interstis solutions, pionnier de la cybersécurité, protège la souveraineté numérique avec des solutions innovantes et fiables pour sécuriser vos données et infrastructures.

Interstis Solutions : Pionnier de la cybersécurité au service de la souveraineté numérique

Face à la volatilité des menaces et à l’emprise des géants technologiques, les organisations françaises cherchent des solutions fiables, locales et auditées. Interstis Solutions s’est imposée comme un pionnier numérique en alliant cybersécurité de haut niveau et souveraineté numérique tangible. En réunissant des PME expertes autour de la suite collaborative Hexagone, l’entreprise propose un cadre opérationnel pour protéger les données, sécuriser les échanges et renforcer la cyberdéfense des acteurs publics et privés. Les collectivités, les entreprises régionales et les administrations y trouvent une alternative crédible aux solutions extra-européennes, tout en gardant la main sur leurs choix technologiques. Le contexte 2025 accélère ce mouvement, entre obligations réglementaires, chaînes d’approvisionnement critiques et dépendances juridiques souvent sous-estimées.

Cette dynamique ne se joue pas qu’en salle serveur. Elle s’ancre aussi sur le terrain, auprès des agents et des équipes projet. Lors du 93e Café Citoyen, Thomas Balladur et Pierre Caillet ont rappelé que 90 % des attaques proviennent d’erreurs humaines et que la défense repose sur l’entraînement, l’anticipation et des outils bien configurés. L’approche Interstis Solutions combine donc des briques techniques robustes, des réseaux sécurisés, une gestion des risques pragmatique, et une pédagogie claire. Les retours des collectivités montrent un gain d’autonomie, une réduction des surfaces d’attaque et des coûts mieux maîtrisés. Cette trajectoire éclaire un enjeu stratégique majeur : bâtir une capacité numérique européenne, souveraine et durable, sans sacrifier l’innovation technologique ni l’exigence d’expérience utilisateur.

Axes clés 🔑 Messages à retenir 🧭 Exemples concrets 🧩 Impact attendu 🚀
Souveraineté numérique Choix autonomes, données localisées, contrôle des infrastructures Cloud certifié SecNumCloud 🇫🇷 Réduction des risques juridiques ⚖️
Hexagone Suite collaborative 100% française Coédition, visioconf, stockage chiffré Maîtrise des coûts et des flux 💶
Cybersécurité humaine Formation, 2FA, règle 3-2-1 Simulations de phishing Baisse des incidents récurrents 📉
Réseaux sécurisés Zero Trust, segmentation, supervision SOC SIEM, EDR, NDR intégrés Détection plus rapide des menaces ⏱️
Feuille de route 2025 Interopérabilité, standards ouverts Consortium de 7 PME Résilience européenne renforcée 🌍

Interstis Solutions et la souveraineté numérique : vision, ancrage et cadre stratégique

La souveraineté numérique se définit par la capacité à décider, déployer et opérer ses solutions, sans dépendances critiques. Elle ne se décrète pas, elle se construit par paliers. Interstis Solutions articule cette ambition autour d’un triptyque clair : localisation des données, contrôle des infrastructures et maîtrise des technologies. Ce cadre permet d’aligner stratégie, conformité et opérations.

Installée en Occitanie, en Bourgogne, en Île-de-France et dans les Pays de la Loire, l’entreprise fédère environ 70 collaborateurs. Les équipes conçoivent et opèrent Hexagone, une suite collaborative souveraine. Cette offre s’adresse aux collectivités, aux administrations et aux entreprises qui exigent une sécurité informatique vérifiable et auditable.

Lors du 93e Café Citoyen, Thomas Balladur a rappelé l’urgence d’un modèle européen durable. Les environnements de travail et le stockage restent trop dépendants des plateformes américaines. Ce biais crée des risques juridiques et stratégiques, renforcés par des lois extraterritoriales. Une solution opérée en France atténue ces risques et clarifie la chaîne de responsabilité.

