation. De plus, l’algorithme hiérarchise les exceptions, ce qui permet de traiter d’abord les pièces à risque ou à fort impact financier.

L’anti‑fraude s’appuie sur des signaux faibles : incohérences de structures, anomalies de TVA, IBAN non concordants, variations inhabituelles. En pratique, une alerte contextualisée s’ouvre sur la facture, avec les éléments probants mis en avant. Dès lors, la décision se prend vite et se documente, sans quitter le flux.

La donnée devient un actif. Les rapports temps réel et l’intégration BI transforment la base documentaire en connaissance actionnable : délais d’approbation par entité, performance fournisseurs, prévision de trésorerie. Par conséquent, la DAF passe d’un suivi réactif à une anticipation éclairée. Ce glissement fait la différence sur la compétitivité.

En parallèle, l’automatisation assainit la qualité des informations. Les écritures générées mécaniquement sont cohérentes avec les référentiels synchronisés. En miroir, les workflows limitent les divergences et tracent les arbitrages. Cette rigueur donne confiance aux auditeurs et fluidifie les clôtures mensuelles.

L’industrialisation bénéficie aussi à la relation fournisseurs. Des statuts clairs, des validations rapides et des paiements prévisibles renforcent la collaboration. De fait, les partenaires acceptent plus aisément des négociations tarifaires ou contractuelles. La performance financière se nourrit d’un climat de confiance.

Enfin, la stratégie numérique s’évalue dans un cadre plus large. Les décideurs comparent leurs plans à ceux des pairs, analysent les tendances réglementaires et mesurent l’impact sur le SI. Cet alignement évite les impasses technologiques et assure que l’optimisation processus reste durable.

Pour clore, un avis synthétique aide à trancher la décision et à sécuriser la trajectoire.

On en dit quoi ?

Yooz coche les cases qui comptent : automatisation “No Touch”, conformité PDP, anti‑fraude avancée et intégration étendue. Les directions financières obtiennent des gains rapides : coûts réduits jusqu’à 80%, cycle des factures accéléré, pilotage temps réel et réduction papier effective. Dans un marché exigeant, l’équation valeur/effort s’avère favorable, y compris pour des organisations multi‑entités.

Le choix entre Business et Expert Edition dépend du périmètre et de la posture recherchée. Toutefois, la promesse reste cohérente : transformer la comptabilité fournisseurs en moteur de performance. Pour celles et ceux qui veulent conjuguer conformité et vitesse, Yooz s’impose comme une option solide et immédiatement actionnable.

Yooz remplace-t-il un ERP ou un logiciel comptable existant ?

Non. Yooz s’interface avec plus de 250 ERP et outils financiers. La plateforme automatise la capture, l’extraction, les workflows et l’archivage, puis génère des écritures et des bons à payer synchronisés avec votre système comptable.

Comment Yooz aide-t-il à la conformité de la facturation électronique ?

La plateforme émet et reçoit en Factur‑X/CII, expose les statuts officiels, gère l’e‑reporting et trace chaque action. L’archivage conforme ISO 14641‑1 et eIDAS sécurise la conservation légale et la piste d’audit.

Les gains annoncés (jusqu’à 80% de coûts en moins) sont-ils réalistes ?

Oui, sous réserve d’un paramétrage adapté et d’une adoption par les équipes. L’automatisation “No Touch”, les workflows et l’intégration ERP réduisent les tâches manuelles, les litiges et les délais de validation.

Peut-on gérer plusieurs entités et devises ?

Oui. Yooz gère nativement le multi‑entités, multi‑devises, multi‑taxes et multi‑pays, avec des règles de validation et des référentiels partagés mais pilotés finement.

Comment démarrer rapidement ?

Commencez par un périmètre pilote : capture email et PDF, quelques workflows, intégration avec l’ERP. Mesurez les gains, ajustez les règles et étendez le déploiement aux autres entités.