Le consortium Hexagone, composé de sept PME françaises, illustre cette stratégie d’alliance. La suite a été commercialisée début 2025, après des phases d’intégration exigeantes. L’hébergement s’appuie sur des environnements certifiés, notamment des offres conformes à SecNumCloud de l’ANSSI. Ce choix accélère la montée en confiance des acheteurs publics et privés.

La pédagogie tient une place centrale. Pierre Caillet, RSSI et ancien militaire, insiste sur la discipline opérationnelle. Les procédures ne suffisent pas si les équipes ne s’entraînent pas. L’outil devient efficace quand il s’ancre dans des usages quotidiens et des réflexes partagés.

Pour les collectivités, la valeur se mesure en temps gagné et en risques évités. Les agents sécurisent leurs échanges, tout en conservant la simplicité d’une suite moderne. Les DSI gagnent en visibilité et en contrôle, grâce à des tableaux de bord unifiés et des audits planifiés.

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Un cas type revient souvent : une métropole diffuse des documents sensibles à des partenaires multiples. Avec Hexagone, les accès sont granulaires, l’édition est tracée, et les données restent en France. Les arbitrages entre ouverture et contrôle deviennent concrets et mesurables.

Cette vision n’oppose pas innovation et protection. Elle les combine. La feuille de route valorise l’interopérabilité, les standards ouverts et la réversibilité. Ainsi, la dépendance technique se réduit, sans sacrifier les usages avancés.

Au final, l’enjeu dépasse l’outil. Il concerne la capacité d’un territoire à sécuriser ses décisions. C’est là que la souveraineté prend un sens opérationnel.

Les trois piliers opérationnels pour des choix numériques libres

La localisation des données assure un cadre légal stable. Elle limite les conflits de juridictions. Le contrôle des infrastructures garantit la continuité de service et la résilience. La maîtrise des technologies prévient les blocages stratégiques et les dépendances cachées.

En combinant ces trois leviers, Interstis Solutions offre un cadre d’action clair. Les risques sont identifiés et traités. Les obligations réglementaires s’intègrent au quotidien, sans friction excessive.

Hexagone : suite collaborative souveraine et cybersécurité intégrée pour les acteurs publics et privés

Hexagone réunit messagerie, coédition bureautique, visioconférence, stockage chifré et gestion d’identité. Les fonctions clés s’appuient sur un IAM robuste et une authentification à deux facteurs. Les journaux d’audit consolident les actions et facilitent la conformité. L’approche privilégie la simplicité d’usage, car sans adoption, la sécurité reste théorique.

La chaîne de protection des données couvre le chiffrement au repos et en transit. Les clés de chiffrement sont gérées selon des politiques strictes. Les accès suivent le principe du moindre privilège. Les administrateurs disposent de politiques par rôle et par contexte.

Pour des besoins sensibles, l’hébergement s’appuie sur des environnements certifiés, dont SecNumCloud. Une option hybride permet de rapprocher certains traitements de sites critiques. Les flux intersites passent par des réseaux sécurisés segmentés et supervisés.

La coédition temps réel évite les pièces jointes non maîtrisées. Les versions sont tracées, ce qui réduit les erreurs. En cas d’incident, un plan de reprise d’activité oriente les équipes. Les tests réguliers renforcent la confiance.

Les DSI apprécient l’intégration SIEM pour la corrélation d’événements. Un EDR complète la défense côté postes. Les alertes se priorisent selon le risque métier. Le bruit opérationnel diminue et la gestion des risques gagne en précision.

Les décideurs cherchent des gains rapides. Hexagone réduit le shadow IT grâce à une offre cohérente et locale. Les contrats clarifient la responsabilité. Les coûts deviennent prévisibles, ce qui aide la planification budgétaire.

  • 🔒 MFA et politiques de mots de passe renforcées pour une sécurité informatique concrète.
  • 🧩 Intégrations standardisées (SSO, SCIM, journaux) pour limiter les frictions.
  • 🛰️ Réseaux sécurisés segmentés et supervision continue pour détecter tôt.
  • 🗂️ Chiffrement systématique et protection des données dès la conception.
  • 📊 Tableaux de bord risques et conformité pour éclairer la décision.

La commune fictive de Valmont illustre ces choix. Les élus collaborent sur des projets urbains complexes. Les documents sont partagés avec des bureaux d’études via des liens temporaires. Les droits expirent automatiquement après validation.

Architecture de sécurité et conformité continue

Le modèle Zero Trust évite les accès implicites. Chaque requête se vérifie. Les flux sensibles se cloisonnent. Les politiques DLP préviennent les sorties de données non autorisées. Les journaux signés garantissent l’intégrité des traces.

Les exigences RGPD se traduisent par la minimisation des données et des durées de conservation claires. Les registres de traitement s’alignent avec les pratiques des responsables de traitement. En cas de demande d’exercice de droit, l’identification et la réponse sont encadrées.

Pour les acheteurs publics, la clarté contractuelle compte autant que la technique. Un cadre français facilite la négociation et l’audit. Les contrôles s’effectuent sur site si nécessaire. La confiance se construit par preuves, pas par slogans.

Former, entraîner, réagir : quand l’humain devient le meilleur pare-feu

Les chiffres sont têtus. Selon l’expérience terrain partagée par Interstis Solutions, 90 % des attaques exploitent une erreur humaine. Les attaquants misent sur la distraction et l’urgence. Un programme de formation réduit fortement ce risque. L’investissement devient rentable dès les premières semaines.

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Un parcours efficace alterne e-learning, ateliers et exercices. Les simulations de phishing créent des déclics utiles. Les équipes apprennent à repérer des marqueurs faibles. Les tableaux de bord suivent la progression et valorisent les améliorations.

La double authentification constitue un rempart essentiel. Elle combine ce que l’on sait, possède et est. Un mot de passe devient insuffisant face aux kits de phishing modernes. Un second facteur casse la chaîne d’attaque.

La règle de sauvegarde 3-2-1 reste d’actualité. Trois copies, deux supports, une hors ligne. Cette discipline évite de payer une rançon. La reprise reste possible même en cas de chiffrement malveillant.

Les incidents ne préviennent pas. Un plan de réponse balise les premières heures. Les rôles se définissent clairement. Les communications internes et externes suivent des modèles prêts à l’emploi.

Une mairie moyenne peut viser un programme sur 12 semaines. Les messages clés se répètent, sans lasser. Chaque épisode traite un risque : mots de passe, pièces jointes, VPN, réseaux Wi-Fi, partages externes. Les agents gagnent en assurance.

Les retours d’expérience montrent un effet durable. Les clics sur faux liens chutent. Les remontées d’alertes utiles augmentent. L’outil seul ne suffit pas, mais il devient décisif quand l’équipe s’implique.

La récente attaque ayant visé un ministère rappelle l’actualité de la menace. Les budgets progressent, mais parfois trop lentement. Le pilotage par le risque aide à prioriser. Mieux vaut couvrir 20 contrôles essentiels que disperser des efforts.

Programme type pour élever la cyberdéfense

Un socle simple peut changer la donne. Les contrôles de base s’installent vite : MFA, durcissement des postes, mises à jour, sauvegardes isolées. Les audits trimestriels vérifient la tenue du cap. La culture progresse par petites victoires.

  • 🛡️ Semaine 1-2 : MFA partout, rotation des secrets, coffre-fort d’équipe.
  • 📨 Semaine 3-4 : phishing simulé, signalement en un clic, retours pédagogiques.
  • 💾 Semaine 5-6 : règle 3-2-1, tests de restauration, PRA simplifié.
  • 🔍 Semaine 7-8 : hygiène des logs, corrélation SIEM, playbooks.
  • 🏁 Semaine 9-12 : exercices de crise, revue des accès, durcissement réseau.

Au terme du programme, les métriques parlent. Les temps de détection se réduisent. Les incidents majeurs deviennent rares. La maturité s’installe et sécurise les projets.

Gouvernance des données et réseaux sécurisés : de la stratégie Zero Trust à l’exploitation

La gouvernance des données donne un cadre à l’action. La classification par sensibilité évite des protections uniformes et coûteuses. Les durées de conservation s’alignent sur les obligations. Les responsables savent quoi protéger en priorité.

Le chiffrement doit couvrir le stockage, la transmission et parfois l’usage. Les clés se gèrent dans un module sécurisé. Les journaux d’accès se signent et se conservent selon des politiques claires. Les audits deviennent exploitables.

Le réseau reste un angle d’attaque majeur. La segmentation réduit la propagation. Le Zero Trust supprime les accès implicites. Chaque requête se vérifie selon l’identité, l’état du poste et le contexte. Le risque diminue fortement.

La supervision continue s’appuie sur un SOC, un SIEM et des capteurs EDR/NDR. Les détections s’affinent avec des scénarios construits sur des menaces réelles. Les runbooks guident l’investigation. L’équipe gagne en vitesse et en cohérence.

Les exigences RGPD et les normes sectorielles imposent des preuves. Des rapports clairs facilitent le dialogue avec les autorités. Les plans d’action s’alignent sur les écarts observés. L’amélioration devient mesurable.

La chaîne d’approvisionnement mérite une attention particulière. Les évaluations fournisseurs vérifient la solidité des pratiques. Les clauses contractuelles couvrent la sécurité et la réversibilité. Les dépendances critiques se réduisent.

Les accès externes se traitent avec soin. Les invités reçoivent des droits limités et expirants. Les partages s’ouvrent et se referment au rythme des projets. Les erreurs de périmètre se raréfient.

Pour les collectivités, le réalisme prime. Un plan par paliers évite les grands soirs. Les équipes avancent, valident et consolident. La sécurité devient un muscle opérationnel.

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Parcours recommandé pour sécuriser l’infrastructure

Un calendrier à 180 jours donne du rythme sans épuiser les ressources. Les chantiers s’enchaînent logiquement. Les gains se cumulent et créent un effet levier. L’objectif reste clair : un socle robuste et des pratiques vivantes.

  • 🧱 J0-J30 : cartographie, classification, MFA, durcissement postes.
  • 🛰️ J30-J90 : segmentation réseau, VPN d’entreprise, gestion des secrets.
  • 🔭 J90-J120 : SIEM, EDR, scénarios de détection, journaux signés.
  • 🧪 J120-J150 : exercices de crise, PRA/PCA, restauration chronométrée.
  • 📜 J150-J180 : politique DLP, révision des accès, clauses fournisseurs.

Ce chemin garantit des résultats tangibles. Il prépare aussi les projets à haute valeur. La confiance s’enracine dans la durée.

Feuille de route 2025 : innovation technologique, alliances françaises et résilience européenne

Hexagone est né d’un consortium de sept PME. Cette alliance incarne une force collective. Les expertises se complètent et accélèrent l’industrialisation. La suite est commercialisée depuis janvier 2025, avec un cap clair : autonomie, interopérabilité et excellence opérationnelle.

La feuille de route intègre des standards ouverts pour garantir la réversibilité. Les API documentées facilitent l’intégration au SI. Les connecteurs SSO et SCIM réduisent les frictions. Les migrations se planifient sans rupture.

Des fonctionnalités d’innovation technologique arrivent par vagues contrôlées. L’analyse de risques assistée, la détection comportementale et la protection contextuelle renforcent la posture. Les métriques restent lisibles : temps de détection, taux d’alertes utiles, couverture des contrôles.

Sur le plan économique, l’objectif est clair. Les territoires conservent la valeur créée localement. Les achats soutiennent un tissu d’entreprises françaises. L’écosystème gagne en autonomie stratégique.

La diffusion passe aussi par la formation. Des parcours dédiés aux DPO, RSSI et chefs de projet accélèrent la prise en main. Les collectivités moins dotées profitent de kits prêts à l’emploi. Les résultats se voient dès les premiers mois.

Les retours d’expérience d’élus et de DSI confirment l’intérêt du modèle. La gouvernance se clarifie. Les arbitrages budgétaires s’appuient sur des gains mesurés. La trajectoire stratégique devient lisible.

Au niveau européen, la convergence s’accélère. Les cadres réglementaires et les schémas de certification montent en puissance. Les coopérations régionales offrent des relais. La résilience ne se construit pas seul.

La suite Hexagone se positionne comme une brique de confiance. Elle aligne usages, sécurité et souveraineté. Les organisations gardent la main, sans renoncer au confort moderne. Ce compromis devient un avantage compétitif.

En définitive, Interstis Solutions consolide une vision : des outils utiles, une exigence de preuve et des alliances durables. Le tout au service d’une Europe plus sûre et plus autonome.

On en dit quoi ?

La démarche portée par Interstis Solutions s’avère crédible et utile. Les choix d’architecture, la proximité opérationnelle et la focalisation sur l’utilisateur final créent une chaîne de confiance solide. Le pari de la souveraineté s’y conjugue avec une cyberdéfense active et mesurable.

L’écosystème gagne une alternative française à la hauteur des enjeux. Les organisations accèdent à une suite complète, ancrée dans le droit européen et dans des pratiques vérifiables. Le cap 2025 met l’accent sur l’interopérabilité et la résilience. L’autonomie se traduit en décisions concrètes.

En filigrane, un message simple se dégage : la souveraineté n’oppose pas protection et agilité. Elle les coordonne. C’est le cœur d’une souveraineté numérique moderne et pragmatique.

Qu’est-ce qui distingue Hexagone d’une suite collaborative classique ?

Hexagone combine coédition, visioconférence, messagerie et stockage avec une sécurité native : chiffrement bout en bout des flux, journaux signés, IAM avancé, politiques DLP et intégration SIEM/EDR. Le tout est opéré en France, dans des environnements conformes aux exigences locales et aux référentiels ANSSI, afin de garantir la souveraineté numérique et la protection des données.

Pourquoi héberger les données en France change-t-il le niveau de risque ?

La localisation des données réduit l’exposition aux lois extraterritoriales et facilite l’audit. Les responsabilités juridiques sont plus claires. Les contrôles peuvent s’effectuer sur site. Ce choix simplifie la conformité et renforce la sécurité informatique, notamment pour les administrations et les secteurs régulés.

La formation des équipes a-t-elle un effet mesurable ?

Oui. Les simulations de phishing, la généralisation du MFA et la mise en œuvre de la règle 3-2-1 abaissent rapidement le nombre d’incidents. Les indicateurs de détection s’améliorent, et les erreurs récurrentes diminuent. La cyberdéfense repose autant sur les pratiques que sur les outils.

Peut-on intégrer Hexagone à un SI existant sans rupture ?

L’architecture propose SSO, SCIM et des API documentées. Les migrations se planifient par lots. Les partages externes restent sous contrôle grâce à des droits expirants. L’objectif est d’éviter le shadow IT, tout en respectant les usages établis.

Quels premiers pas pour une collectivité qui démarre ?

Déployer le MFA, cartographier les données, appliquer la sauvegarde 3-2-1 et segmenter le réseau. Ensuite, activer la corrélation SIEM et conduire un exercice de crise. Avec Interstis Solutions, ces paliers s’enchaînent rapidement, pour des gains visibles en quelques mois.

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